Montrer le sommaire Cacher le sommaire
Christophe Barbier, né le 25 janvier 1967 à Sallanches, en Haute-Savoie, c’est ce journaliste à l’écharpe rouge qui ne passe jamais inaperçu. À 58 ans, il mesure environ 1,78 m, et si vous avez suivi la scène médiatique française, vous avez forcément croisé son visage quelque part.
Son parcours, croyez-moi, est loin d’être une success story classique. De l’École normale supérieure à la direction de L’Express, avec des arrêts dans les médias, la politique, et même le théâtre, c’est un personnage qui a plusieurs casquettes. Lui, il ne fait pas les choses à moitié, et ça se voit.
Je vous vois venir, l’écharpe rouge, ça vous intrigue ? C’est devenu sa marque de fabrique, presque un symbole, même s’il l’a un peu mise de côté sur LCI récemment. D’ailleurs, si vous voulez savoir pourquoi il ne la porte plus tout le temps, je vous conseille cet article de LCI.
En 2025, après un retour marqué sur les écrans à LCI, il a tiré sa révérence sur BFMTV, là où il a passé presque une décennie à disséquer la politique française avec une verve bien à lui. Mais bon, Barbier, ce n’est pas juste la télé, c’est aussi la scène, les livres, la plume affûtée.
Christophe Barbier : un journaliste politique français au parcours atypique
Fils d’un secrétaire de mairie, Christophe n’a pas grandi dans le monde feutré des médias. Après un bac scientifique (oui, c’est surprenant), il fait une prépa lettres et intégrera l’École normale supérieure à Paris. Alors vous imaginez bien, le gars a de la culture à revendre.
Mais ce n’est pas juste un intellectuel planqué, non, il s’est vite lancé dans le journalisme politique en 1990 au Point, puis Europe 1, avant de poser ses valises à L’Express en 1996. C’est là qu’il va vraiment marquer les esprits, prenant la tête de la rédaction en 2006.
C’est drôle parce qu’il aime à le dire lui-même : il n’est ni de gauche ni de droite, mais un « journaliste engagé sans être partisan ». Facile à dire, délicat à vivre surtout quand on met son nez dans la politique française souvent pour ne pas plaire à tout le monde…
J’avoue, certaines de ses prises de position ont fait grincer des dents, et vous pouvez trouver quelques polémiques sur ce pan d’histoire. Mais ça fait partie du personnage, son franc-parler, parfois un peu piquant.
La longévité d’une carrière marquée par L’Express et BFMTV
Vous savez, ce mec c’est un marathonien des rédactions. Chef du service politique à L’Express dès 1996, il gravit les échelons pour devenir directeur de la rédaction en 2006. Il impose alors sa vision : rajeunir, féminiser le lectorat, refaire du magazine un incontournable… ambitieux mais pas simple.
Le hic ? Les résultats furent loin d’être mirobolants. Une période de pertes financières lourdes, et un lectorat en déclin, bref, un vrai casse-tête. Mais il ne baisse pas les bras, il embrasse aussi la télé, notamment BFMTV dès 2016 où il devient un visage incontournable.
Son départ en juillet 2025 de BFMTV a surpris plus d’un, surtout avec sa sortie hyper sobre, presque pudique, loin des adieux grandiloquents. Vous pouvez lire ce que ça a donné sur ce site.
Mais ne vous inquiétez pas, Christophe Barbier n’a pas raccroché le micro : à la rentrée, il passe sur LCI pour offrir à nouveau son regard critique dans la matinale. Toujours avec cet accent de sérieux et son fameux foulard rouge qui n’est jamais loin.
Entre journalisme et art dramatique : le théâtre, une autre scène pour Barbier
Un truc qui étonne souvent, c’est qu’à côté du journaliste très carré, il y a un passionné de théâtre. Barbier ne se contente pas de parler culture, il monte sur les planches, écrit, met en scène. La pièce sur Mozart qu’il joue avec sa femme Pauline Courtin, soprano, fait un carton, et c’est loin d’être un hasard.
Cette dualité lui apporte une sorte de respiration. Quand la politique l’épuise, il trouve dans la scène un moyen de lâcher prise. Je vous jure, voir l’éditorialiste manier le verbe façon comédien, c’est quelque chose de rare.
Il est même directeur de troupe et a écrit un bouquin sur l’histoire du théâtre, c’est dire l’engagement. Si le cœur vous en dit, vous pouvez suivre ses derniers projets culturels et théâtraux par ici.
Vie privée et petites pépites d’anecdotes sur Christophe Barbier
Ah, sa vie privée ? Elle est dans l’ombre habituellement. Barbier s’est marié deux fois, d’abord avec Yamini Lila Kumar en 2008, puis avec la cantatrice Pauline Courtin en 2020. La musique et la politique, ça colle assez bien dans son univers.
Les rumeurs sur sa paternité ? Elles courent, mais restent assez floues et il garde ça très discret, comme expliqué dans cet article très détaillé sur Vital Mag.
Un autre truc sympa : il porte souvent cette fameuse écharpe rouge, un clin d’œil à ses ancêtres touaregs selon lui. Une signature visuelle qu’il n’abandonne jamais vraiment, même si parfois il la retire pour s’adapter au contexte.
Et si vous vous demandez d’où lui vient ce style bien reconnaissable, cet article du Marie France vous fera découvrir son histoire avec son accessoire fétiche.
Quelques faits marquants, polémiques et prises de position qui font parler
Le bonhomme ne fait pas dans la dentelle quand il s’agit d’expression. Politiquement engagé, il n’a pas peur de déchaîner les passions : son éditorial sur le « coût de l’immigration » chez L’Express en 2012, ou ses prises de position sur l’économie et la société, ça laisse des traces.
Et puis, il y a eu cette affaire où il a provoqué une polémique sur ses propos concernant des personnes en surpoids durant la crise sanitaire. Un moment difficile, il s’est excusé publiquement, franchissant la ligne apparemment sans vouloir le faire.
Il a aussi été brocardé pour ses passages parfois trop militants dans ses éditos, certains l’accusent d’être plus un activiste qu’un journaliste, ce qui alimente le débat sur la neutralité dans les médias.
Vous pouvez aller plus loin sur ces épisodes compliqués à suivre via cette enquête approfondie sur MediaMass.
Les projets récents et actualités de Christophe Barbier en 2025
Après avoir quitté BFMTV sans trop de fanfare cet été, Christophe a choisi une rentrée 2025 sous les feux des projecteurs sur LCI, avec un édito politique quotidien dans la matinale, histoire de rester dans le coup. Là encore, son écharpe rouge ne passe pas inaperçue.
Mais il ne délaisse pas son rôle d’artiste, jouant toujours au théâtre et concoctant des spectacles mêlant musique et drame, notamment avec sa femme. Un vrai mélange des genres qui lui colle à la peau.
Il a aussi repris des chroniques sur Radio Classique et se pose comme une voix incontournable du débat politique mais avec ce petit quelque chose en plus, ce goût pour les beaux mots et la scène.
- Une rentrée sur LCI avec la matinale de Jean-Baptiste Boursier
- Des spectacles comme « Offenbach et les Trois Empereurs » au Théâtre de Poche Montparnasse
- Chroniques sur Radio Classique et Radio J
- Un engagement toujours très marqué dans les débats d’actualité
- L’écharpe rouge qui reste sa signature chez LCI
Pourquoi Christophe Barbier porte-t-il toujours son écharpe rouge ?
C’est devenu son signe distinctif, un clin d’œil à ses origines et à ses ancêtres touaregs. Il aime aussi que cela le distingue visuellement sur les plateaux télé, malgré quelques exceptions comme sur France Télévisions.
Quand Christophe Barbier a-t-il quitté BFMTV ?
Il a quitté BFMTV en juillet 2025 après neuf années passées à y faire des chroniques politiques régulières, marquant la fin d’une grande époque pour lui sur cette chaîne.
Quels sont les engagements politiques de Christophe Barbier ?
Il se définit comme un journaliste engagé sans être partisan, mais il a souvent pris des positions pro-européennes et a soutenu certains candidats politiques, tout en suscitant parfois la controverse.
Est-ce que Christophe Barbier fait du théâtre ?
Oui, il est aussi artiste dramatique, metteur en scène et comédien. Il a écrit plusieurs spectacles et joue sur scène, notamment des pièces liées à la musique et à l’histoire.
Quelle est la carrière de Christophe Barbier avant la célébrité ?
Après ses études à l’ENS et un parcours en histoire, il a débuté au Point puis Europe 1, avant de rejoindre L’Express où il est devenu directeur de la rédaction et figure emblématique du journalisme politique.

