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Julian Alaphilippe, c’est un nom qui claque dans le monde du cyclisme. Né le 11 juin 1992 à Saint-Amand-Montrond, il a aujourd’hui 33 ans, mesure environ 1m73, et sa carrière fait vibrer la petite reine depuis plus de dix ans. Vous ne le connaissez pas encore ? Attendez un peu, je vous embarque dans son univers, c’est vraiment passionnant.
Avant d’être la star que l’on connaît, Julian a commencé dans le cyclo-cross. Oui, pas juste la route, il a été vice-champion du monde juniors, pas mal, non ? Puis, petit à petit, il a bifurqué vers la route, avec un contrat chez Etixx-iHNed en 2013. Là, tout a basculé.
Le gars ne fait pas dans le banal. Il est un des meilleurs puncheurs au monde, ces coureurs explosifs qui savent tout déchirer dans les bosses courtes. Son explosivité, sa vitesse, c’est la combinaison gagnante qui lui a permis d’empiler les victoires, parfois à la surprise générale.
Là où Alaphilippe est un peu comme un ninja du peloton, c’est sa capacité à faire d’énormes coups quand moins on l’attend. Triple vainqueur de La Flèche wallonne, vainqueur de Milan-Sanremo… Rien que ça.
Qui est Julian Alaphilippe ? Un puncheur français au sommet
Alors, pour vous planter le décor, Julian c’est un Français, au physique plutôt dégingandé, mais avec une puissance de feu incroyable. Moins d’1m75, mais un moteur à couper le souffle. Il a été élevé dans le Cher, et a d’abord fait ses armes en cyclo-cross, où il s’est déjà fait remarquer avec plusieurs titres de champion de France espoirs et un vice-championnat du monde junior.
Il bascule sur la route pour embrasser totalement le cyclisme pro, juste après son contrat pro en 2013. Il intègre rapidement ce qui deviendra la mythique équipe Deceuninck-Quick Step (anciennement Omega Pharma-Quick Step), un groupe au palmarès hallucinant sur les classiques.
Son identité publique ? Celle d’un coureur ultra-complet, capable de dézinguer dans une montée raide et serrée, et d’avoir encore assez de jus pour sprinter derrière. C’est un vrai piège à puncheurs, avec une pointe de vitesse qui fait souvent la différence dans les dernières centaines de mètres.
Ah, et son palmarès, je vous le dirai plus bas, mais sachez-le : il a 45 victoires à son actif, un truc de malade quand même.
Un parcours marqué par le travail et la persévérance
Vous savez quoi ? Avant d’être ce champion qu’on adore encourager, il a dû charbonner dur. Julian n’a pas bénéficié d’un destin royal, il a bossé, accumulé les kilomètres, souvent à l’ombre des plus grands. Le passage du cyclo-cross à la route, c’était un pari. Parfois risqué. Mais ça lui a servi.
Et puis, surtout, il démontre très vite qu’il n’est pas là pour faire joli. En 2015, il frôle déjà la victoire sur Liège-Bastogne-Liège. Plus qu’un outsider, il devient un vrai candidat. Une décennie s’est écoulée depuis ses débuts pros, et si on voit encore Alaphilippe grimper au sommet, c’est parce qu’il a su soigner sa forme, souffler quand il fallait, et revenir plus fort encore.
Pour ceux qui s’intéressent aux détails, en 2017, il prend la 2e place du Tour de Lombardie, l’une des classiques les plus exigeantes. Pour la vie civile, c’est un gars plutôt discret, concentré sur ses objectifs, pas trop dans le bling-bling. Ça change, non ?
Les exploits qui ont marqué le cyclisme français
Franchement, parler d’Alaphilippe sans évoquer ses exploits sur La Flèche wallonne, c’est un peu fou. Il a remporté cette course à trois reprises (2018, 2019, 2021). Rien que ça.
Vous connaissez Milan-Sanremo ? Une des plus prestigieuses courses d’un jour. Il l’a gagnée en 2019, ça a été un coup de maître, un de ces moments où le cœur de tous les fans de vélo a explosé.
Son sacre sur le Tour de France ? Cinq étapes gagnées, un maillot jaune porté totalement à l’aise en 2019 pendant deux semaines. Et ce petit truc qu’on oublie souvent : il a aussi été champion du monde en 2020 et 2021, pas une, mais deux fois. C’est lourd.
Plus récemment, en 2025, avec son arrivée dans l’équipe Tudor, il a commencé l’année en beauté en remportant le GP de Québec, une victoire signée d’une stratégie un peu bizarre, mais ô combien efficace. Ce genre de victoire où on se dit « Mais comment il a fait ça ? ».
Quelques anecdotes surprenantes sur Julian Alaphilippe
- 🚴 Sa reconversion du cyclo-cross à la route, qui a changé sa carrière.
- 🎯 Sa fameuse tactique au GP de Québec 2025 : un jeu d’acteur ou mal de jambes ? Personne ne sait vraiment.
- 🏆 Son impressionnante série sur La Flèche wallonne, triple vainqueur, ce n’est pas donné à tout le monde.
- 📅 Son long mariage avec Quick-Step avant de rejoindre Tudor, un vrai tournant dans sa carrière.
- 🌍 Son engagement discret mais réel dans des causes liées à l’environnement et au sport.
Julian Alaphilippe : que nous réserve 2025 et au-delà ?
À 33 ans, on pourrait se dire que c’est l’heure de lever un peu le pied… Eh bien non, pas pour “Alaf” ! Son arrivée chez Tudor en 2025 est un nouveau chapitre, et il a déjà signé un joli coup avec le GP de Québec dont je vous parlais. Avec une carrière déjà bien remplie, il vise maintenant les plus grands tours et quelques classiques.
Il est clair que ses fans attendent avec impatience de voir sa course sur les routes vallonnées, et qui sait, peut-être encore un maillot jaune à glaner sur le Tour de France. Il a le talent, le mental, et surtout ce brin de folie qui fait toute la différence.
Pour suivre de près son actu, je vous conseille de jeter un œil régulier sur Le Dauphiné ou ProCyclingStats. Son site officiel est aussi une mine d’or : julianalaphilippe.fr.
Quelle est la taille de Julian Alaphilippe ?
Julian mesure environ 1m73, une stature idéale pour un puncheur capable d’exploser les bosses courtes.
Quels sont les plus grands succès de Julian ?
Il est double champion du monde de cyclisme sur route (2020 et 2021), triple vainqueur de La Flèche wallonne, et vainqueur de Milan-Sanremo. Sans oublier ses victoires sur le Tour de France.
Depuis quand Julian est-il professionnel ?
Julian Alaphilippe est professionnel depuis 2013, d’abord chez Etixx-iHNed, puis il a rejoint l’équipe Quick Step où il est devenu une star.
Quelle est son équipe actuelle ?
En 2025, Julian roule pour l’équipe Tudor, après avoir passé plus de dix ans chez Quick-Step.
Comment a-t-il gagné le GP de Québec en 2025 ?
Avec une tactique un peu spéciale : il a évité de faire les relais dans le groupe d’échappés tout en grimaçant, suscitant la surprise avant de lancer un accélération décisive dans la dernière côte.
