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Anastasia Colosimo, née le 2 août 1990 à Paris, c’est une sacrée personnalité. À 35 ans, elle affiche 1m70 d’intelligence et une allure qui ne passe pas inaperçue. Vous savez, elle a été la conseillère presse internationale d’Emmanuel Macron de 2023 à 2025, un job plutôt costaud.
Franchement, Anastasia, elle n’est pas une simple communicante. Sa famille, un mélange russe, américain et français, met déjà la table pour un parcours électrique. Son père, Jean-François Colosimo, est une figure éditoriale et théologique pas banale. La maman d’Anastasia, elle, est une Russe qui a fui l’URSS, ce qui explique pas mal d’antagonismes dans son regard, notamment son anti-Poutine affiché.
On sent tout de suite qu’elle est faite pour la politique, mais pas simplement la politique de salon. Avant l’Élysée, elle a bossé dans le Golfe, organisant des événements pour des têtes couronnées dans un environnement moins glamour mais ô combien stratégique.
Ce qui fait que quand elle décide de partir de l’Élysée pour rejoindre un groupe privé, Ellipse Group, ça fait du bruit. Et pour cause, elle prend la tête du développement commercial dans des pays émergents avec une expérience béton dans les contacts internationaux.
Anastasia Colosimo : la conseillère qui a quitté l’Élysée pour prendre un virage au privé
Alors voilà, Anastasia Colosimo a claqué la porte de l’Élysée en février 2025, après plus de deux ans dans les couloirs du pouvoir. Son rôle ? Conseillère presse internationale pour Emmanuel Macron, chargé de défendre la communication française à l’étranger dans une période vraiment chaotique. Pensez à l’Ukraine, Gaza, ce n’était pas une sinécure.
Et puis partir de l’Élysée pour rejoindre Ellipse Group, une boîte qui fait financer et construire des équipements dans des économies fragiles, c’était un vrai saut. Mais vous savez, pour Anastasia, c’est un rêve concret qu’elle réalise : aider les pays émergents à se développer.
Faisons simple, son carnet d’adresses est un trésor. Après avoir bossé avec Richard Attias, elle maîtrisait le milieu des hautes sphères du Golfe, des princes à la pelle, sans oublier sa maîtrise du russe qui lui ouvre des portes précieuses en Asie centrale.
Ellipse Group c’est un acteur sérieux avec un chiffre d’affaires de plus de 180 millions d’euros (2023). Ils veulent s’étendre dans l’espace à moindre coût et dans des industries minières innovantes. Anastasia, c’est la clé pour ouvrir certaines portes dans des régions où ça coince.
Le parcours étonnant d’une femme qui a toujours défié les codes
Avant de s’incruster dans les couloirs du pouvoir, Anastasia, c’est une passionnée de politique et de philosophie. Vous la verrez dans les bouquins, notamment avec son essai « Les Bûchers de la liberté », sorti en 2016, une réflexion vive sur la liberté d’expression.
On sent qu’elle n’aime pas les tabous. Ce petit bouquin a surgi juste après les attentats de janvier 2015, vous imaginez l’impact ? Elle y dénonce la façon dont la société menace les libertés par excès d’émotion. C’est courageux, non ?
Pas seulement littéraire, elle a aussi été prof à Sciences Po Paris, avant de rejoindre le privé. Elle a développé un vrai réseau, un mélange de diplomatie et d’intellectuel, un combo rare. Chez Richard Attias & Associates, elle gérait des sommets internationaux en côtoyant des chefs d’État et les organisant.
Bon, j’avoue, elle est parfois un peu brute avec les journalistes. Il paraît qu’elle ne mâche pas ses mots, et ça choque plus d’un. Mais pour certains, ça fait partie de son caractère rugueux et « vieille école », un style pas vraiment aseptisé.
La vie privée d’Anastasia Colosimo : entre secrets et origines multiculturelles
Sa vie privée est plutôt discrète, mais on sait qu’elle est fille d’un père issu d’une famille calabraise convertie à l’orthodoxie et d’une mère russe originaire d’une lignée liée à Soljenitsyne. Pas juste la voisine quoi. Ce cocktail culturel explique aussi son regard tranché sur la géopolitique.
Elle a grandi à Paris, étudie au prestigieux lycée Henri-IV, tout en gardant dans ses veines cette histoire de migration et de dissidence familiale. Ça crée une personnalité à la fois rigoureuse et audacieuse.
Elle n’a jamais caché son amitié avec Sarah Knafo, proche d’Éric Zemmour, ce qui a surpris pas mal de monde car Anastasia est vue dans certaines sphères comme souverainiste ou proche de la droite extrême. Étrange mélange qui pique la curiosité.
Pas de mariage ni d’enfants qui font parler la presse, mais ce qu’on sait surtout, c’est qu’Anastasia aime brouiller les pistes, entre rigueur scientifique et audace politique.
Anecdotes croustillantes sur une personnalité bien trempée
Allez, je vous lâche deux-trois pépites. En 2021, elle a déclaré sur LCI que laisser les non-vaccinés mourir serait une « sélection naturelle ». Bon, elle a vite botté en touche pour justifier un excès de langage, mais ça a marqué les esprits.
Plus récemment, fin 2024, nombre de journalistes se sont plaints de sa brutalité. On parle de propos orduriers et de langage fleuri. Elle s’est expliquée, disant que c’était de l’humour second degré. Perso, j’y crois à moitié…
Mais elle se moque souvent de son image : « Mi-russe, mi-italienne, je suis folle », aurait-elle lancé à des journalistes indiens. Pas bête, la fille, elle connaît bien son personnage.
Pour la remplacer à l’Élysée, c’est Pascal Confavreux qui est pressenti, un signal peut-être d’un changement de ton pour la communication présidentielle. Vous pouvez lire plus sur ce départ captivant sur Un départ à l’Élysée.
Une nouvelle page pour Anastasia Colosimo : défis et ambitions dans le privé
Alors voilà, l’arrivée d’Anastasia chez Ellipse Group, c’est plus qu’un simple changement de décor. Elle prend à bras le corps le développement commercial dans des pays au financement compliqué, une mission très politiquement chargée. Pas franchement un job pour une bureaucrate.
Ellipse Group met gros sur des contrats miniers et spatiaux, des domaines d’avenir mais ultra-concurrentiels. Ce qu’on attend d’Anastasia, c’est d’exploiter ses liens et sa capacité à négocier avec des États parfois difficiles. Presque un travail d’ambassadrice.
Cette reconversion est très suivie. Comme cela a été noté sur La Lettre, cela illustre une porosité croissante entre le secteur public et privé, surtout dans la tech et l’industrie.
Pour l’heure, la Haute autorité pour la transparence doit encore valider ce transfert, histoire de garantir que tout est kosher côté déontologie. Ce sera probablement un oui vu son profil et son savoir-faire.
Les clés du succès d’Anastasia Colosimo dans la communication internationale
- 🌍 Un réseau international, notamment au Moyen-Orient et en Asie centrale
- 📚 Une formation académique solide avec un doctorat en science politique
- 💬 Un franc-parler qui divise mais fait parler d’elle
- 📈 Une capacité à gérer des communications complexes en période de crise
- 🚀 Une vision pour responsabiliser le développement dans les pays émergents
- 🎯 Une expérience dans des postes à haute pression où le carnet d’adresses vaut de l’or
Qui est Anastasia Colosimo ?
C’est une essayiste et spécialiste de science politique, née en 1990 à Paris, connue pour avoir été conseillère communication internationale d’Emmanuel Macron de 2023 à 2025.
Pourquoi a-t-elle quitté l’Élysée ?
Elle a souhaité rejoindre le privé pour diriger le développement commercial d’Ellipse Group, une entreprise spécialisée dans les équipements pour pays en développement.
Quelle est sa formation ?
Anastasia est docteure en science politique, formée notamment à Sciences Po Paris, où elle a soutenu une thèse sur le droit, la politique et la liberté face au blasphème.
Quels sont ses qualités en communication ?
Sa capacité à entretenir des réseaux internationaux, son franc-parler et son endurance dans des environnements de crise la distinguent.
Quelles sont ses origines ?
Elle est d’origine française, russe et américaine, avec une famille imprégnée d’histoire politique et religieuse, ce qui influence ses positions.
