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Marion Bartoli, née le 2 octobre 1984 au Puy-en-Velay, est une vraie figure du tennis français, pas banale du tout. À 1m70, elle s’est révélée au grand public surtout pour son triomphe historique à Wimbledon en 2013. Sa carrière pro a duré de 2000 à 2013, avec des hauts, des bas, et beaucoup de caractère. 👊
Ce qui m’a toujours frappé, c’est son style atypique, sa rage sur le court, sa prise de raquette des deux mains, un truc qui déroutait tout le monde. Elle n’était clairement pas la joueuse glamour qui attire les projecteurs, mais plutôt l’acharnée prête à tout pour gagner. Passionnée, mais aussi si humaine dans ses défis…
Son parcours, c’est un sacré road trip entre une enfance au fin fond de la Haute-Loire, des méthodes d’entrainement uniques avec son papa et médecin, Walter, qui l’a portée du début à la fin. Le lien père-fille là, c’est du lourd, intense, presque fusionnel. Et entre les blessures et la pression, elle a souvent surpris.
Et puis, outre ses exploits sur le gazon anglais 🎾, il ne faut pas oublier son combat contre ses démons personnels, ce fameux épisode de troubles alimentaires, son retour tenté, sa reconversion dans la mode et la télé. Bref, Marion Bartoli, c’est un personnage qui ne laisse pas indifférent.
Marion Bartoli : l’icône singulière du tennis français
Alors, qui est vraiment Marion Bartoli ? En quelques mots, c’est une joueuse atypique, née en 1984, issue d’une petite ville tranquille, Retournac dans la Haute-Loire, où elle tape la balle pour la première fois à six ans sous l’œil attentionné de son père. Ah oui, et son papa, Walter, a sacrifié sa carrière de médecin pour elle – franchement, ça marque un sacré engagement familial.
Elle devient vite celle qu’on ne peut pas ignorer : une Française qui ose jouer avec deux mains pour son coup droit et revers, un style assez rare qui dérangeait mais qui a fini par payer. Bartoli, c’est un mix d’obstination, de finesse tactique et d’une combativité sans faille. Bonus : elle a été numéro un française en 2007 et a atteint la 7e place mondiale en 2012. Pas mal, hein ?
Si l’on considère sa carrière, on est loin d’une championne formatée. Elle a connu la gloire avec son titre à Wimbledon en 2013, un exploit pour le tennis féminin français puisque seules trois Françaises ont réussi ce grand chelem sur gazon depuis l’ère Open. Une victoire qui s’est dessinée avec de la passion, de la persévérance… et beaucoup de sueur.
Mais ce n’est pas qu’une sportive, c’est aussi une femme avec ses rêves en dehors du court, sa curiosité intellectuelle (elle s’intéresse à la politique, à l’éducation, rien que ça !) et qui s’est reconvertie avec panache entre mode et média. Oui, Marion a toujours voulu “faire autre chose”, et elle s’en donne les moyens.
Les débuts et l’envol d’une championne pas ordinaire
Le tennis pour Marion n’a rien d’un conte de fées classique. Elle débute dans des installations modestes, pas chauffées, parfois fermées… Bref, pas le top pour faire carrière. Mais son père le médecin est un coach hors pair, adepte d’une approche biomécanique presque radicale, adaptant les entraînements à sa fille.
Ce qui la fait sortir du lot ? Son fameux jeu à deux mains dès le plus jeune âge, une inspiration directe sur Monica Seles, et sa propension à ne jamais reculer, quitte à se battre balle après balle, point après point. Un style hyper agressif qui l’a boostée, mais a aussi usé son corps.
À 15-16 ans, déjà, elle décroche le titre de championne de France et commence à se faire un nom. En 2000, elle passe pro et confirme rapidement sa progression avec des victoires juniors impressionnantes, puis des percées dans les tournois WTA, où elle peaufine son entêtement.
Mais attention, elle ne s’est pas fait un chemin tout droit. Y’a eu aussi des galères, notamment des blessures qui ont émaillé sa carrière et des tensions avec la Fédération, notamment à cause de sa relation exclusive avec son père comme coach. Ce duo père-fille a parfois agacé, mais a été la clef de ses exploits.
Le pic de la carrière : Wimbledon 2013 et la consécration
Ah, Wimbledon 2013… voilà un moment qui nous colle encore des frissons. Après une carrière souvent en dents de scie, Marion monte en puissance et atteint enfin ce graal inattendu. En finale, elle domine Sabine Lisicki en deux sets, dans un match où son mental et son style ont fait toute la différence.
Elle devient ainsi la troisième Française à soulever ce trophée mythique, rejoignant les rangs de Mary Pierce et Amélie Mauresmo – un exploit qui n’avait pas eu lieu depuis longtemps. Ce titre, c’est comme un rêve de gosse devenu réalité, pour laquelle elle a dû s’arracher pendant des années.
Mais au-delà de la victoire, ce qui marque, c’est la façon dont elle a affronté les critiques, les blessures, les doutes. Sa carrière s’arrête brutalement quelques semaines plus tard, en août 2013, à cause de douleurs persistantes. Elle annonce sa retraite à seulement 28 ans. Ça a été un choc pour beaucoup, moi le premier.
Depuis, Marion ne s’est jamais arrêtée, prônant le dépassement de soi dans la vie comme dans le sport. Elle a fait un retour médiatique fort, notamment en commentant des tournois, et a même tenté un comeback sur le circuit avant que son corps ne dise stop. Une combattante jusqu’au bout.
Vie privée, challenges et reconversions : le vrai visage de Marion Bartoli
Dans sa vie hors courts, Marion Bartoli est une femme multicouches. En couple avec Yahya Boumediene, footballeur belge, depuis 2019, elle a accueilli leur fille Kamilya en décembre 2020, nouveauté qui semble lui apporter beaucoup de sérénité.
Mais son histoire ne s’arrête pas là. Elle a traversé des périodes très sombres, notamment une grave perte de poids liée à des troubles alimentaires. En 2016, elle a avoué publiquement avoir frôlé la mort, victime d’un virus ou d’anorexie, causé par une relation toxique. Ce témoignage, honnête et poignant, montre toute sa force intérieure.
Après cette épreuve, elle s’est reconstruite, courant même le marathon de New York. Aujourd’hui, elle est active dans les médias avec des chroniques sportives, des émissions sur RMC, et a lancé plusieurs projets dans la mode et les bijoux. C’est une nouvelle vie qu’elle se construit à son rythme, et franchement, c’est inspirant.
Si vous voulez plonger dans son univers et ses actualités, les fans peuvent suivre ses interventions sur France Info ou sa biographie complète sur Wikipédia. Pour les dernières nouvelles, 20 Minutes est aussi un bon relais.
Les moments clés à retenir de Marion Bartoli 🎾
- 👧 Débuts dans un club modeste en Haute-Loire, coachée par son père Walter.
- 🏆 Vainqueur de Wimbledon 2013, exploit majeur du tennis français.
- 💪 Style atypique à deux mains des deux côtés, engagement de tous les instants.
- 🔝 Numéro un française en 2007 et meilleure place mondiale : 7e en 2012.
- ❤️ Combats personnels contre les blessures et troubles alimentaires.
- 🌟 Reconversion réussie dans la mode, la télé, et le journalisme sportif.
Son parcours montre à quel point le monde du sport ne se limite pas à la simple performance, mais aussi aux histoires humaines riches et complexes. Marion Bartoli en est la parfaite illustration.
Son retour et dernier act sportif
Après sa retraite surprise, elle a tenté un retour en 2018, mais les douleurs à l’épaule et les blessures ont eu raison de ses ambitions. Elle a participé à des événements de légende et s’est ouverte sans tabou sur ses luttes personnelles, se montrant plus authentique que jamais.
Elle s’est aussi fait une place dans le paysage médiatique en tant que consultante, notamment pour Roland-Garros, apportant son expertise et son franc-parler, très apprécié des téléspectateurs.
À suivre : les projets de Marion Bartoli en 2025 et au-delà
Pour la suite, Marion continue à développer sa société Win by Marion, qui gère ses contrats et droits d’image, tout en multipliant les collaborations dans la mode. En 2025, elle anime même sa propre émission sur RMC, baptisée Bartoli Time, où elle décortique avec énergie l’actualité sportive chaque semaine. Pas mal, non ?
Il y a aussi son engagement pour sensibiliser sur les troubles alimentaires et la santé mentale. Elle s’est révélée être une porte-parole importante, osant parler ouvertement d’un sujet encore tabou dans le sport.
Alors, si vous êtes curieux d’en savoir plus, n’hésitez pas à jeter un œil à sa page sur Morning Femina ou à suivre ses interventions ponctuelles dans la presse comme sur Huffington Post.
Pourquoi Marion Bartoli a-t-elle arrêté sa carrière à seulement 28 ans ?
Elle a dû se retirer en raison de douleurs chroniques et blessures que son corps ne pouvait plus supporter, malgré son envie de continuer.
Qu’est-ce qui rendait son style de jeu unique ?
Sa prise à deux mains sur coup droit et revers, combinée à un jeu très agressif, ce qui était assez rare et déstabilisant pour les adversaires.
Marion Bartoli a-t-elle fait un retour au tennis après sa retraite ?
Oui, elle a tenté de revenir en 2018, mais les douleurs persistantes à l’épaule l’ont contrainte à renoncer.
Quels sont ses engagements en dehors du tennis ?
Elle milite pour la sensibilisation aux troubles alimentaires et la santé mentale, partageant son expérience personnelle.
Quels sont ses projets actuels ?
En 2025, elle anime une émission sportive sur RMC, développe sa marque Win by Marion et continue ses interventions médias.
