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Marie Barsacq, je vous le dis, c’est un sacré personnage du monde sportif et politique français. Née le 3 août 1973 à Dax, elle a donc dans les 51 ans en 2025, et mesure environ 1m70 – une stature qui impose, entre autres. Ce qui impressionne, c’est sa trajectoire, un peu atypique, car elle n’a jamais vraiment appartenu à un parti classique.
Vous la connaissez peut-être parce qu’elle est devenue ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative en décembre 2024. Oui, ça fait tout juste quelques mois, et déjà, elle fait parler d’elle. Avant ça, elle a été au cœur de l’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024, un défi énorme, vous imaginez.
Mais franchement, Marie Barsacq, c’est plus qu’une politique. C’est une juriste qui a bossé dans l’ombre pour le sport français, notamment au Comité national olympique sportif français et à la Fédération française de football. Pas la star du micro, mais plutôt celle qui bouge vraiment les lignes, et ça, c’est rare.
Ce que j’aime chez elle, c’est sa vraie connexion aux bénévoles et aux associations. Elle a ce truc humain, vous savez, cette sincérité quand elle parle du service civique ou de vitalité associative. Bref, elle n’est pas juste une ministre qui pose, elle vit son job. Allez, je vous raconte tout ça un peu plus bas.
Marie Barsacq : De sa naissance à une identité publique marquée
Née à Dax dans les Landes, Marie Barsacq s’est construite une réputation solide sans jamais vraiment courir après la lumière politique classique. Pas d’étiquette, pas d’affiliations tranchées, juste une passion profonde pour le sport et son impact social.
Son identité publique, c’est celle d’une dirigeante de l’ombre, qui a su monter les échelons dans des institutions sports de premier plan, avant de s’imposer comme une ministre proche de la jeunesse et des associations. Un profil qui change un peu de l’habituelle scène politique…
Vous pouvez découvrir sa fiche officielle à l’Assemblée nationale pour comprendre l’ampleur de son engagement.
Avant la célébrité : une carrière au service du sport
Pas de paillettes ni de télé, Marie Barsacq a commencé par le droit, devenant juriste. Et comme souvent, c’est à travers ce prisme-là qu’elle s’est glissée dans le monde sportif. Le Comité national olympique sportif français (CNOSF), puis la Fédération française de football, c’est là qu’elle a acquis son expérience, loin des projecteurs.
En 2016, ça change un peu. Elle devient directrice exécutive « Impact et héritage » pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. L’énorme chantier qui a rythmé ces années, avec notamment la gestion d’Impact 2024, un programme soutenant plus de 1 100 projets combinant sport et impact social. Un boulot qui l’a projetée dans une nouvelle dimension.
Une ministre engagée pour la jeunesse et le bénévolat
Arrivée au ministère des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative le 23 décembre 2024, Marie Barsacq a tout de suite donné le ton. Ce qui la touche particulièrement ? Le bénévolat. Elle a même qualifié les bénévoles de « militants du quotidien », ce qui, franchement, résume bien leur importance dans notre société.
Elle ne fait pas semblant : elle se dit elle-même bénévole (oui, ça change de certains ministres !). Son discours à la passation de pouvoirs a mis en lumière cette idée que le secteur associatif, c’est une « formidable école de la vie ». Elle songe déjà à repenser le service national universel, un sujet qui fâche parfois, mais elle veut le rendre plus efficace et accessible.
Ce portrait dans Ouest-France vous donnera plus de détails sur son engagement.
Un programme ambitieux pour le sport et l’engagement civique
Selon un décret de janvier 2025, la mission de Marie Barsacq comprend l’élaboration de la politique jeunesse, la vie associative et surtout « le développement de l’engagement civique ». Elle coopère avec plusieurs ministères pour que le service civique gagne en importance… Pas étonnant, vu son parcours et sa vision.
Elle a passé des années à gérer l’Impact 2024, avec un financement de près de 48 millions d’euros pour soutenir des initiatives sportives à forte valeur sociale, ce qui donne une idée de son sérieux et son ambition pour la fonction. Pas question pour elle de rester dans une posture politique classique.
On en parle bien mieux encore sur French Hub.
Quelques anecdotes et projets récents
Alors, une anecdote ? Lors de sa prise de fonction fin 2024, elle a insisté sur l’importance du rôle des bénévoles, qualifiant leur engagement d’« exigeant et extrêmement important ». Un coup de projecteur qui a fait sourire dans le milieu associatif, tellement ça sonne juste.
Aujourd’hui, Marie Barsacq travaille aussi sur la préparation des prochains Jeux olympiques d’hiver 2030 en France, surtout dans les Alpes. Autant vous dire qu’elle a un agenda chargé, jonglant entre les dossiers sportifs nationaux et les questions de jeunesse.
- ✨ Plus de 1 100 projets sportifs soutenus en France
- 💶 Près de 48 millions d’euros investis pour l’impact social du sport
- 🏅 Coordination autour des Jeux olympiques d’été 2024 et hiver 2030
- 🤝 Défense farouche du bénévolat et engagement associatif
- 🎯 Préparation d’une politique jeunesse renouvelée autour du service civique
Pour suivre toute son actualité en continu, Le Progrès est une bonne ressource.
Vous trouverez aussi un bon résumé de son arrivée au gouvernement sur CNEWS.
Qui est exactement Marie Barsacq ?
Marie Barsacq est une juriste et dirigeante sportive française devenue ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative en décembre 2024.
Quel a été son rôle dans les Jeux Olympiques de Paris 2024 ?
Elle a été directrice exécutive « Impact et héritage », gérant un programme de soutien à plus de 1 100 projets sportifs à impact social, avec un budget de près de 48 millions d’euros.
Quelle est sa vision pour le bénévolat ?
Marie Barsacq valorise fortement le bénévolat, le qualifiant de pilier essentiel pour la cohésion sociale et l’engagement civique dans le pays.
Quels sont ses projets actuels ?
Elle prépare notamment les Jeux Olympiques d’hiver 2030 et travaille à faire évoluer le service national universel pour une meilleure inclusion des jeunes.
