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Ah, Céleste Brunnquell… Une actrice qui ne cesse de surprendre par sa fraîcheur et son audace. Née le 29 septembre 2002 à Paris, elle a tout juste 22 ans aujourd’hui, mesure environ 1m70, et elle marche déjà avec assurance dans la cour des grands du cinéma français. Céleste, c’est un visage qu’on n’oublie pas facilement, avec ses yeux bleus perçants et son air mutin.
Ses débuts sont presque un conte moderne : une gamine repérée presque par hasard lors d’un spectacle de fin d’année au Théâtre de l’Atelier, et bam, la voilà emportée par une vague qui ne s’arrête plus. Pas facile à croire mais c’est ça, la magie du cinéma parfois. Avant ça, elle a grandi entourée d’un père architecte et d’une mère dans l’événementiel, un contexte plutôt créatif, déjà.
Son parcours est passionnant parce qu’il mêle ce jeu naturel à une vraie quête. Après un bac en poche, elle entame des études d’histoire de l’art, puis tente les Beaux-Arts à Bruxelles, mais le cinéma la rattrape, lui mettant une sacrée pression pour choisir entre école et carrière. Spoiler : la comédie gagne, évidemment.
Elle est surtout connue pour avoir explosé dans Les Éblouis en 2019, un rôle qui l’a projetée direct sous les projecteurs et lui a valu une nomination aux César du meilleur espoir féminin. Depuis, c’est un marathon de projets forts, de rôles variés où elle s’amuse, avec cette touche de malice et de profondeur qui lui est propre.
Céleste Brunnquell : qui est cette étoile montante du cinéma français ?
Céleste Brunnquell, c’est cette jeune actrice parisienne au talent brut qui a su captiver le public et les critiques. Avec ses traits délicats, elle incarne une génération d’artistes libres, audacieuses et un peu rebelles. Elle a ce mélange rare d’innocence et de force qui vous embarque dès qu’elle apparaît à l’écran.
Pour la petite histoire, on la considère souvent comme la “petite nageuse” d’En Thérapie, une série où elle interprète une adolescente fragile promise à une carrière olympique, un rôle délicat qu’elle livre avec une honnêteté désarmante. À peine sortie de l’adolescence, elle maîtrise déjà cette capacité dingue à faire passer tellement par un simple regard.
Il faut dire qu’elle a commencé très jeune, à 11 ans, sur les planches du Théâtre de l’Atelier. Et c’est justement là qu’une directrice de casting l’a remarquée. Coup de chance? Peut-être, mais surtout un mélange d’opportunité et de talent. Dès son premier long métrage, Les Éblouis, elle crève l’écran. Une histoire forte, difficile, qu’elle porte avec une maturité qu’on ne lui aurait pas forcément donnée.
Ce premier rôle lui ouvre tellement de portes qu’elle continue à choisir ses projets avec soin, loin des sentiers battus. Son parcours éclaire une ambition sincère et un vrai goût pour les personnages complexes, loin du cliché de la jeune starlette.
La carrière impressionnante et variée de Céleste Brunnquell
C’est fou quand on regarde sa filmographie. En moins de six ans, elle a déjà grappillé sept longs-métrages ! Le genre de trajectoire qu’on jalouse un peu. Parmi ses rôles marquants, il y a bien sûr Les Éblouis qui lui a valu une nomination au César en 2020. Le film dépeint une jeune fille élevée dans une communauté religieuse quasi-sectaire, un sacré défi pour une ado, croyez-moi.
Mais elle ne s’est pas arrêtée là. On l’a vue aussi dans En Thérapie, qui l’a fait connaître du grand public en 2021, avant de la retrouver dans des films comme L’Origine du Mal ou Fifi. Et puis 2023 marque un tournant avec La Fille de son père, un film tendre et touchant où elle joue Rosa, une étudiante en arts qui décide de prendre son envol loin de son père.
Elle y joue ce personnage avec un équilibre fascinant entre maturité et rébellion, un mélange que Céleste semble avoir dans son ADN. Le réalisateur Erwan Le Duc ne tarit pas d’éloges sur elle, soulignant combien elle sait rendre une scène vivante par un simple regard ou un geste.
Et franchement, difficile de ne pas avoir un coup de cœur pour cette actrice qui expérimente à fond ses rôles. De En attendant la nuit où elle tombe sous le charme d’un vampire, jusqu’au thriller Une affaire de principe, il y a cette envie chez Céleste de ne jamais se répéter. Il paraît qu’en 2024 elle jouera aussi dans Rembrandt, incarnant une étudiante en biologie. Rien que ça.
Quelques étapes clés de sa carrière 🎬
- 2019 : Les Éblouis – premier rôle marquant et nomination César
- 2021 : En Thérapie – rôle révélateur auprès du grand public
- 2023 : La Fille de son père – performance qui fait sensation
- 2024 : En attendant la nuit et Une affaire de principe – diversification des rôles
- 2025 : premiers pas au théâtre avec Juste la fin du monde
Vie privée et anecdotes croustillantes sur Céleste Brunnquell
Vous allez trouver ça surprenant : malgré sa notoriété qui grandit de jour en jour, Céleste ressent peu l’effet “célébrité”. Elle raconte souvent qu’on la reconnaît dans la rue, mais que globalement les gens restent très simples et gentils avec elle. Une chance, non ?
Elle vit à Paris, bien ancrée dans ses racines, et a ce petit look décontracté qui lui colle à la peau. Je vous jure, elle vous laisse croire qu’elle pourrait être votre voisine – jeans large, sourire en coin, pas prise de tête.
Une anecdote sympa, c’est qu’elle a abandonné ses études artistiques pour vivre pleinement sa passion. Ça fait toujours un peu peur cette décision, mais elle semble complètement épanouie, préférant le terrain, les plateaux, à la théorie des bancs d’école.
Ah, et elle prépare ses débuts sur scène en 2025, au Théâtre de l’Atelier, là même où tout a commencé pour elle. Une histoire qui boucle, un peu poétique, non ?
Les projets récents et à venir de Céleste Brunnquell
À l’aube de 2025, elle ne ralentit pas. Après avoir joué dans des films comme Maria ou ce thriller politique Une affaire de principe, elle s’attaque au théâtre. C’est comme une évidence pour elle, retrouver cette première passion après avoir tant exploré le grand écran.
Et ce qui est cool, c’est qu’elle ne se limite pas aux rôles “faciles”. Elle aime prendre des risques. Franchement, sa volonté de rester imprévisible et audacieuse dans ses choix la positionne comme une vraie lumière du cinéma contemporain français.
Il y a cette sincérité dans ce qu’elle fait, cette envie de vraiment savoir qui elle est en tant qu’artiste. Cela rend chaque projet, chaque film, presque organique, vivant, palpable. Vous pouvez suivre ses aventures et ses nouveautés sur Gala ou découvrir toute sa filmographie complète ici.
La jeune femme figure aussi parmi le jury du festival Entrevues en 2024, un signe fort qu’elle construit quelque chose qui dépasse juste le jeu d’acteur. C’est une actrice qui regarde devant, très loin.
Quel est le premier rôle important de Céleste Brunnquell ?
Son premier rôle marquant est dans Les Éblouis, où elle a été nommée au César du meilleur espoir féminin en 2020.
Comment Céleste a-t-elle été découverte ?
Elle a été remarquée lors d’un spectacle de fin d’année au Théâtre de l’Atelier à Paris par une directrice de casting.
Quels sont les projets récents de Céleste Brunnquell ?
Elle est présente dans plusieurs films sortis en 2024 et fera ses débuts au théâtre en 2025 avec Juste la fin du monde.
Quelle est sa relation avec la célébrité ?
Malgré sa visibilité, elle reste humble et ne se sent pas vraiment célèbre, appréciant la simplicité des interactions avec le public.
Où peut-on suivre l’actualité de Céleste Brunnquell ?
Des sites comme Gala ou AlloCiné offrent de nombreuses informations sur sa carrière et ses actualités.