Liseron Boudoul

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Liseron Boudoul, c’est cette journaliste française qu’on reconnaît au premier coup d’œil, notamment parce qu’elle ne recule devant rien. Née en 1974, elle a environ 51 ans en 2025, mesure dans les 1m65 (une info pas toujours facile à trouver, mais bon), et elle est plutôt discrète sur sa vie privée, même si quelques infos ont filtré ici et là.

Ce qui m’a toujours frappé chez elle, c’est ce courage incroyable. La nana ne s’arrête pas aux belles paroles, elle va là où ça chauffe vraiment. Elle a pourtant commencé plutôt tranquille, à Radio France avec France Inter et RFI, avant d’aller vers la télé et puis TF1, où elle a vraiment fait ses preuves en tant que grande reporter de guerre.

Je vous assure, son parcours, c’est une succession de reportages où l’on sent que la journaliste n’a pas une once de peur, même quand ça devient chaud bouillant, que ce soit au Moyen-Orient ou en Afrique. Elle s’est retrouvée expulsée du Mali, oui oui, pas rien ça, et c’est tout un buzz dans les médias français à l’époque.

Ce qui est fou, c’est qu’elle continue encore et toujours à nous tenir au courant du conflit en Ukraine ou même à Kaboul après la reprise des Talibans en 2021. Une vraie guerrière du micro, une femme qui raconte le monde tel qu’il est, sans filtre.

Liseron Boudoul : une journaliste de terrain à la réputation bien trempée

Alors qui est Liseron Boudoul ? Une femme née en 1974, d’origine française, qui s’est trouvée une vocation en suivant les conflits dans le monde. Après des études à Sciences Po Paris, elle débute en radio, avant de basculer à la télé, notamment sur LCI puis TF1.

Son identité publique est indissociable de son engagement sur le terrain, parfois à la frontière du dangereux. C’est une journaliste de guerre, un peu l’anti-star polie, la voix de celles et ceux qui vivent les conflits au quotidien.

Elle a couvert les émeutes françaises de 2005, le tsunami dévastateur de 2004 en Asie, et surtout les zones de guerre comme l’Irak, la Syrie, le Mali, la Palestine. Vous voyez, elle n’a pas fait que survoler ces histoires, elle a été au coeur des événements.

En 2017, elle est reconnue avec le prix Grand Reporter pour son travail exemplaire au Moyen-Orient, notamment à Mossoul et Raqqa. Ce qu’elle décrit dans son livre « Elles risquent leur vie » est une plongée brute dans une réalité qu’on regarde rarement assez en face.

Un parcours semé d’embûches mais marqué par la passion pour le reportage

Avant de s’imposer auprès du grand public, Liseron a commencé comme beaucoup, un peu dans l’ombre, à la radio. Mais rapidement, son appétit du terrain s’est fait sentir. Elle voulait voir, comprendre, raconter.

Son passage à LCI donne un aperçu de sa montée en puissance, puis TF1 devient le terrain majeur où elle va se distinguer. Pas une guerre sans que Liseron y soit presque en première ligne. C’est elle à Kaboul en août 2021 juste après la prise de contrôle des Talibans, un vrai scoop pour une journaliste française.

Son engagement ne s’arrête pas là : elle a aussi documenté des moments clés comme le tsunami en 2004, a vu Gaza en 2014, et s’est penchée sur la crise en Ukraine dès les premiers jours, offrant un regard vif et humain sur des conflits qui déchirent le monde.

Un de ces moments où elle a failli se faire coincer, c’était au Mali en 2012, quand la police locale l’a refoulée. C’est ce genre d’anecdotes qui la rendent encore plus crédible : elle ne fait pas semblant.

Un engagement fort, des reportages marquants et une carrière récompensée

Ce qui marque chez Liseron, c’est ce mélange de rigueur journalistique et d’empathie pour les populations prises dans les conflits. Son reportage sur Mossoul et Raqqa lui a valu un prix d’excellence, un sacré coup de projecteur sur son travail.

Elle ne s’est jamais arrêtée à la peur, ni même aux obstacles administratifs ou sécuritaires. Elle a un regard unique et posé, qui fait toute la différence quand on suit ses reportages à la télé.

Sa fortune ? Pas le truc qui la passionne visiblement. Son investissement, c’est pour l’info et la vérité sur le terrain, pas pour une vie bling-bling. Parfois, c’est même un vrai risque, mais voilà, elle assume à fond.

Elle a co-écrit avec d’autres grandes reporters de guerre un livre poignant : « Elles risquent leur vie ». On sent à travers ce bouquin ce que vit ces femmes fortes, souvent ignorées.

Vie perso et petites confidences

La vie privée de Liseron est plutôt gardée secrète, ça reste intime. On sait juste certains détails, notamment qu’elle est mariée, mais le nom de son mari ne fait pas vraiment les gros titres. Certains sites en parlent un peu, mais rien d’excessif ni tragique.

Elle est originaire de Haute-Loire, une région qu’elle aime visiblement beaucoup, car elle y revient parfois. Une sorte d’ancrage à la campagne, entre deux missions sur des terrains souvent chaotiques.

Ses enfants ? Elle en parle peu, sûrement pour les protéger d’un monde pas toujours tendre. Je trouve ça respectueux parce que derrière chaque grand reporter, il y a une vie familiale qui doit aussi tenir la route.

Au-delà de son boulot, l’image publique de Liseron reste celle d’une femme sobre, totale pro et engagée, pas du tout une starlette. C’est sans doute ce qui la rend si attachante et crédible.

Quelques anecdotes et faits marquants qu’on adore

  • 🌊 En 2004, elle couvrait le tsunami en Indonésie, ce reportage a changé sa vision du journalisme de terrain.
  • 🛑 Expulsée du Mali en 2012, elle a fait les gros titres des médias français, un véritable coup de colère médiatique.
  • 📚 Co-auteure du livre « Elles risquent leur vie » : un témoignage brut sur les femmes reporters en zones de guerre.
  • ✈️ Première journaliste française à entrer à Kaboul après la prise de pouvoir des Talibans en 2021, un scoop rare et risqué !
  • 🇺🇦 Reportages marquants sur le conflit ukrainien dès 2022, un angle inédit pour le public français.

Liseron Boudoul aujourd’hui : quelles actualités en 2025 ?

En ce moment, elle continue son travail de journaliste de guerre, couvrant les événements avec toujours ce même brio. On la voit souvent collaborer avec de grandes figures du journalisme, ce qui tranche avec l’image du reporter solo perdu dans la zone conflictuel.

Elle élargit aussi son influence avec des interventions à la radio et en conférences, transmettant son expérience aux jeunes reporters. C’est vraiment une passeuse, quelqu’un qui aime son métier et sa transmission.

Son travail reste indispensable pour comprendre les crises internationales. C’est rare de trouver une journaliste aussi engagée et polyvalente à la fois.

Si vous voulez en savoir plus sur elle, checkez sa bio complète où vous aurez un bon aperçu, et évidemment, sa présence sur Wikipedia est bien fournie aussi.

Quel est le parcours professionnel de Liseron Boudoul ?

Après des études à Sciences Po, Liseron Boudoul démarre à Radio France avant de rejoindre LCI puis TF1 pour couvrir de nombreux conflits dans le monde en tant que grand reporter.

Quels sont les événements majeurs qu’elle a couverts ?

Elle a notamment couvert le tsunami de 2004, les émeutes françaises de 2005, les conflits en Irak, Syrie, Mali, ainsi que la bataille de Mossoul et la chute de Raqqa.

A-t-elle reçu des récompenses ?

Oui, elle a été récompensée en 2017 avec le prix Grand Reporter pour l’ensemble de son travail sur le terrain, particulièrement au Moyen-Orient.

Quelle est sa vie privée ?

Liseron Boudoul est mariée, mais protège sa vie personnelle. Elle est originaire de Haute-Loire et garde ses enfants loin des projecteurs.

Quels sont ses projets récents ?

En 2025, elle continue de couvrir les zones de conflits, participe à des conférences, publie et fait des interventions radio pour partager son expérience avec les jeunes journalistes.


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