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Ah, Worlds Apart… Ça vous dit quelque chose ? Ce boys band mythique anglais formé en 1992 à Londres. En 2025, le groupe continue de faire parler de lui, vieux de plus de trois décennies, et franchement, leur histoire est un sacré voyage ! Imaginez cinq gars entre 25 et 30 ans, prêts à conquérir le monde de la pop : Aaron Poole, Dan Bowyer, Patrick Osborn, Steve Hart et Schelim Hannan. Le style un peu british avec une touche française, parce qu’ils ont clairement cartonné chez nous.
C’est fou de penser qu’ils ont culminé à numéro 1 en France avec leur album Everybody sorti en 1996. 1,5 million de copies vendues ! Le hit « Baby Come Back » vous rappelle quelque chose ? Moi, j’avoue, j’ai l’impression que la nostalgie des années 90 est toujours là , bien vivante. Leurs concerts à Bercy, c’était du délire total. Et puis, bon, ils mesurent environ 1m80, plutôt élancés, avec un charme à l’anglaise, ça aide forcément pour les fans en délire.
Mais avant de toucher le gros lot, ils n’étaient pas des stars du jour au lendemain. Il faut savoir que leur début a été rythmé par la montée du phénomène boy band, un vrai terrain de jeu, mais aussi un vrai casse-tête avec la concurrence. Avant la célébrité, ils ont charbonné, répété, cherché leur place. Patrick Osborn et Schelim Hannan ont bougé, remplacés au gré des aléas du groupe. Leur parcours Il est jonché de petits moments tendus comme quand Schelim a quitté l’aventure en 1997.
Le groupe a souffert, on peut le dire. Victime de leur succès, ils ont trop vite essuyé la saturation du public et des médias, surtout en France où ils étaient copiés à tout va (Assurez-vous de voir à quel point ils ont influencé des groupes comme Alliage ou 2be3 !). Leur séparation en 2002 a laissé un vide, mais l’histoire ne s’arrête pas là . Aujourd’hui, Steve, Nathan Moore et Cal Cooper sont bien là , prêts à rappeler aux vieux fans qu’on ne vit pas sans un peu de Worlds Apart dans la vie.
Qui sont les Worlds Apart et comment ce boys band britannique a-t-il marqué son époque ?
Alors, pour vous planter le décor, Worlds Apart, c’est un boys band anglais formé en 1992, rien que ça. Leur aventure commence à Londres, où, on le devine, les cinq membres avaient cette étincelle pour faire vibrer un public souvent français… Oui, bizarrement, leur plus grande réussite a été en France et pas trop chez eux. Vous imaginez ? Aaron Poole, Dan Bowyer, Patrick Osborn, Steve Hart et Schelim Hannan, ce sont eux les piliers d’un phénomène musical qui allait secouer la décennie.
Leur identité ? Une pop anglaise douce mais rythmée, souvent entrecoupée de titres en français, ce qui faisait d’eux un pont entre deux mondes. Pas juste un boys band de plus, mais une vraie incarnation des années 90. Une anecdote marrante : c’est en reprenant « Je te donne » de Jean-Jacques Goldman qu’ils ont conquis la France, un pari risqué qui a payé !
En 2025, ils ont une certaine aura, même si ce n’est plus le raz-de-marée médiatique des années 90. Toujours, ils conservent l’amour des fans nostalgiques qui remplissent désormais les salles pour des tournées comme la fameuse tournée nostalgie de 2026.
Le parcours incroyable des Worlds Apart avant leur envol vers la célébrité
Avant de vendre plus de 10 millions d’albums, leur parcours, c’était surtout beaucoup de travail dans l’ombre. Vous savez, ces groupes qui galèrent Ă trouver leur style, leur public. Les dĂ©buts de Worlds Apart, c’est un peu ça : des petites scènes, des castings, des concours, du grind quotidien. Patrick Osborn quitte le groupe en 1993, remplacĂ© par Aaron « Cal » Cooper, dĂ©jĂ la première grosse secousse.
Leurs premières tentatives passent inaperçues ou presque, jusqu’à leur reprise qui déchire « Heaven Must Be Missing an Angel ». Mais c’est vraiment avec l’album Everybody que tout explose, surtout en France, ce pays qui les adorera désormais à vie. Leurs tubes se succèdent, les « Baby Come Back », « Je serai là  » deviennent des hymnes. Vos souvenirs de cette époque sont peut-être là , dans ces sons qui tournent encore sur les playlists de vos parents.
Le succès fulgurant et les challenges qui ont suivi
Après le succès, c’est la chute, presque logique dans le milieu. Schelim Hannan quitte le groupe en 1997, sûrement un gros choc pour le groupe et les fans. Les albums suivants peinent à retrouver la même magie, surtout celui de 2000, Here and Now, qui ne trouve pas son public. C’est souvent l’histoire de ces boys bands, trop vite grisés par la gloire, victimes de leur propre succès.
Curieusement, en France, ils incarnent un vĂ©ritable phĂ©nomène social, un passage obligĂ© des tĂ©lĂ©visions et radios, jusqu’à remplir Bercy. Ce qui est surprenant, c’est Ă quel point ils ont influencĂ© la scène française 90’s, donnant naissance Ă de nombreux groupes imitĂ©s Ă outrance. Mais lĂ aussi, la surproduction provoque l’overdose…
Que sont devenus les membres de Worlds Apart après la séparation ?
Alors là , c’est intéressant. Après 2002, bon, ils ont tous pris des chemins plutôt étonnants. Steve Hart s’est tourné vers la comédie et le management — ouais, il gère maintenant les légendaires The Jacksons. C’est pas rien ! Nathan Moore, lui, a aussi choisi la gestion d’artistes, notamment pour des shows style Pop Idol au UK.
Aaron Poole, alias Cal Cooper, a tenté sa chance en solo, avec un titre sympa, « Fortified », sorti en 2018. Quant à Dan Bowyer, il s’est carrément éloigné du milieu musical. Patrick Osborn ? Il a traversé l’Atlantique pour devenir mannequin et acteur aux États-Unis, un virage radical mais qui lui a bien réussi.
Et le plus dingue, c’est qu’en 2007, ils ont même essayé un retour avec l’album Platinum — celui qui contenait la reprise de « On écrit sur les murs ». Malheureusement, le succès commercial ne répondait plus présent, mais leur flop ne les a pas arrêtés : ils continuent à sortir de la scène, remplissant encore des salles grâce à leur public fidèle et nostalgique.
Les projets récents et tournées à ne pas manquer
2024, c’est la tournée « I Gotta Feeling » qui a remis le feu aux poudres. Steve Hart, Nathan Moore, et Cal Cooper se retrouvent pour régaler les fans en France, Belgique et Suisse. Le groupe est loin d’avoir dit son dernier mot et leur énergie, franchement, elle détonne toujours autant.
Pour ceux qui veulent les revoir, les Worlds Apart seront sur scène les 12 et 13 septembre 2025, un rendez-vous immanquable à ne pas louper selon les fans et les critiques. Ça sent la grosse fête, surtout après avoir fêté leurs 30 ans avec un concert et un nouvel album — la preuve que le boys band anglais sait comment rester dans le coup.
N’hésitez pas à jeter un œil à leur page sur Allformusic ou à réserver vos places via Fnac Spectacles pour ne rien manquer de cette aventure pop toujours aussi passionnante.
Les 5 anecdotes surprenantes sur Worlds Apart
- 🌟 Le groupe a été formé par Simon Cowell, oui, le même producteur qui a lancé plein de stars internationales.
- 🎤 Leur plus gros tube, « Baby Come Back », est une reprise, mais tellement bien faite qu’on oublie souvent ce détail.
- 🇫🇷 Ils ont su séduire la France avec des titres en français, ce qui était rare pour un boys band anglais à l’époque.
- 🎬 Steve Hart est devenu manager des Jacksons, rien que ça, après sa carrière dans le groupe.
- 🎸 Patrick Osborn, après avoir quitté le groupe, a changé de carrière pour devenir mannequin et acteur aux États-Unis.
Quand le groupe Worlds Apart a-t-il été formé ?
Worlds Apart a été formé en 1992 à Londres, réunissant initialement cinq membres.
Quels sont les plus grands succès de Worlds Apart ?
Leurs plus grands succès incluent les tubes ‘Baby Come Back’, ‘Je te donne’ et ‘Je serai lĂ ’, notamment en France.
Pourquoi Worlds Apart a-t-il quitté la scène au début des années 2000 ?
Le groupe a subi une saturation du public et des médias, ainsi que le départ de certains membres, menant à leur séparation en 2002.
Que font les membres de Worlds Apart aujourd’hui ?
Steve Hart est devenu manager, Nathan Moore travaille dans le management artistique, Aaron Poole poursuit une carrière solo, et Patrick Osborn est mannequin et acteur aux États-Unis.
Y a-t-il des projets récents ou des tournées en cours ?
Oui, ils continuent de tourner, avec des concerts en France, Belgique et Suisse, notamment la tournĂ©e ‘I Gotta Feeling’ en 2024 et une tournĂ©e nostalgie prĂ©vue en 2026.
