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Vous savez, Lola Bessis, elle est née à Paris le 30 novembre 1992, elle a tout juste 32 ans en 2025, avec une taille assez discrète, autour de 1m65, rien d’exorbitant, mais une présence qui dépasse largement ça. Actrice, réalisatrice, productrice – une vraie touche-à-tout qui ne laisse pas indifférent. Son univers, un mélange de cinéma indépendant et de scènes internationales, et elle vit entre Paris et New York, souvent entre deux projets, deux idées qui bouillonnent.
Je me rappelle quand elle a commencé, ça semblait presque trop fou pour être vrai. Une classe prépa Hypokhâgne-Khâgne option cinéma, puis plein d’années à gratter le pavé, à Londres, New York, étudiant le cinéma mais aussi le théâtre. C’est là qu’elle rencontre Ruben Amar, un complice artistique qui devient son partenaire dans ses périples cinématographiques. Ils écrivent ensemble, ils rêvent ensemble, et puis viennent les succès.
Avec Lola, ce n’est jamais juste une carrière, c’est une vraie aventure. Son premier long-métrage, Swim Little Fish Swim, tourné à 21 ans avec R. Amar, c’est genre un coup de maître. Avec dix fois rien, elle crée un monde à son image, sensible, vibrant, un peu bohème. Le film, il fait un carton dans des festivals comme Rotterdam ou SXSW, elle s’impose sans faire de bruit, ou presque. Et soudain, la presse s’emballe, elle devient “la nouvelle Julie Delpy” (je rigole un peu, mais c’était là), et on commence vraiment à entendre parler d’elle.
Ce qui m’a toujours frappé chez Lola, c’est son authenticité. Entre ses rôles dans Picnic at Hanging Rock ou C’est qui cette fille, elle ne joue pas la star, mais elle est partout déjà. Un vrai souffle de fraîcheur, elle reste accessible, attachante. Une vie un peu à double visage, entre Paris, ses racines, et les tournages loin, à l’autre bout du monde. Et puis, elle prend le temps sur le côté, pour écrire, produire, toujours avancer, sans suivre la routine hollywoodienne.
Lola Bessis : actrice et réalisatrice engagée née à Paris
Née à Paris le 30 novembre 1992, Lola Bessis est rapidement devenue l’une des actrices et réalisatrices françaises les plus prometteuses de sa génération. Sa silhouette mesurant environ 1m65 cache une énergie énorme et un talent rare, qu’elle déploie à travers des rôles et des films souvent indépendants mais reconnus internationalement. Elle est aussi l’épouse ou compagne de Ruben Amar avec qui elle travaille régulièrement au cinéma.
Son parcours scolaire est une vraie curiosité. Après deux années de classe prépa littéraire, elle fait un Erasmus à Londres où l’alchimie artistique opère avec Ruben Amar. Ensemble, ils écrivent Checkpoint, un court tourné à la frontière israélo-palestinienne, primé dans plus de 250 festivals. Ensuite vient New York où Lola travaille comme serveuse le jour et étudie la réalisation et le théâtre le soir – un combo qui forge un caractère de battante.
C’est ce même combat qui l’amène à refuser le confort académique pour investir dans un premier long-métrage. Swim Little Fish Swim n’est pas juste un film. C’est une déclaration d’indépendance, une plongée dans le monde d’une jeune artiste à New York – un film tourné avec 50 000 euros seulement, mais qui rafle prix et éloges un peu partout, notamment au festival de Rotterdam et SXSW. Les critiques étaient conquises et elle se retrouvait à faire le tour des plateaux TV, révélée par France 2.
Un cocktail gagnant : talent, volonté et un peu d’eau bénite. Et accueillie comme un vent frais dans le cinéma français, avec une carrière qui s’étoffe rapidement, entre rôles marquants et projets de réalisation, entre Europe et Amérique. Mais elle ne s’arrête pas là, car après ce succès elle retourne à la Sorbonne pour finir un master en lettre et cinéma – un signe qu’elle n’aime pas vraiment faire les choses à moitié.
Les grands rôles et collaborations marquantes de Lola Bessis
Franchement, son parcours est rythmé par des belles rencontres et des personnages forts. En 2017, elle rejoint Monsieur et Madame Adelman de Nicolas Bedos, un film qui a frappé fort. Puis elle devient Charlie, dans C’est qui cette fille ? présenté à Tribeca et la Mostra de Venise. Ça fait rêver non ?
Mais c’est aussi la série australienne Picnic at Hanging Rock en 2018 qui a marqué un tournant. Lola y incarne Mademoiselle de Poitiers, dans un univers à la fois mystérieux et féminin, tournage en Australie, tout un sacré dépaysement.https://fr.wikipedia.org/wiki/Lola_Bessis Dès lors, elle est plus qu’une actrice française, une véritable artiste internationale.
Dans sa filmographie, on retrouve aussi des projets moins connus du grand public mais tout aussi passionnants, comme la collaboration récente avec Mathias Malzieu sur Une sirène à Paris en 2020, ou des courts comme Checkpoint. Une fille à la fois dans l’ombre et la lumière, qui compose son univers à sa manière.Son profil IMDb vous donnera une idée de la variété de ses rôles.
Il faut citer aussi sa présence dans la pop culture, notamment dans le clip “Pas là” de Vianney, énorme succès sur YouTube avec 25 millions de vues. Lola est partout, un brin mystérieuse, et pourtant on sent qu’elle préfère les projets qui ont du sens.Son Instagram en témoigne avec un mélange d’images personnelles et de travail.
Ce qui rend Lola Bessis si unique dans le cinéma contemporain français
Ce qui ressort, c’est son indépendance d’esprit. Après avoir fait ses preuves en réalisant et montant ses premiers films, elle ne s’est pas laissée enfermer dans un rôle. Non, Lola Bessis cultive une sorte de liberté, entre création, jeu, écriture. C’est rare, et ça fait du bien.
Son style, son énergie, on le ressent aussi dans sa vie quotidienne où elle aime s’adonner à la cuisine, refaire son pain maison pendant le confinement, un truc très simple mais qui dit beaucoup. Elle est loin de l’image de star qu’on imagine. Ce côté réaliste, un peu roots, elle le porte aussi dans sa manière de travailler : intense mais accessible.
Elle a aussi un féminisme sensible et évolutif, elle parle souvent de films de réalisatrices qui l’ont marquée, de Lucrecia Martel à Céline Sciamma, en passant par Agnès Varda. Ça lui donne non seulement un regard critique mais aussi très tendre sur son métier, comme elle l’a confié lors d’interviews récentes.Plus d’infos sur son engagement
À l’aube de 2025, Lola ne ralentit pas. Après son prochain film Silver Star co-réalisé avec Ruben Amar (prévu à Deauville et Deauville American Film Festival), elle prépare plusieurs projets avec d’autres noms du cinéma, tournant de plus en plus vers des films qui mêlent émotions et intrigue profonde.Lire son portrait récent
Lola Bessis : ses expériences, anecdotes et petits secrets de tournage
Une anecdote que j’adore : pendant Swim Little Fish Swim, faute de gros budget, elle se débrouillait avec une petite caméra qu’elle avait achetée grâce à ses économies. Et puis, elle jouait aussi le rôle principal, autant dire qu’elle avait du pain sur la planche, littéralement.
Lors du festival de Deauville, Laurent Ruquier l’a qualifiée de joyau bouillonnant. J’avoue que c’est ce qu’elle est. Mais elle a aussi cette humilité de jeune fille qui me fait croire que ce n’est que le début d’une très belle route.
Elle travaille souvent à New York, mais sa mère est Daniela Lumbroso, célèbre animatrice française, un peu la touche familiale et artistique dans son histoire. Imaginez les dîners de famille pleins d’anecdotes du showbiz, ça doit être quelque chose. En tout cas, ça lui a donné le goût du travail bien fait.Lire son interview
Elle aime aussi faire des incursions dans des sketches comiques, comme dans les parodies de Catherine et Liliane sur Canal+. Une manière de déconstruire un peu sa propre image et de ne pas se prendre trop au sérieux – ce que je trouve vraiment chouette.Agence artistique UBBA
Les projets contemporains et collaborations à suivre de Lola Bessis
En 2024, elle a co-réalisé le film Silver Star avec Ruben Amar, un joli projet salué au festival du cinéma américain de Deauville, qui témoigne de sa montée en puissance comme réalisatrice.Pour suivre son actualité
La diversité est aussi son moteur. Elle alterne rôles dans des films, séries internationales, clips musicaux et productions plus underground. En 2025, elle s’oriente aussi vers des projets engagés, avec une attention particulière portée à la parité et à la mise en lumière des femmes dans le cinéma, via des festivals et des panels dont elle est membre.
Lola Bessis participe régulièrement à des événements comme Les Arcs Film Festival où elle a découvert le Lab, un espace de réflexion sur le travail et la place des femmes dans le cinéma. Son engagement personnel et artistique se nourrit aussi de cette communauté précieuse.
J’ai l’impression que 2025 sera une année charnière pour elle. Sa capacité à mêler la création artistique à un engagement sincère, c’est ce qui la rend si spéciale. Surveillez-la, c’est vraiment un talent qui promet de belles surprises.
- 🎬 Premiers films réalisés et écrits avec Ruben Amar
- 🌍 Tournages internationaux (New York, Australie, etc.)
- 🌟 Reconnaissance critique et succès en festivals (Rotterdam, SXSW)
- 🎭 Engagement pour le rôle des femmes dans le cinéma
- 🎥 Polyvalence entre film, série, clip et théâtre
Quel est le premier long métrage réalisé par Lola Bessis ?
Son premier long-métrage est Swim Little Fish Swim, co-réalisé avec Ruben Amar à l’âge de 21 ans.
Avec qui Lola Bessis collabore-t-elle fréquemment ?
Elle collabore régulièrement avec Ruben Amar, réalisateur et scénariste, également son compagnon.
Quels sont les projets récents ou à venir de Lola Bessis ?
Elle a co-réalisé Silver Star en 2024 et prépare plusieurs projets engagés autour de la place des femmes dans le cinéma.
Quelle formation a suivi Lola Bessis avant sa carrière ?
Après une classe préparatoire Hypokhâgne-Khâgne option cinéma, elle a étudié à l’UCL à Londres, puis au New York University et à la Sorbonne.
Où peut-on suivre l’actualité de Lola Bessis ?
Son compte Instagram officiel et son profil sur l’Agence UBBA ainsi que IMDb sont des références pour ses actualités.
