Amélie Bonnin

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Amélie Bonnin, si vous ne la connaissez pas encore, c’est la réalisatrice dont tout le monde parle en ce moment. Née en 1985, elle a déjà décroché un César du meilleur court-métrage en 2023. Et là, tenez-vous bien, elle fait l’ouverture du Festival de Cannes avec son premier long-métrage. Oui, ça calme.

Bon, elle ne mesure pas deux mètres, mais sa présence à l’écran et derrière la caméra fait oublier tout ça. À la base, elle vient de Châteauroux, vous savez, cette petite ville tranquille qui, franchement, n’a rien d’évident pour lancer une carrière dans le cinéma parisien. Pourtant, elle a tout déchiré, en passant par la Fémis, la fameuse école de cinéma.

Avant la lumière et les festivals, elle a commencé par un BTS design graphique, puis la prépa en école d’art à Paris. Vous voyez le genre : la touche artistique, le style, la patte. Mais elle ne s’est pas arrêtée là, elle a plutôt mixé toutes ces compétences pour créer des œuvres qui vous marquent. Et puis, il y a sa casquette de directrice artistique, notamment pour la revue féministe La Déferlante. Une dessinatrice aussi, touche-à-tout ? Oui, c’est ça.

Ce qui est fou, c’est que son court-métrage « Partir un jour » a explosé avec un César. C’était en 2023. Et plutôt que de s’arrêter là, elle a transformé ce bijou en long-métrage avec la même bande. Une sorte de pari osé, et franchement, c’est une réussite incroyable qui ouvre le Festival de Cannes 2025. Je vous entends : “Mais qui est cette Amélie Bonnin ?” Alors, on y va !

Qui est Amélie Bonnin ? Portrait d’une réalisatrice engagée et polyvalente

Amélie Bonnin, c’est un peu la dream team de la créativité. Née en 1985, elle est plus que réalisatrice. Directrice artistique, dessinatrice, graphiste… Elle est un véritable couteau suisse, et ça se sent dans son travail. Parisienne d’adoption après son bac, elle a peaufiné son style à la Fémis, en section scénario – bref, une école réputée pour les cinéastes affutés.

Un parcours qui n’a rien d’un long fleuve tranquille. De la petite Châteauroux à la capitale, elle s’est bâtie patiemment une place dans un milieu souvent élitiste. Son engagement féministe la pousse aussi à défier les normes, notamment via la revue La Déferlante, où elle mêle son amour de l’image à une vraie posture militante.

Son identité publique est donc marquée par cette volonté de raconter des histoires humaines, souvent liées à la jeunesse et aux racines. C’est à la fois humble et puissant — on sent qu’elle capte ces nuances que beaucoup oublient. N’oublions pas non plus sa taille : un mètre soixante-dix, ok, on s’en fout, mais c’est toujours sympa de le savoir !

Son univers, c’est aussi des collaborations intéressantes. Elle embarque notamment la chanteuse Juliette Armanet et l’acteur Bastien Bouillon dans ses projets, histoire de mélanger musique, cinéma et une ambiance à la fois pop et tendre. Je vous mets au défi de ne pas tomber sous le charme.

Le chemin d’Amélie Bonnin avant la célébrité : un vrai travail de fourmi

Avant de se faire un nom, Amélie a bourlingué pas mal. Elle débute dans le design graphique, balance entre dessin et image en mouvement comme une équilibriste. La prépa en école d’art, puis le fameux BTS design graphique, c’est du solide pour forger le style.

Ensuite, la magie opère quand elle rentre à la Fémis, cette école où les futurs grands du cinéma français passent un sacré cap. Là, elle se concentre sur le scénario, mais en fait, elle bricole même des projets rigolos où elle mélange toutes ses cordes. Rien n’est laissé au hasard, tout s’imbrique.

Elle fait aussi beaucoup de web, notamment en réalisant plusieurs épisodes de la série Solange te parle, connue pour son ton rafraîchissant et à contre-courant. Un terrain parfait pour apprendre la narration visuelle sans pression.

Alors oui, ce n’était pas la voie royale vers le festival, mais plutôt un travail de fond. Elle sait saisir les opportunités quand elles passent, avec une énergie qu’on ne voit pas tous les jours. C’est ce qui fait selon moi la différence entre une bonne réalisatrice et une qui marque l’histoire.

Carrière et grands succès : l’ascension grâce à “Partir un jour”

On ne peut pas parler d’Amélie sans évoquer son film emblématique, Partir un jour. Ce n’est pas juste un film. C’est une déclaration d’intention, un souffle de fraîcheur dans le cinéma français.

En 2023, ce court remporte un César, ce qui est déjà énorme. Mais elle ne s’est pas arrêtée là, elle a osé transformer ce projet intime en long-métrage, ce qui est plutôt risqué. Et devinez quoi ? Ça lui réussit, puisque ce même film fait l’ouverture du Festival de Cannes 2025. C’est, pour le coup, un sacré coup de maître.

Le pitch ? Cécile veut ouvrir un restaurant gastronomique mais doit retourner dans son village natal après l’infarctus de son père. Elle retrouve un amour de jeunesse, les souvenirs ressurgissent, et tout devient un peu flou. Une histoire simple, mais tellement pleine d’émotion et de tendresse.

Juliette Armanet, la chanteuse, donne une justesse incroyable à son premier grand rôle au cinéma. Et Bastien Bouillon ? Charmant, attendrissant, une vraie révélation à lui tout seul. Pas étonnant que les critiques soient dithyrambiques.

  • 🎬 César du meilleur court-métrage (2023)
  • 🏆 Film d’ouverture au Festival de Cannes 2025
  • 🎤 Casting musical avec Juliette Armanet
  • 🌿 Thèmes : racines, nostalgie, retrouvailles
  • 🎞️ Réalisation mêlant tendresse et humour pop

Vie privée et anecdotes surprenantes sur Amélie Bonnin

Vous vous demandez peut-être si cette réalisatrice surdouée est une énigme ? Pas du tout. Amélie est aussi accessible qu’on peut l’être en milieu artistique. On sait qu’elle cultive une certaine discrétion sur sa vie privée, ce qui n’empêche pas de jeter un œil par-dessus l’épaule.

Son attachement à la province, son endroit d’origine, transparaît souvent dans ses films. Une sorte de pont entre la ville et la campagne, Paris et Châteauroux, qui nourrissent son univers. C’est sûrement ce contraste qui lui offre cette touche si unique.

Petit détail rigolo : elle a longtemps hésité avant d’étirer son court-métrage en long. Elle confiait même que “chaque histoire a sa propre durée”, ce qui est à la fois pro et hyper humble. Une vraie perfectionniste imparfaite, quoi. Et puis, attention, c’est aussi une vraie bosseuse, capable de gérer plusieurs casquettes en même temps.

Les projets récents et actualités d’Amélie Bonnin en 2025

Avec Partir un jour en ouverture à Cannes, forcément, 2025 est une année charnière pour elle. Mais ce n’est que le début. Elle continue à travailler sur la revue féministe La Déferlante, toujours à fond dans le dessin et la direction artistique – une vraie passion qui l’aide à ne pas s’enfermer dans le cinéma uniquement.

Et vous imaginez, elle a la tête pleine de nouveaux projets, sans doute cette envie de mêler encore plus musique et image, à l’image de son film. Rien n’est confirmé, mais l’avenir semble prometteur, mention spéciale pour les jeunes cinéastes qui veulent mélanger les genres.

Si vous voulez vraiment tout savoir et suivre son actualité de près, son site officiel est un passage obligé : Amélie Bonnin. Sinon, de nombreux articles comme celui de Télérama ou Le Clairer Fnac vous donneront aussi de bonnes pistes.

Quel est le film d’Amélie Bonnin présenté à Cannes ?

C’est ‘Partir un jour’, un long-métrage qui ouvre le Festival de Cannes 2025, adapté de son court-métrage récompensé par un César en 2023.

Qui joue dans Partir un jour ?

Le film met en scène Juliette Armanet, chanteuse et actrice, et Bastien Bouillon, parmi d’autres talents.

Quelle est la formation d’Amélie Bonnin ?

Après un BTS en design graphique et une prépa en école d’art, elle a étudié à la Fémis dans l’atelier scénario.

Quels autres métiers exerce Amélie Bonnin ?

Elle est aussi directrice artistique de la revue féministe La Déferlante, dessinatrice et graphiste.

Où peut-on suivre l’actualité de la réalisatrice ?

Son site officiel Amélie Bonnin est régulièrement mis à jour, ainsi que plusieurs médias culturels qui parlent de son travail.


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