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Ah Marianne Faithfull, quelle histoire ! Née le 29 décembre 1946 à Hampstead, Londres, elle nous a quittés à Londres même, le 30 janvier 2025, à 78 ans. Une taille fine, un charisme immense, c’était une vraie icône du Swinging London, vous voyez le genre. Et cette femme… sa fortune, franchement, elle l’a bâtie à coups de talent et de combativité.
Son âge de 78 ans, vous imaginez, ça en fait des kilomètres de vie, de musique, de déboires. Elle mesurait environ 1m70, une silhouette élancée qui contrastait avec ses voix souvent rauques et profondes. Mieux encore, son parcours, c’est un vrai roman : du folk doux-amer à une carrière de rock altière et rebelle. Et sa fortune, cette légende, elle l’a méritée bien au-delà des paillettes.
Avant que Marianne ne devienne cette figure mythique, elle était juste une jeune fille un peu perdue dans le Londres des années 60, passionnée par la musique folk et la poésie. Elle a fait ses débuts en chantant des ballades acoustiques, loin de l’univers saturé du rock dont elle allait devenir la muse. Sa taille fine et sa beauté naturellement décontractée attiraient déjà les regards, mais elle voulait d’abord chanter sa vérité.
Et puis, elle a basculé, d’abord discrètement, puis en pleine lumière, en croisant les Rolling Stones, Mick Jagger en tête. Leur idylle a marqué un tournant. Marianne, c’était la petite fiancée du rock anglais, la muse et la voix, une femme dont la fortune symbolique allait bien au-delà de l’argent. Mais son destin était aussi rempli de tensions, de lutte et, parfois, de douleurs inattendues.
Marianne Faithfull : une icône du Swinging London à la voix unique
Avant d’être immortalisée dans les histoires du rock, Marianne venait d’un milieu qui mêlait élégance et mystère. Fille d’un espion et d’une aristocrate, son destin semblait déjà écrit autrement. Sa taille et sa prestance naturelle lui ont vite ouvert des portes dans le monde du spectacle et de la musique.
À 17 ans, elle tape dans l’œil du célèbre manager des Rolling Stones, Andrew Loog Oldham, qui voit en elle non juste une chanteuse mais un sex-symbol. Pourtant, elle tient bon et impose son style folk, ce mélange fragile et poétique qui allait la différencier. C’était l’époque où la scène londonienne bouillonnait, où le rock prenait sa forme la plus charnelle et rebelle.
La fortune de son nom et de son image se construit à l’aube des années 60, avec le classique « As Tears Go By » composé pour elle par Jagger et Richards, une chanson devenue culte. Sa taille fine, son look androgyne, et cette voix à la fois douce et grave lui valent une place unique dans l’histoire, loin des stéréotypes de l’époque.
Depuis ce tremplin, Marianne s’est taillé une carrière qui mélange musique, cinéma et vie publique tumultueuse, toujours avec cette voix blessée qui touche au cœur. Pas étonnant qu’elle soit devenue une référence incontournable du rock anglais et une légende vivante jusqu’à sa disparition, saluée sur Rolling Stone.
Parcours avant la célébrité : folk et premiers pas dans le monde bohème
Vous imaginez, petite fille cultivée, élevée dans une atmosphère très intellectuelle, mais très jeune, Marianne est déjà fascinée par des icônes comme Juliette Gréco. Elle plane entre théâtre et musique, mais c’est la folk qui la captive, ce son brut, sincère.
Son âge à ce moment-là, à peine 17 ans quand elle se fraye un passage dans la scène londonienne, et elle refuse la facilité malgré la fortune que ses liens avec les Stones pouvaient lui apporter. Elle explore son style, ses émotions, toujours avec cette finesse, loin des paillettes clinquantes.
Et puis le destin frappe. Cette rencontre chez les Rolling Stones en 1964, qu’elle raconte toujours avec un mélange d’amusement et d’un peu d’amertume. Son parcours avant la célébrité, c’est un vrai ascenseur émotionnel, entre promesses fulgurantes et une jeunesse qui goûte un peu trop tôt aux excès.
Sa fortune à l’époque, forcément modeste mais pleine de promesses, elle la mérite en force, en caractère, en refus de rentrer dans le moule. Sa taille, alors qu’elle pourrait sembler fragile, cache une énergie et une ténacité impressionnantes. Cette première période c’est le socle de tout ce qu’elle deviendra.
Sa carrière, ses grands succès, et la fortune construite à travers les épreuves
Parlons franchement, sa carrière n’a pas été un long fleuve tranquille. Après un départ sous les feux avec des albums folk et pop, la vraie révolution vient en 1979 avec Broken English. À 33 ans, sa taille de femme fragile devient celle d’une rockeuse emblématique, avec une voix éraillée qui déchire.
Cette période marque son incroyable comeback après des années difficiles, addiction et dépression comprises. La fortune artistique qu’elle gagne à ce moment-là est immense — pas que financière, mais surtout en terme d’influence et de respect dans le milieu. À 78 ans, elle reste un monument.
Elle a collaboré avec un tas de noms légendaires : Nick Cave, Keith Richards, PJ Harvey, tous fascinés par sa personnalité multiple et sa voix unique. Sa taille, sa présence, son timbre… tout cela faisait d’elle un phœnix toujours prêt à renaître.
Sa discographie impressionnante culmine avec des albums comme Negative Capability ou She Walks in Beauty où elle explore la poésie avec un lyrisme rare. La fortune de son œuvre est un trésor de plus de cinq décennies, qui a traversé toutes les modes sans jamais se démoder.
Vie privée et faits marquants : entre passion et tourments
Alors, sa vie privée, c’est un vrai roman. Mariée jeune à John Dunbar, elle ne tarde pas à tout quitter pour Mick Jagger, avec qui elle vivra une histoire aussi passionnée que destructrice. Son âge à l’époque faisait d’elle une enfant souvent prise dans des affaires d’adultes.
La fortune matérielle ne compensait jamais tout, surtout quand elle perd son bébé et traverse la descente aux enfers de la dépendance. Je vous assure, ses confidences sur cette période sont poignantes, surtout quand elle décrit ce procès humiliant du côté de Keith Richards, où elle était la seule femme.
Mais elle a survécu, et même si sa taille est restée fine, c’est son courage gigantesque qui frappe encore. Entre un cancer du sein, l’hépatite C, elle a défié la mort autant de fois qu’elle a défié la scène. Cette femme, ce symbole, a croisé aussi bien les Beatles que Jean-Luc Godard ou Alain Delon.
Elle laisse derrière elle une fortune qui dépasse l’argent : c’est celle d’une vie brûlée, aimée, vécue à fond malgré tout. Pour en savoir plus, vous pouvez jeter un œil à ses mémoires ou consulter ce portrait détaillé sur Wikipedia.
Projets récents et collaborations avant de tirer sa révérence
Dans ses dernières années, Marianne n’a pas voulu baisser les bras. Elle a donné son dernier concert en 2016 au Bataclan, fragile mais combative, avec une chanson dédiée aux victimes des attentats. Cette force-là, elle avait ça en elle depuis toujours.
Son dernier album studio Negative Capability en 2018 a été un dernier coup d’éclat, suivi par She Walks in Beauty en 2021, un album de spoken word où elle revisitait ses poèmes préférés avec des artistes comme Brian Eno et Nick Cave. C’est puissant, émouvant, un vrai testament artistique.
Son âge fragile l’a contrainte à lever le pied après cela, mais sa fortune artistique continue d’inspirer toute une nouvelle génération. Elle est restée fidèle à ses collaborations, touchant autant à la poésie qu’au rock, jusqu’au bout.
Pour les détails sur ses derniers projets et la fin de sa vie, ce bel hommage récent sur Le Figaro donne un bon aperçu de cette fin d’épopée.
⭐ Les points forts de la vie et carrière de Marianne Faithfull ⭐
- 🌟 A vécu la naissance du Swinging London et en est devenue une icône
- 🎤 Une voix unique, à la fois fragile et puissante, façonnée par ses expériences
- 🔥 Un parcours marqué par des hauts, des bas, mais toujours une renaissance
- 🤝 Collaborations impressionnantes avec des géants de la musique et du cinéma
- 💔 Une vie privée intense, avec amour, déchéance, et résilience
- 📚 Auteur de mémoires et d’un dernier album poétique inoubliable
Alors voilà, je vous ai brossé le portrait de cette femme dont l’âge, la taille et la fortune symbolisent une vie hors norme. On se souviendra non pas de la femme brisée mais de l’artiste qui s’est toujours relevée, qui a transformé ses blessures en poésie et rock’n’roll absolu.
Marianne Faithfull, c’était plus qu’une star, c’était un monument. Et même si elle nous a quittés en 2025, sa musique et sa voix restent vivantes, comme un souffle qui ne s’éteint jamais. Si vous voulez plonger dans son univers, filez voir son site officiel, c’est une mine d’or.
Au fond, c’est ça la vraie fortune de Marianne, ce mélange d’authenticité, de combat et d’art qui transcende l’âge ou la taille. Une légende anglaise qui a défié le temps, toujours avec cette voix si singulière qu’on reconnaît entre mille.
Et franchement, dans le monde du rock, elle restera à jamais la reine des secondes chances. Une star qui n’a jamais renoncé, qui a vécu chaque instant intensément et nous a laissé un héritage énorme. Si vous n’avez jamais vraiment écouté Marianne Faithfull, c’est clairement le moment.
Quel âge avait Marianne Faithfull lors de sa mort ?
Elle est décédée à l’âge de 78 ans, en janvier 2025 à Londres.
Quelle est la taille de Marianne Faithfull ?
Marianne Faithfull mesurait environ 1m70, une taille élancée qui faisait partie de son charisme.
Quelle fortune a-t-elle laissée ?
Au-delà d’une fortune matérielle discrète, sa vraie fortune réside dans son immense influence artistique et son héritage musical exceptionnel.
Quels sont les grands succès de Marianne Faithfull ?
Parmi ses grands succès, on compte ‘As Tears Go By’, ‘Broken English’ et son dernier album ‘Negative Capability’.
Avec qui Marianne Faithfull a-t-elle collaboré ?
Elle a collaboré avec des légendes comme Nick Cave, Keith Richards, PJ Harvey, Brian Eno et bien d’autres.

