Laurence Ferrari

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Laurence Ferrari, c’est un peu comme cette voix qu’on a toujours entendue quand on zappait sur le JT du soir. Née le 5 juillet 1966 à Aix-les-Bains, elle a ce truc qui accroche, vous voyez ? Une carrière bien remplie, un mélange d’élégance et d’engagement qui fait qu’on la remarque toujours.

Son parcours avant la star, il est pas banal : une enfance bercée par la politique et la culture grâce à son père, Gratien Ferrari, ancien député-maire. Une double identité aussi, franco-italienne, qui colore son regard sur le monde.

On dirait qu’elle voulait faire médecine mais la vie en a décidé autrement. Forcée de bifurquer, elle s’est lancée dans le journalisme. Et franchement, on peut dire qu’elle ne s’en est pas mal sortie. De pigiste à présentatrice du 20h de TF1, le chemin fut long mais intense.

Du grand écran à la scène politique, en passant par des débats brûlants à la télé, Laurence Ferrari est devenue une figure reconnue, parfois controversée, toujours passionnée. Et pourtant, on sent chez elle une humaine, avec ses hauts, ses bas, ses coups de cœur.

Les racines et l’identité visible de Laurence Ferrari

Elle est née dans un cocon où la politique s’invitait à table. Imaginez les discussions, les débats passionnés qui nourrissaient son esprit curieux d’enfant. Sa famille italienne d’origine, venue de Scandiano, lui a donné ce petit supplément d’âme méditerranéenne, une touche de caractère piquante.

Mais il y a cette image d’elle, toujours impeccable, avec un style qui ne trahit jamais un certain classicisme, presque intemporel. Sa taille d’1,70 m et ses yeux verts sont souvent relevés, mais cette élégance naturelle est surtout un reflet de sa confiance et de son engagement.

Personne ne peut réduire Laurence Ferrari à un simple visage de la télé. Elle incarne une voix politiquement engagée, qui prend des positions, qui veut comprendre et faire comprendre. C’est cette double casquette, la journaliste et la femme d’opinion, qui intrigue et captive.

Ce qui est fascinant, c’est cette longévité dans le métier. On peut parler de sa force tranquille, de son âge qui lui a apporté une certaine profondeur, plutôt que de simples anecdotes de jeune poulain du média. Elle a mûri, et ça se sent à chaque intervention.

Des débuts modestes et déterminés avant la célébrité

J’adore ces moments où on pense “elle aurait pu tout abandonner”. Après un baccalauréat scientifique, elle s’est lancée en médecine, mais ça n’a pas collé (deux échecs en première année, ouille). Heureusement, elle ne s’est pas découragée et s’est dirigée vers Lyon puis Paris, vers la communication et le journalisme.

Ses premiers pas, elle les fait à l’AFP et dans des piges pour des magazines. Europe 1, Figaro Magazine, ses premières écoles de la vie en somme. Elle apprend le métier à la dure, entre presse écrite et radio, avant de toucher à la télé.

C’est là qu’on perçoit cette voie unique qu’elle s’est tracée. Plus qu’un job, un engagement, une passion. Elle a même co-créé Sept à huit avec son premier mari, Thomas Hugues, c’est dire. C’était avant qu’elle entre dans la lumière sur TF1.

Une carrière marquante avec des succès et des défis permanents

De TF1 à Canal+ puis CNews, elle a été partout. Ses années au 20 heures sur TF1 restent gravées dans la mémoire collective. Présenter l’info à cette heure, c’est pas un métier facile, un âge où la pression monte, la concurrence aussi. Elle s’y est tenue quatre ans, avec des événements politiques et sociaux majeurs sous les yeux : crise financière, révolutions arabes, attentats…

On n’oublie pas son passage sur Le Grand 8, un format beaucoup plus léger mais qui lui a permis d’explorer une autre facette, plus décontractée et engagée par moment. Ensuite, Punchline sur CNews, où elle tient encore la barre, même si début 2026, on a vu ses remplaçants temporaires prendre le relais pendant les vacances.

Ses succès ne sont pas que télés, elle a une fortune, estimée à environ 12 millions d’euros en 2025, méritée au prix d’années de travail acharné. Elle est aussi rédactrice en chef politique de Paris Match depuis 2022, un beau virage vers la presse écrite.

Voilà un exemple de longévité sans compromis, avec cette capacité à évoluer avec son temps. Pas étonnant qu’elle soit citée parmi les figures les plus influentes du journalisme français, même si on sait que chaque succès a son lot de stress et de critiques.

Vie privée, amour et anecdotes surprenantes

Sa vie est souvent restée discrète, pas du genre à ouvrir toutes les portes de son intimité. Mariée à Thomas Hugues dans les années 90, deux enfants sont venus assez vite : Baptiste et Laetitia. Une séparation respectueusement gérée, même si elle fut médiatisée.

Depuis 2009, elle partage sa vie avec Renaud Capuçon, violoncelliste renommé. Ensemble, ils ont un fils, Eliott. Vous imaginez ce mélange journalisme et musique classique ? C’est beau, et ça en dit long sur ses centres d’intérêt : culture, engagée, raffinée.

Une anecdote qu’on oublie souvent : elle a failli devenir médecin, qui l’eût cru ? Elle parle aussi couramment italien, un secret bien gardé qui témoigne de ses racines. Et puis, elle a interviewé Nelson Mandela en 1999, un moment qu’elle qualifie de marquant – franchement, ça doit laisser des frissons.

En 2025, alors qu’elle laissait place à d’autres sur Punchline, elle a su remercier avec chaleur avant de céder l’antenne – un geste humble qui la caractérise bien malgré son statut.

Les projets récents et collaborations de Laurence Ferrari en 2025 et 2026

Bon, c’est pas une femme qui reste à la traîne. En 2025, elle a accueilli Philippe de Villiers sur Punchline, avant de prendre une courte pause avec plusieurs remplaçants temporaires comme Élodie Huchard, Thierry Cabannes et Julien Pasquet. Un relais bien orchestré avant son retour début 2026.

Elle reste aussi très active sur les réseaux sociaux, partageant des moments privés ou des réflexions sur son métier. Son engagement se traduit aussi dans sa fonction à Paris Match, où elle publie des éditos marquants sur la société, la politique, parfois même sur la santé mentale des jeunes.

Le couple qu’elle forme avec Renaud Capuçon est souvent vu dans les sphères culturelles, conférant à Laurence une double influence entre médias et musique. Ça change un peu des clichés du journalistisme purement politique, pas vrai ?

En clair, elle est toujours à fond, entre écran, presse écrite et engagement sociétal, avec cette capacité à rester accessible et spontanée. Pas mal pour une femme qui dépasse le demi-siècle avec panache.

Le poids d’une carrière et ce qui fait son originalité

Ce qui frappe chez Laurence Ferrari, c’est sa constance, malgré le brouhaha médiatique. Elle a su garder son identité, pas facile quand on connaît la vitesse à laquelle tout évolue aujourd’hui. >Même sa silhouette et sa prestance ne trahissent pas le temps qui passe, plutôt l’inverse.

À 59 ans en 2025, sa fortune n’est pas qu’un chiffre : c’est le reflet d’un parcours riche entre travail à la télé, radio, presse écrite et conférences. Cette adaptabilité est rare, il faut le reconnaître.

Je trouve qu’elle reste une référence pour les jeunes journalistes. Son âge n’est pas un frein, au contraire, une force qui insuffle du sérieux et du recul. Elle donne aussi une image rassurante pour celles et ceux qui s’intéressent au journalisme politique en France.

Pour vous donner une idée de son influence, jetez un œil à cet article passionnant sur sa voix dans le paysage médiatique hexagonal.

On ne vous cache pas que son passage dans Punchline est une sorte de rituel pour les passionnés du débat politique. Son retour en 2026 promet encore des échanges vifs et surtout très bien argumentés.

Engagements, causes et humanité derrière la journaliste

Elle ne se contente pas de lire un prompteur, loin de là. Laurence Ferrari s’engage contre les violences faites aux femmes, milite pour la liberté de la presse et soutient la musique classique. C’est cet équilibre qui la rend vraiment attachante.

Elle est marraine d’associations comme La Voix de l’Enfant ou SOS Préma et participe à des galas de charité. C’est un vrai engagement du cœur, pas juste un coup médiatique. Et ça, ça fait toute la différence, vous ne trouvez pas ?

Avec elle, on a souvent l’impression que le journalisme est un combat, mais aussi une mission. L’humain est au centre, la sensibilité aussi. Parfois, elle partage ce mélange dans des éditos courts mais percutants qu’on peut lire dans des articles ou sur les réseaux.

Sa voix a cette saveur d’authenticité et de sincérité qui manque parfois dans ce monde saturé d’info. Un souffle frais dans un océan de news souvent surfaites.

  • 🎤 Présentatrice emblématique du 20h sur TF1
  • 📚 Diplômée en communication politique et sociale
  • 🎻 Mariée à Renaud Capuçon, violoncelliste de renom
  • 💬 Engageée dans la lutte contre les violences faites aux femmes
  • 📺 Actuelle animatrice de Punchline sur CNews
  • 📖 Rédactrice en chef politique de Paris Match
  • 💼 Fortune estimée à 12 millions d’euros

Qui est Laurence Ferrari ?

Journaliste et présentatrice née à Aix-les-Bains en 1966, célèbre pour son passage au JT de TF1 et sa carrière dans les médias français.

Quel est le parcours éducatif de Laurence Ferrari ?

Après un baccalauréat scientifique, elle a tenté la médecine avant de se tourner vers la communication et le journalisme avec un DESS à Paris I Panthéon-Sorbonne.

Quelle est sa vie familiale ?

Mère de trois enfants, mariée au violoncelliste Renaud Capuçon depuis 2009, avec qui elle partage une vie discrète mais très cultivée.

Quels sont ses engagements ?

Laurence Ferrari lutte contre les violences faites aux femmes, soutient la liberté de la presse et est proche des causes musicales et sociales.

Où suivre ses actualités ?

Active sur Twitter, Instagram et LinkedIn, elle partage ses éditos, réflexions et coulisses de ses émissions.


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