Montrer le sommaire Cacher le sommaire
Claude Brasseur, c’est un monument du cinéma français, né le 15 juin 1936 à Neuilly-sur-Seine. Un gars de 1,79 m, fils de Pierre Brasseur et Odette Joyeux — rien que ça, vous imaginez la pression ? Il s’est marié avec Michèle Cambon en 1970, et hop, la famille s’est agrandie avec leur fils Alexandre, aussi acteur, histoire de boucler la boucle.
Avant de devenir la star qu’on connaît, Claude, c’était un peu l’artiste en herbe qui n’était pas destiné à rester dans l’ombre familiale. Il quitte vite le lycée et fait ses premiers pas comme assistant-photographe à Paris Match. C’est la vraie vie, pas la comédie. Mais c’est au théâtre, dès 1955 dans « Judas » de Marcel Pagnol, qu’il débute. Et puis le cinéma a vite suivi avec « Rencontre à Paris » en 1956.
Au fil des décennies, Claude a enchaîné les rôles incroyables, du mythique Rouletabille dans « Le Mystère de la chambre jaune » à Vidocq dans les années 70, rôle qui le fait entrer dans la légende de la télévision française. Son visage, sa voix un peu rocailleuse… vous l’imaginez surtout dans des histoires où il est un peu le gars dur, mais humain, quoi.
Sa carrière ? Rien que ça, 120 films, 35 pièces de théâtre et une trentaine de téléfilms ou séries. J’avoue, c’est fou ce qu’il a fait. Son nom reste un symbole de rigueur et d’authenticité dans le cinéma français – franchement, qui ne connaît pas Claude Brasseur ?
Claude Brasseur : héritier d’une dynastie de comédiens et homme de scène
Fils de Pierre Brasseur et Odette Joyeux, deux icônes du théâtre et du cinéma, Claude n’a pas eu une enfance facile, souvent en pension loin de ses parents. Mais, c’est cette histoire familiale qui a forgé son caractère d’acteur. Il savait dès le début qu’il marchait dans les pas d’une grande lignée – même sa maison, il la surnomme « Pierre et fils », une vraie saga familiale.
Son fils, Alexandre Brasseur, est la troisième génération à briller sur les planches et les plateaux. Une vraie passion qui se transmet – pas tous les jours qu’on peut dire ça, non ? Loin des strass et paillettes, Claude restait un vrai travailleur, fidèle à ses racines et à la scène qu’il chérit tant.
Des débuts au théâtre à la consécration à l’écran
Claude a largué les amarres au lycée assez tôt, ce qui est surprenant vu d’ici, mais il s’est vite trouvé une voie avec le théâtre. Il débute dans « Judas » de Pagnol en 1955, puis enchaîne les pièces classiques et contemporaines, sous la houlette de metteurs en scène comme Marcel Bluwal et Roger Planchon, ce dernier devenant un complice fidèle.
Le passage sur petit écran avec « Le Mystère de la chambre jaune » en 1965 lui donne une vraie visibilité, et puis « Les Nouvelles Aventures de Vidocq » le propulse dans la cour des grands. Là, on touche un public plus large et il devient une figure populaire incontournable.
Les rôles iconiques et la popularité durable de Claude Brasseur
Il y a des films qui restent gravés dans la mémoire collective, et Claude y est pour beaucoup. « Un éléphant ça trompe énormément » et sa suite « Nous irons tous au paradis » dans les années 70 sont culte. L’humour et la mélancolie qui se dégageaient de ces rôles, c’était lui, simple, pas prétentieux mais tellement touchant.
Puis il y a « La Boum », où il est le papa parfait, presque ordinaire, à côté de l’étoile montante Sophie Marceau. Ce film a explosé les compteurs ! Et même si ses rôles dans « Camping » n’ont pas toujours eu l’éloge des critiques, le public l’a adoré. Claude, c’est un peu le gars qu’on veut voir à l’écran, familier et attachant.
Vie privée : un homme discret au grand cœur
Même si sa carrière est hyper publique, Claude a su préserver son jardin secret. Marié à Michèle Cambon depuis 1970, leur union a traversé les décennies, ce qui est rare dans le monde du spectacle (vous imaginez ? Plus de 50 ans ensemble !). Ensemble, ils ont élevé Alexandre, qui a suivi les traces de papa, sans pression, dans la douceur familiale.
Claude n’était pas du genre à se vanter, mais il avait ce charme gouailleur, ce regard qui en disait long. Une anecdote ? Il était assistant photographe avant d’être acteur. Comme quoi, la vie peut surprendre…
Projets récents et dernières années de Claude Brasseur
Dans les années 2000, Claude ralentit un peu le rythme mais continue d’apporter sa touche, tournant dans des comédies populaires comme « Camping », et quelques drames. Son dernier coup d’éclat au théâtre, c’était en 2017 avec « L’Indigent Philosophe ». Il aura touché presque tous les genres, du policier au drame, en passant par la comédie.
Claude Brasseur est mort en 2020, mais sa légende continue. Ce gars-là, il a marqué plusieurs générations. Sa carrière, un vrai marathon de passions, de combats artistiques, de rôles inoubliables.
- 🎭 Plus de 120 films à son actif
- 🎬 Près de 40 pièces de théâtre jouées
- 📺 Une trentaine de téléfilms et séries
- 🏆 Deux César remportés, respectivement meilleur second rôle et meilleur acteur
- 👨👩👦 Une famille d’acteurs sur trois générations
Vous pouvez découvrir sa biographie complète ici, un vrai trésor pour les amateurs de cinéma. Pour en savoir plus sur son mariage et sa vie de famille, ce portrait de Michèle Cambon est très touchant. Et pour ceux qui veulent replonger dans ses films marquants, AlloCiné propose une filmographie exhaustive à découvrir absolument.
Petites histoires inattendues autour de Claude Brasseur
Une chose que peu savent : Claude a tourné avec son père dans « Lucky Jo » en 1964, jouant père et fils à l’écran. Un moment de cinéma chargé d’émotion, un vrai clin d’œil de la vie à leur vraie relation. Et puis, son rôle mémorable de Dom Juan en 1965 au théâtre avec Michel Piccoli, une pièce qu’on oublie pas.
On peut dire aussi qu’il était souvent ce gars dans l’ombre, ce pilier discret du cinéma français, jamais du genre à faire son show, mais toujours là, solide comme un roc, immensément talentueux.
Quelle est la date de naissance de Claude Brasseur ?
Il est né le 15 juin 1936 à Neuilly-sur-Seine.
Quels sont les rôles les plus célèbres de Claude Brasseur ?
Il est notamment connu pour ‘Un éléphant ça trompe énormément’, ‘La Boum’ et ‘Les Nouvelles Aventures de Vidocq’.
Combien de César Claude Brasseur a-t-il remportés ?
Il a remporté deux César : meilleur second rôle pour ‘Un éléphant ça trompe énormément’ et meilleur acteur pour ‘La Guerre des polices’.
Qui est Michèle Cambon pour Claude Brasseur ?
C’est sa femme depuis 1970, avec qui il a eu son fils Alexandre, aussi acteur.
Claude Brasseur a-t-il une famille d’acteurs ?
Oui, il est le fils de Pierre Brasseur et Odette Joyeux, et le père d’Alexandre Brasseur.

