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- Qui était Laurence Chirac, la fille aînée de Jacques Chirac et Bernadette Chirac ?
- Parcours de Laurence Chirac : de la jeunesse prometteuse aux défis de la maladie
- Une vie privée en retrait malgré une famille politique exposée
- Quelques faits marquants et anecdotes éclairantes sur Laurence Chirac
- Des projets et une mémoire toujours présentes en 2026
Laurence Chirac, la fille aînée de Jacques Chirac, né le 4 mars 1958, mesure dans les alentours d’1m65. Franchement, son histoire fait un peu mal au cœur, tellement elle est marquée par une lutte invisible, à l’ombre du grand nom de sa famille.
Vous savez, elle n’a jamais cherché les projecteurs comme sa sœur cadette Claude, et pourtant, sa vie a influencé cette grande famille politique d’une manière brute et intime. C’est fou comment l’ombre d’une maladie peut entourer une vie entière.
Pendant des années, elle s’est battue contre l’anorexie et la dépression, des combats privés connus seulement par ceux qui l’aimaient vraiment. C’est une sorte de portrait hors normes, un drame personnel au cœur d’une dynastie française.
Les dernières années avant son départ, le 14 avril 2016 d’un malaise cardiaque, ont été enveloppées dans cette discrétion typique, où les Chirac ont préféré préserver leur fille du regard public. Mais son histoire, elle vaut largement qu’on s’y attarde un peu plus.
Qui était Laurence Chirac, la fille aînée de Jacques Chirac et Bernadette Chirac ?
Alors, Laurence, c’est avant tout la fille aînée du président Jacques Chirac, un homme qu’on connaît bien grâce à son immense carrière politique. Née dans une famille où la politique était partout, Laurence a pourtant toujours gardé une vie éloignée de la célébrité.
Jacques Chirac était maire de Paris avant de devenir président, et cela a rendu la vie de famille particulièrement agitée. Laurence, c’était cette enfant brillante – vraiment brillante ! – avec un tempérament discret, assez différente de sa sœur Claude, plus exposée et médiatique.
Elle a grandi dans le château de Bity, en Corrèze, un lieu qui résonne encore avec les souvenirs heureux et les combats familiaux. Ce cadre privilégié, pourtant plein de charme, ne lui a pas évité des épreuves qu’elle a affrontées loin des regards extérieurs.
Assez rapidement, ses parents ont découvert que leur fille souffrait d’une maladie grave, une anorexie mentale, déclenchée après une forme de méningite contractée à l’adolescence. Une situation brève mais lourde qui a fissuré la vie paisible que l’on aurait pu imaginer pour elle.
Parcours de Laurence Chirac : de la jeunesse prometteuse aux défis de la maladie
Eh oui, avant que tout bascule, Laurence était une brillante élève, passionnée par les études de médecine. Elle voulait comprendre, aider, s’engager. Son père lui avait même déniché un stage prestigieux chez le professeur Lejeune, un nom pas anodin dans le milieu.
Mais au fil du temps, la maladie est devenue une présence constante, parfois très lourde à porter. Son poids descendait dangereusement, parfois à seulement vingt-sept kilos. Un chiffre qui saute aux yeux et que personne ne peut oublier.
Ce qui m’a frappé, c’est de savoir que malgré tout, à l’époque, elle avait cette volonté farouche d’aider les autres. En 1984, elle jouait même les standardistes bénévoles pour Patrick Poivre d’Arvor à Antenne 2, un petit geste qui parle beaucoup de sa nature généreuse.
Sauf que son anorexie a engendré plusieurs tentatives de suicide, des moments extrêmement sombres pour la famille. On parle de plus de quinze essais, une douleur que peu peuvent imaginer, surtout chez une femme qui a grandi sous la lumière d’un président.
Une vie privée en retrait malgré une famille politique exposée
Alors voilà, alors que sa sœur Claude devenait le sourire officiel de Jacques Chirac, Laurence, elle, s’effaçait progressivement, de plus en plus tranquille dans sa vie à part. Le maire, puis président, se battait aussi avec ce silence lourd à porter.
Jacques et Bernadette, eux, ont veillé sur elle sans relâche, parfois au détriment de leur propre bien-être. Bernadette a même créé « La maison de Solenn », un centre contre l’anorexie invisible à beaucoup, mais très réel pour la famille.
Laurence a rarement fait des apparitions publiques notables, même en 2012, lors des 80 ans de Jacques, où elle a posé pour Paris Match. Ça restait rare. Une sorte de battante qui voulait garder un monde à elle, loin des projecteurs.
Malgré tout, son décès en 2016 a secoué le pays. Une silhouette discrète, mais dont l’histoire a touché des centaines de milliers de Français, rappelant combien personne n’est à l’abri des combats intimes.
Quelques faits marquants et anecdotes éclairantes sur Laurence Chirac
- 🌟 En 1990, Laurence fait une tentative de suicide en se jetant par la fenêtre de son appartement, un choc énorme pour sa famille.
- 🍽️ Chaque jour, une voiture spéciale venait lui livrer son déjeuner, une attention discrète mais constante.
- 🩺 Le professeur Louis Bertagna, expert en neuropsychiatrie, avait un rendez-vous avec elle chaque dimanche, un soupçon d’humanité dans ce combat.
- 🌸 Bernadette Chirac avouait que c’était « effroyable » de voir sa fille souffrir, un témoignage bouleversant d’une mère dévouée.
- 📸 La famille Chirac a longtemps refusé de montrer Laurence pour ne pas alimenter la rumeur et la presse, un choix difficile.
Des projets et une mémoire toujours présentes en 2026
Vous vous demandez peut-être ce qui reste aujourd’hui ? Si sa vie publique a été discrète, son héritage a pris une autre forme – un message fort sur l’importance de la santé mentale et la nécessité de soutenir la lutte contre les maladies comme l’anorexie.
La famille Chirac continue de préserver sa mémoire avec délicatesse, évitant toujours l’exhibitionnisme, mais promettant que son combat n’aura pas été en vain. C’est une sorte d’hommage silencieux qui parle plus fort que mille discours.
Dans un monde où la maladie mentale trouve enfin une meilleure place dans le débat public, Laurence reste un visage poignant de cette lutte. Sa vie documentée dans quelques rares ouvrages et reportages donne une perspective humaine à un sujet qui touche tant de familles.
Et, pour celles et ceux qui veulent vraiment savoir, sa silhouette fragile mais courageuse se rappelle, loin de tout, mais jamais oubliée.
Quel âge avait Laurence Chirac au moment de son décès ?
Elle est décédée à 58 ans, le 14 avril 2016, après une longue lutte contre la maladie.
Quelle a été la cause principale de sa maladie ?
Laurence Chirac a souffert d’anorexie mentale, déclenchée après une méningite contractée à l’adolescence.
Était-elle mariée ou avait-elle des enfants ?
Non, elle n’a jamais été mariée et n’a pas eu d’enfants, préférant une vie loin du public.
Où est-elle enterrée ?
Laurence Chirac est inhumée au cimetière du Montparnasse à Paris, près de son père Jacques Chirac.
Quel impact la maladie de Laurence a-t-elle eu sur Jacques Chirac ?
Jacques Chirac considérait la maladie de Laurence comme le drame de sa vie, le poids qui l’a profondément marqué.
Si vous voulez explorer davantage cette histoire touchante, n’hésitez pas à jeter un œil à cet article détaillé du Monde ou encore à Europe 1 qui revient sur sa vie. Vous y trouverez à la fois la douleur et la dignité d’une femme qui a traversé l’intolérable.

