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Vous avez probablement déjà entendu parler de Lexii Alijai, cette rappeuse américaine incroyable, partie bien trop tôt. Elle est née le 19 février 1998 à Saint Paul, dans le Minnesota, et malheureusement, elle est décédée le 1er janvier 2020, à seulement 21 ans. Sa vie ne mesurait pas bien plus qu’un clin d’œil.
Si on devait parler taille, Lexii n’était pas là pour imposer par sa stature, elle mesurait environ 1m63, mais clairement, c’était son talent qui remplissait toutes les pièces où elle posait un pied. Pas mariée, pas de vie publique ultra exposée, elle a préféré se concentrer sur la musique.
Ce qui m’a toujours marqué, c’est cette énergie, ce feu chez une toute jeune fille qui, dès les premiers pas, semblait avoir quelque chose de spécial. Ses débuts n’ont rien été d’évident, mais elle s’est frayé un chemin dans un milieu pas toujours tendre.
Pour vous dire, son style ça frappait fort, et vous savez quoi ? Elle reprenait sans vergogne des énormes tubes comme ceux de Drake ou 2Pac, mais avec un zest à elle, quelque chose presque magique qui vous captive.
Qui était Lexii Alijai ? La voix émergente de Saint Paul au destin brisé
Lexii Alijai, de son vrai nom Alexis Alijai Lynch, est née dans le Minnesota, une ville aux racines hip-hop bien solides. Cela a sûrement joué un rôle dans sa formation et la couleur de sa musique. Je vous raconte pas, son grand-père, Roger Troutman, était lui aussi dans la musique, une sorte d’âme artistique qui coulait dans ses veines.
Elle n’a jamais caché ses influences, et sa manière d’embrasser la scène locale — connue sous le nom des Twin Cities — lui a permis de se forger une identité unique. Même si elle avait ce style parfois sombre, mélancolique, elle était incroyablement authentique, ce qui lui a donné ce petit truc en plus.
Malgré sa jeunesse, elle a vite compris qu’il fallait se battre pour exister dans ce milieu, elle a ainsi gravi les échelons avec une rapidité étonnante. La musique, c’était son refuge, sa thérapie aussi j’imagine. Elle a sorti Growing Pains en 2017, son premier album qui a marqué le début d’une belle aventure.
Et pourtant, elle avait beaucoup plus à donner. Son public ne s’en est rendu compte que trop tard, quand la nouvelle de sa disparition a rendu tout le monde silencieux, presque figé.
Le parcours difficile mais fulgurant de Lexii Alijai avant la célébrité
Avant de devenir une star montante, Lexii a touché à tout, des petits battles locaux jusqu’aux premières mixtapes. Franchement, elle a bossé dur, et ses reprises comme celle de Girls Love Beyonce de Drake lui ont valu des premiers retours super positifs, c’était la porte d’entrée dans un univers impitoyable.
Je me souviens qu’elle aimait bien mélanger les genres, emprunter des vibes à Bryson Tiller ou Meek Mill, rien que ça. Donc, pas juste une rappeuse de plus, mais une artiste qui savait ajouter sa patte, une vraie conteuse dans l’âme.
Son style était aussi façonné par un désir profond de raconter, de partager des émotions très personnelles, souvent douloureuses mais toujours avec cette énergie presque contagieuse qui la caractérisait. Pas étonnant que son entourage parle d’elle comme d’une « âme généreuse » et d’une personne à l’esprit débordant de lumière.
Et elle avait cette humble ambition que, je vous jure, ça faisait du bien à voir dans ce milieu-là . Une chose est sûre, ses racines et son bagage familial la maintenaient avec les pieds sur terre.
Ses plus grands succès et collaborations marquantes
Lexii a touché une lumière particulière avec ses featuring, notamment sur l’album You Should Be Here de Kehlani en 2015, un projet qui a même été nommé aux Grammys. Oui, vous avez bien lu, une reconnaissance assez énorme si on considère son âge à l’époque.
Elle a également su se démarquer avec ses mixtapes et ses propres morceaux, ses reprises qui ont tourné en boucle sur les réseaux, captant un public jeune et fidèle. Le style, la voix, la façon de vendre ses textes : tout était là pour faire d’elle une grande.
Mais honnĂŞtement, ce qui reste incroyable, c’est que malgrĂ© cette vitesse d’ascension, la rappeuse a toujours gardĂ© cette fraĂ®cheur et cette honnĂŞtetĂ©, un vrai souffle d’air neuf dans l’univers hip-hop.
Sa dernière œuvre, un album baptisé Come Back, était même prévu juste après sa disparition, vous imaginez ? Un talent parti trop vite, mais qui avait encore des choses à dire.
Vie privée de Lexii Alijai : entre musique et confidences
Loin des projecteurs, Alexis — c’était son vrai prénom — semblait garder sa vie privée bien à l’abri. Pas trop exposée sur les réseaux, elle préférait que ce soit son talent qui parle. Mais on sait quand même qu’elle était entourée de gens qui la supportaient fort.
Plusieurs témoignages de ses proches racontent une jeune femme douce, pleine de bienveillance, et avec cette flamme de créativité qui ne s’éteignait jamais. Ça détonnait vraiment avec l’image plus « dure » qu’on associe parfois au rap.
On apprend aussi que ses racines familiale dans la musique la guidaient beaucoup, qu’elle chérissait cet héritage, mais qu’elle avait soif de faire les choses à sa manière, avec sincérité. Une vraie âme d’artiste, quoi.
Par contre, côté obscur aussi, elle a malheureusement payé un lourd prix, notamment à cause d’un mélange fatal de fentanyl et d’alcool lors de sa disparition — un drame qui a choqué les fans et la communauté hip-hop.
Anecdotes surprenantes sur Lexii Alijai et son héritage musical
Qui aurait cru qu’une fille du Minnesota allait un jour tourner les têtes avec ses versions de classiques de rap ? Elle reprenait 2Pac, Drake, mais elle savait y mettre sa sauce, c’était presque une autre dimension.
Une fois, elle a racontĂ© dans une interview comment elle se retrouvait parfois Ă Ă©crire des textes tard le soir, avec l’envie irrĂ©pressible de poser ses tripes. Ça vous touche, non ? Cet amour pour l’écriture, c’est rare.
Plus personnel, son grand-père, Roger Troutman, est une légende américaine de la musique funk et rap, ça vous situe le niveau de la famille ! C’est fou comme le talent pouvait être presque génétique chez elle.
Sa mort a laissé un grand vide mais aussi une énorme trace dans le coeur de ceux qui l’ont connue et suivie. Une étoile filante, c’est exactement ça.
Les projets récents et l’héritage de Lexii Alijai en 2025
Même si elle nous a quittés trop tôt, Lexii continue à inspirer des milliers d’artistes et d’amateurs de rap. Son album Come Back est resté un symbole d’espoir et de potentiel non réalisé.
Et les hommages ne cessent pas, même des années après, avec des artistes comme Kehlani qui parlent souvent d’elle, la gardent vivante dans leurs cœurs. C’est beau et triste à la fois.
En 2025, on se souvient encore de cette jeune rappeuse qui a marqué la scène américaine, preuve que la musique transcende le temps. Elle reste une figure majeure du hip-hop du Minnesota.
Alors, si vous voulez découvrir ou redécouvrir son univers, je vous conseille de jeter un œil à ses mixtapes, son premier album, et suivre son histoire via des sources comme Linfo.re ou encore Closer, ils retracent son parcours avec passion.
Liste des faits marquants à retenir sur Lexii Alijai 🔥
- 🎤 Elle est née en 1998 à Saint Paul, Minnesota.
- 🎵 A émergé grâce à des reprises populaires (Drake, 2Pac).
- 🏆 Collabore avec Kehlani sur un album nommé aux Grammys.
- 💔 Décédée accidentellement en 2020 à cause d’un mélange toxique.
- ✨ Laisse derrière elle un album Come Back non sorti à ce jour.
- 🌟 Héritière d’un grand nom de la musique, son grand-père Roger Troutman.
Quel était le vrai nom de Lexii Alijai ?
Elle s’appelait Alexis Alijai Lynch, nĂ©e en 1998 Ă Saint Paul, Minnesota.
Comment est-elle décédée ?
Sa mort est due à un mélange accidentel de fentanyl et d’alcool, révélée par un rapport médical officiel.
Quels sont ses projets musicaux clés ?
Son premier album, Growing Pains, et un album posthume, Come Back, prévu pour sortir peu après son décès.
Avec qui a-t-elle collaboré ?
Parmi ses collaborations majeures, on retient son featuring sur l’album You Should Be Here de Kehlani, nominé aux Grammys.
Quelle est son héritage musical ?
Elle est considérée comme une artiste authentique du hip-hop du Minnesota et continue d’inspirer malgré sa mort prématurée.