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- Qui est Lady Margarita Armstrong-Jones ? Son identité et ses origines royales
- Avant la célébrité : son parcours et ses passions
- Les grands succès de Margarita Armstrong-Jones, entre bijoux et photographie
- Un regard intime sur sa vie privée et ses anecdotes croustillantes
- Les projets récents de Margarita Armstrong-Jones et son avenir
Vous avez sûrement aperçu cette silhouette élégante lors de grands rendez-vous royaux, non ? Lady Margarita Armstrong-Jones, c’est un peu cette jeune femme qui fait doucement son chemin, entre héritage et modernité. Elle est née un 14 mai 2002, à Londres, alors franchement, entre lui et moi, c’est une génération ultra connectée qui n’a rien à voir avec les anciennes royautés. 23 ans aujourd’hui, plutôt grande (1m70 environ), elle porte fièrement ce poids généalogique avec une discrétion impressionnante.
Fille de David Armstrong-Jones, comte de Snowdon, cousin du roi Charles III, et de Serena Stanhope, elle a un frère aîné, Charles. Le mariage de ses parents a duré un quart de siècle avant de se terminer en 2020 – ce genre de détails personnels, assez humain, me rappelle que même les familles royales traversent leurs tempêtes.
Ce qui m’a toujours frappé, c’est cette connexion intime avec sa grand-mère, la princesse Margaret. Vous savez, cette légendaire sœur de la reine Elizabeth II qui a tant marqué la famille royale. Margarita, elle, a été nommée en son honneur, sachant que la princesse était partie quelques mois avant sa naissance. C’est poignant, presque comme si ce prénom voulait garder vivante une trace, un souffle.
Enfin, et c’est important, depuis 2017, elle porte le titre de lady suite au décès de son grand-père, Antony Armstrong-Jones. Tu sens qu’elle navigue entre cette noblesse d’hier bien plantée et une envie de faire sa place à elle, à sa manière, loin des projecteurs tape-à-l’œil.
Qui est Lady Margarita Armstrong-Jones ? Son identité et ses origines royales
Bon, pour faire simple – mais juste assez – Margarita c’est une fille de la haute aristocratie britannique, et pas n’importe laquelle. Elle est 28e dans l’ordre de succession au trône en 2025. Vous imaginez ? C’est pas rien, même si elle ne se voit pas forcément un jour couronnée.
Son père, David Armstrong-Jones, est le deuxième comte de Snowdon – il a hérité ce titre en 2017. Et sa mère, Serena Stanhope, vient aussi d’une famille aristocratique, irlandaise cette fois. Cette alliance donne une touche assez cosmopolite à Margarita, qui a grandi entourée de cette double atmosphère noble et ouverte.
Un truc qu’on oublie souvent : elle est la petite-fille de la princesse Margaret, donc ni plus ni moins la nièce par alliance de la reine Elizabeth II – ce qui la place directement dans une branche intense de la famille royale britannique. Elle a une marraine très proche aussi : Lady Sarah Chatto, sa tante, ça joue dans le soutien familial.
En résumé ? Une jeune femme qui vit entre deux mondes, entre la tradition griffée d’un héritage royal et la modernité qu’elle choisit d’incarner. Vous savez ce mélange très british d’élégance et d’un brin de rébellion douce.
Avant la célébrité : son parcours et ses passions
Vous avez du mal à imaginer la vie d’une princesse moderne ? Margarita, dès son enfance, a été un peu une “petite étoile” à suivre. Souvenez-vous : elle est demoiselle d’honneur au mariage du prince William et Catherine Middleton en 2011. À huit ans, dans sa petite robe blanche, elle vole un peu la vedette avec son énergie et sa fraîcheur – c’était charmant, vraiment !
Sa scolarité ? Pas dans n’importe quelle école : d’abord St Mary’s School à Ascot, puis Tudor Hall School. Mais là où ça devient intéressant, c’est après. Puisqu’elle a choisi Paris 🌟, oui, cette ville lumière où elle s’est installée en vraie Parisienne, quartier Bastille et tout.
Elle suit des études à la Haute École de Joaillerie, une école pas totalement scolaire en mode classique, mais plutôt créative, dédiée à la conception de bijoux ! (rappelons que sa passion pour les bijoux vient de sa grand-mère, la princesse Margaret, fine connaisseuse de belles pierres).
Elle est là, entre le maniement précis d’un atelier, où elle façonne, crée, travaille ses collections, et les musées qu’elle arpente dès qu’elle en a le temps, pour nourrir son goût pour l’art. C’est clairement une nouvelle génération qui veut moins porter un nom, et plus exprimer son art.
Les grands succès de Margarita Armstrong-Jones, entre bijoux et photographie
Bon, ce qui est dingue, c’est que contrairement à beaucoup de jeunes de la famille royale qui vivent dans l’ombre, Margarita se fait un nom à part entière. Depuis peu, elle est la fondatrice et la designer d’une marque parisienne de bijoux sur mesure, Matita. Oui, elle commercialise ses créations, c’est fou non ? C’est une vraie créatrice, pas une simple héritière.
Et, figurez-vous, elle est aussi photographe, une passion transmise de son grand-père, Antony Armstrong-Jones, lui-même photographe renommé. Elle gère même une marque de photographie appelée Atira, où elle partage ses clichés (bon, pas de profil Instagram officiel chez elle, elle garde un peu de mystère 🌿).
Son nom commence doucement à sortir dans les magazines comme Gala ou Point de Vue, qui en parlent comme d’une étoile montante, mais sans aucun bling bling. Plutôt élégant, discret, bien dans son époque.
Ce qui marque, c’est cette capacité à jongler entre traditions royales et une liberté dans le choix de sa carrière, avec une direction artistique humble mais déterminée. Franchement, quand on voit son parcours, on se dit que c’est une belle surprise dans le paysage royal.
Un regard intime sur sa vie privée et ses anecdotes croustillantes
Si vous vous demandez ce qu’elle fait quand elle n’est pas à Paris ou dans des événements royaux, l’histoire est encore un peu floue, ce qui est assez sympa. Elle reste très protégée, discrète, mais elle n’hésite pas parfois à afficher son attachement familial en portant des bijoux hérités, par exemple la fameuse bague de fiançailles de la princesse Margaret – un vrai trésor symbolique qui la relie à ses racines.
Ah, et pensez à ce moment adorable : lors du mariage du prince William, on la voit, petite et toute guillerette, saluant la foule et rayonnante au balcon de Buckingham Palace. Elle éclipsait presque les autres demoiselles d’honneur avec sa joie et sa spontanéité, à huit ans à peine !
Ce qui me fait sourire, c’est sa manière simple d’évoquer sa famille : même avec cet héritage incroyable, elle parle comme vous et moi, presque sans filtre. Selon Point de Vue, elle porte parfois des pièces pour des occasions où elle imagine que sa grand-mère Margaret aurait adoré être. Cette sorte de pont entre générations, c’est assez beau, non ?
Et si vous voulez vraiment tout savoir, elle a aussi un frère, Charles, qui semble lui aussi mener une vie discrète loin des gros projecteurs.
Les projets récents de Margarita Armstrong-Jones et son avenir
En 2023, elle fait la couverture du magazine Tatler – un vrai signe que son étoile est en train de monter 📈. Et elle continue à investir dans ses deux passions : la joaillerie avec Matita et la photographie avec Atira. On sent qu’elle veut construire son propre univers sans juste s’appuyer sur son nom.
Elle étudie toujours à Paris, mais son chemin semble clairement balisé vers une carrière dans les arts. Ce qui est fou, c’est que malgré son milieu, elle a adopté une vie assez “normale”, avec son appart du côté de Bastille, où elle flâne entre musées et cafés, loin des clichés.
Évidemment, elle continue d’être une présence attendue lors d’événements prestigieux, probablement sur la liste des invités au récent couronnement du roi Charles III. C’est la tradition, mais elle y met son grain de sel, avec élégance et personnalité.
Franchement, elle donne un souffle frais à l’image figée de la royauté britannique, ce qui est plutôt rare et, je l’avoue, hyper plaisant à suivre.
3 choses à savoir sur Lady Margarita Armstrong-Jones
- 🎨 Elle étudie la joaillerie à Paris, passion héritée de sa grand-mère la princesse Margaret.
- 📸 Elle est aussi photographe, inspirée par son grand-père Antony Armstrong-Jones.
- 👰 À 8 ans, elle était demoiselle d’honneur du mariage princier William-Catherine.
Qui est Lady Margarita Armstrong-Jones ?
Lady Margarita est la petite-fille de la princesse Margaret et fait partie de la famille royale britannique. Elle est fille de David Armstrong-Jones, comte de Snowdon, et Serena Stanhope.
Quel est son parcours scolaire ?
Elle a étudié à St Mary’s School à Ascot, puis à Tudor Hall School, avant de s’orienter vers la joaillerie moderne à la Haute École de Joaillerie à Paris.
Quels sont ses projets professionnels ?
Lady Margarita s’est lancée dans la création de bijoux avec sa marque Matita et développe aussi une activité de photographe via sa marque Atira.
Quelle est sa place dans l’ordre de succession au trône ?
En 2025, elle est 28e dans la ligne de succession au trône britannique.
Comment est sa vie privée ?
Elle reste très discrète, aime vivre à Paris, crée ses bijoux, photographie et entretient une relation proche avec sa famille royale.