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Farrah El-Dibany, vous la connaissez ? Cette mezzo-soprano égyptienne, née le 12 février 1989 à Alexandrie, c’est un peu une révélation dans le monde de l’opéra. À 36 ans, avec ses 1m70, elle impose une présence à la scène aussi bien par son talent que par son charisme. C’est fou de penser qu’elle est la première Égyptienne à intégrer l’Académie de l’Opéra de Paris dès 2016. Oui, rien que ça.
Vous imaginez la pression ? Elle avait tout à prouver, cette jeune femme qui a grandi dans une famille d’artistes, où son grand-père pianiste lui a sans doute transmis ce goût du beau et du classique. Farrah, elle a commencé la musique tôt, au piano, avant de tomber amoureuse du chant. Elle a vu du pays aussi bien dans ses études qu’avec ses spectacles, entre Berlin, le Caire et Paris.
Son parcours entrepreneurial dans la musique, c’est pas une ligne droite. D’abord l’architecture (oui, vous avez bien lu), puis la musique à fond, en Allemagne, enfin son triomphe dans l’opéra. En 2013, elle commence à se faire connaître avec un rôle à l’Opéra du Caire. Et puis, elle décroche des prix un peu partout, histoire de montrer que la voix elle maîtrise !
Ce que j’aime chez elle, c’est cette manière de mêler ses racines arabes avec un répertoire classique occidental. En 2022, elle a même chanté l’hymne français au Champ-de-Mars pour la réélection de Macron. C’est toute une histoire. Ah, et son Instagram vous connaissez ? Elle y partage tout, et c’est vraiment captivant, cette vie d’artiste en flux continu.
Farrah El-Dibany, la mezzo-soprano égyptienne qui illumine les scènes internationales
Vous avez sans doute déjà entendu parler d’elle en tant que mezzosoprano égyptienne qui a troublé les scènes parisiennes et berlinoises. Issue d’Alexandrie, elle a ce je-ne-sais-quoi entre tradition orientale et élégance européenne. Elle représente fièrement l’Égypte partout où elle chante.
Vous la verrez souvent citée comme la première Égyptienne et Africaine à intégrer l’Académie de l’Opéra national de Paris. Un exploit monumental. D’ailleurs, elle collectionne les prix depuis ses débuts : de la Grèce à l’Allemagne, elle n’a jamais laissé une scène sans y estampiller son nom.
Son identité publique est un savant mélange de modernité et de fidélité à ses racines culturelles. Elle rend hommage à ses modèles féminins orientaux, notamment Asmahan, Fairouz et Dalida, ce qui donne un souffle unique à ses prestations, mêlant opéra et musique arabe.
Alors, quand elle monte sur scène et qu’elle vous chante « Wehyat Albi » d’Abdel Halim Hafez ou les airs de Carmen, il y a ce frisson. Un mélange d’émotion brute et de maîtrise technique qui vous cueille. Moi, ça m’a vraiment marqué, notamment son hommage à ces grandes divas qu’elle porte dans son cœur.
De l’architecture au chant : un parcours pas comme les autres
Ce qui m’a frappé, c’est qu’avant de s’engager pleinement dans la musique classique, Farrah a étudié l’architecture. Oui, l’architecture ! À l’Académie arabe des sciences et à la Technische Universität Berlin. L’art et la science dans la même pièce, carrément.
Mais la musique, c’était une vocation tellement forte qu’elle a préféré basculer. Elle a suivi des cours intensifs, notamment à la Hochschule für Musik Hanns Eisler à Berlin. Après, elle a obtenu un Master des Arts à l’Université des Arts de Berlin en 2016, pile avant son entrée à Paris.
Cette touche allemande dans sa formation reste visible dans sa rigueur, mais aussi dans sa technique vocale. J’aime bien cette histoire, parce qu’on sent que c’est à la fois un choix réfléchi et une passion qui l’a portée hors des sentiers battus.
Elle a commencé très tôt, à 14 ans, les cours de chant avec Névine Allouba, et au Centre des Arts à la Bibliothéca Alexandrina. Tout ça pendant ses études, oui, elle travaille dur, cette fille-là. Il fallait vraiment qu’elle s’accroche pour faire tout ça en parallèle.
Grands rôles et succès internationaux qui ont fait sa renommée
Farrah El-Dibany n’a pas attendu longtemps pour apparaître sur le devant de la scène. Déjà en 2013, elle décroche un rôle clé au Caire dans Giulio Cesare de Haendel. Elle est rapidement surnommée « l’Égyptienne Carmen » après un extrait de cette œuvre au Neuköllner Oper à Berlin.
Ce qui est dingue, c’est qu’elle enchaîne les grosses scènes, entre Paris, Berlin, Le Caire… Elle chante aussi lors d’événements majeurs, comme à l’UNESCO pour le 75e anniversaire en 2021, où elle interprète une chanson emblématique.
Son palmarès est impressionnant, avec des distinctions en Grèce, Rom,e Istanbul, et Berlin, y compris le Prix Lyrique de l’AROP décerné par l’Opéra de Paris. Aujourd’hui, elle est un pilier du chant lyrique en Europe, et ses cachets suivent, ce qui laisse penser à une fortune bien méritée.
Elle n’hésite pas à mêler la musique arabe à l’opéra classique, ce qui la rend vraiment unique. Et pour cause, c’est une vraie passionnée des divas orientales, et ça transparait à chaque note. Ce mix culturel… c’est tellement rafraîchissant.
Une vie privative discrète mais pleine d’émotions
Alors, sur le plan perso, c’est assez discret. On sait qu’elle est plutôt discrète sur sa vie privée, pas du genre à étaler sa vie sentimentale sur les réseaux. Elle est très attachée à sa famille et ses racines. J’ai lu qu’elle a grandi entourée d’art, ce qui l’a sans doute protégée du star-système un peu fou.
Pas d’infos officielles sur un éventuel mariage ou enfants, mais elle semble préférer garder ce pan de vie hors du feu des projecteurs. Ce respect de l’intimité fait que sa musique reste la star de la soirée, pas sa vie privée.
Cela dit, il faut noter une anecdote incroyable : en 2016, elle était à bord du vol EgyptAir 181, qui a été détourné. Heureusement tout s’est bien fini, mais bon, ça ne doit pas être facile à vivre. Une sacrée épreuve qui montre qu’elle a aussi une force mentale énorme.
Franchement, c’est cette part d’ombre et de lumière qui rend ses interprétations si puissantes. Elle ne joue pas un rôle, elle vit ses chansons, et ça, ça se ressent.
Les projets récents et collaborations remarquables de Farrah El-Dibany en 2026
En 2026, Farrah ne ralentit pas du tout. Elle continue à faire vibrer Paris, avec des récitals au prestigieux Opéra national de Paris, mais elle explore aussi d’autres horizons. Elle a d’ailleurs participé à des projets mêlant musique classique et orientale, une sorte d’hommage vivant aux divas arabes.
Elle a notamment été invitée par l’Institut Giacometti pour un récital où elle mêlait airs d’opéra et chants du monde arabe, un moment suspendu qui a marqué les esprits. Cette femme sait comment toucher son public, croyez-moi.
Sur les réseaux, notamment son Instagram, elle nous régale de pauses entre coulisses et grands moments, on la suit presque comme si on était là. Elle collabore aussi avec d’autres artistes, ce qui lui permet d’élargir son univers musical.
Elle continue aussi de défendre la culture arabe en Europe, un pont culturel qu’elle construit avec passion. En France, dans des événements importants comme la Coupe du Monde 2022, elle a même chanté l’hymne national, un honneur qui montre l’importance grandissante de sa figure publique.
Liste des moments clés de la carrière de Farrah El-Dibany à retenir
- 🎶 Premier prix au concours de chant du Conseil supérieur de la culture égyptien en 2007
- 🌍 Première Égyptienne et Africaine à intégrer l’Académie de l’Opéra de Paris en 2016
- 🏆 Série de récompenses internationales, notamment à Rome, Berlin et Athènes
- 🎤 Prestations remarquées au 75e anniversaire de l’UNESCO et lors de la Coupe du Monde de Football 2022
- 🎭 Réputée pour ses hommages aux divas orientales Asmahan, Fairouz et Dalida
Farrah El-Dibany, l’étoile montante et engagée de l’opéra lyrique contemporain
Ce qui me fascine chez elle, c’est cette force tranquille et cette capacité à se réinventer. Farrah, elle ne se contente pas d’être une chanteuse au parcours linéaire, elle est une artiste engagée qui fait vibrer différentes émotions, à chaque interprétation.
Son ancrage dans ses origines égyptiennes tout en gagnant le cœur du public européen, c’est un vrai pont culturel. Elle incarne la diversité dans ce milieu souvent très figé, et ça, c’est rafraîchissant. Et vous savez quoi ? Elle est loin d’avoir dit son dernier mot.
En plus, malgré sa vie intense, elle reste humble. Vous la suivez sur Facebook ou ses autres réseaux, et ça fait du bien cette simplicité. Elle partage ce qu’elle aime, comme sa passion pour les divas ou des morceaux classiques, sans se prendre trop au sérieux.
Un vrai vent de fraîcheur dans le monde parfois un peu guindé de l’opéra. J’espère la voir bientôt dans de nouvelles productions, de nouvelles collaborations, elle mérite vraiment toute l’attention du public et des critiques.
Qui est Farrah El-Dibany ?
Farrah El-Dibany est une mezzo-soprano égyptienne née en 1989 à Alexandrie, célèbre pour être la première Égyptienne à intégrer l’Académie de l’Opéra national de Paris.
Quels sont les grands succès de Farrah El-Dibany ?
Elle a remporté plusieurs prix internationaux et s’est produite dans de grands opéras, notamment en jouant Carmen et en chantant à l’UNESCO et lors de la Coupe du Monde 2022.
Quel est son style musical ?
Farrah mêle musique classique occidentale et héritage arabe, rendant hommage aux grandes divas orientales comme Asmahan, Fairouz et Dalida.
Comment suit-on son actualité ?
Vous pouvez suivre sa musique et ses projets via son site officiel, son Instagram et sa page Facebook, où elle partage régulièrement son univers artistique.
A-t-elle vécu des événements marquants ?
Oui, en 2016, elle a été victime d’un détournement de vol sur EgyptAir 181, ce qui a impacté sa vie mais aussi renforcé sa force intérieure.

