Nathalie Arthaud

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Ah, Nathalie Arthaud… Une femme qui ne passe jamais inaperçue quand elle prend la parole. En 2025, elle a 55 ans, née un 23 février 1970 à Peyrins dans la Drôme. Plutôt petite, elle ne dépasse pas le mètre 60, mais son charisme, lui, est énorme. Depuis des années, elle est la voix militante de Lutte ouvrière, ce parti qu’elle incarne à merveille.

Cette enseignante d’économie-communication d’Aubervilliers, c’est un peu la résistante moderne, engagée sans relâche contre les injustices sociales. Elle a déjà tenté le pari de la présidentielle trois fois avant, et voilà qu’elle remet ça en 2027 pour la 4e fois. Franchement, il faut avoir une sacré dose de courage (ou d’obstination) pour y retourner sans jamais lâcher.

Ce qui me surprend toujours, c’est sa constance, son refus de lâcher la lutte même quand les sondages ne sourient pas. Elle n’est pas là pour jouer la comédie ou chercher la popularité; non, elle porte haut la voix du monde ouvrier, souvent ignorée des grandes chaînes et médias mainstream.

Si vous voulez vraiment piger qui est Nathalie Arthaud, il faut aussi plonger dans ses racines. Fille d’un garagiste et d’une comptable, elle n’a pas eu une vie dorée. Ce qui la rend, à mon avis, encore plus crédible quand elle parle de la précarité et de la lutte sociale. Pas une politique de salon, non, une femme du terrain.

Nathalie Arthaud : une figure incontournable de la gauche révolutionnaire française

Vous avez sûrement déjà croisé son nom, surtout ces dernières années. Nathalie Arthaud est la porte-parole de Lutte ouvrière, un parti d’extrême gauche qui prône un renversement radical du capitalisme par le prolétariat. Elle se revendique clairement communiste et révolutionnaire, à l’instar des figures historiques comme la Commune de Paris ou la révolution russe.

Militante depuis ses 18 ans, elle est devenue le visage de son parti en 2008, succédant à Arlette Laguiller, une autre légende d’extrême gauche. C’est typiquement le genre de journalisme militant qui ne se contente pas de dénoncer, mais qui propose un programme cohérent (et assez radical). Sans surprise, LO s’oppose farouchement à l’augmentation du budget militaire et au service militaire.

Un choix qui la place souvent dans une posture un peu à part, même dans la gauche, notamment vis-à-vis de La France insoumise, qu’elle juge trop tiède, trop réformiste. Sa force, finalement, c’est sa fermeté sans appel sur la guerre sociale que mènent patrons et gouvernement contre les travailleurs. Rien que ça.

À ce propos, si vous voulez suivre de près ses idées et ses prises de position, le mieux reste son site officiel où elle publie constamment ses éditos et analyses : nathalie-arthaud.info.

Un parcours façonné par la lutte sociale bien avant la célébrité

Avant de devenir cette figure incontournable de la politique française radicale, Nathalie a suivi un parcours plutôt classique. Un sport-études à Lyon, puis une hypokhâgne dans un lycée huppé, ce qui peut surprendre. Elle aurait pu prendre une toute autre voie, mais son engagement politique l’a rattrapée très tôt.

Dès 18 ans, elle adhère à LO, et sa vie devient alors une sorte de militantisme permanent. Pas du genre à jouer les stars, elle continue d’enseigner l’économie-communication dans une école à Aubervilliers. Ce mélange entre pédagogie et action politique, c’est assez rare. En plus, elle a réussi à concilier ses batailles avec sa vie hors projecteurs.

Oh, et j’oubliais, elle est mariée, ce qui étonne souvent quand on imagine que la vie militante est un chaos. Non, elle gère le tout avec une rigueur impressionnante, même si bien sûr ce n’est pas simple tous les jours. Et puis, côté taille, elle ne fait pas le poids… enfin, pas physiquement, parce que sur scène, elle écrase tout le monde.

Son engagement politique et ses grands combats

Vous me direz, elle fait quoi exactement ? Depuis 2012, elle a tenté la présidentielle trois fois et revient pour une quatrième en 2027. Chaque fois, elle affiche des résultats modestes aux alentours de 0,5-0,6 %, mais attention, c’est pas du vote de masse, c’est un militantisme de base très ancré.

À l’heure où des centaines d’emplois industriels sont menacés (vous savez, Brandt, Arcelor, Michelin, Valeo… la liste est longue), elle dénonce l’arbitraire des licenciements. Pour elle, l’économie doit être au service des travailleurs : interdiction des licenciements, hausse des salaires, expropriation des banques, c’est du sérieux.

Elle annonce aussi depuis Paris que Lutte ouvrière sera présente aux municipales de 2026 avec des candidatures dans 250 villes, notamment Pantin où elle-même se présente. Du concret, pas seulement des grandes idées.

Sinon, pour suivre ses derniers faits et gestes, les médias parlent beaucoup de sa quatrième candidature. Des articles comme ceux de France Bleu ou Le Monde détaillent ses positions avec précision.

Quelques anecdotes qui en disent long sur sa personnalité

Un truc qui me fait sourire, c’est quand elle parle de son échec aux élections européennes en 2009 où elle a fait moins d’un pourcent, ou aux régionales 2010 avec un peu plus de 1%. Vous voyez la détermination ? Pas de « j’abandonne », même avec des scores infimes.

Elle se revendique d’une tradition révolutionnaire bien précise, à la fois inspirée de Trotski et de la Commune de Paris, ce qui donne un côté très historique à son engagement. Pas juste de la politique d’aujourd’hui, mais un fil rouge qui traverse les siècles.

Et puis, à quelques mètres d’Emmanuel Macron ou Marine Le Pen dans les débats, elle garde son calme, froide comme une iceberg parfois, mais toujours avec son regard qui dit « je ne lâcherai rien ». Voilà pourquoi elle fascine ou irrite, mais ne laisse personne indifférent.

Les projets en cours et sa vision pour 2027

Alors, pour la présidentielle 2027, elle remet le couvert. La question qui brûle : pourquoi encore ? Parce que pour elle, c’est la seule à incarner « la voix du monde du travail » à cette élection. Elle dénonce à chaque occasion la guerre sociale menée par le patronat et le gouvernement contre les travailleurs.

Un fait qui me choque souvent, c’est quand elle parle ouvertement du retour du service militaire obligatoire, qu’elle critique vertement, tout en dénonçant la hausse des budgets militaires. Pour quelqu’un qui vient de la gauche radicale, ce sont des points non négociables.

Si vous voulez voir le visage et les idées d’une politique ferme, tournée vers une révolution sociale, sans concessions, il vaut mieux suivre son actualité de près. Pour ça, je vous conseille aussi un tour sur Populaction et Ouest-France.

Ses engagements clés pour la présidentielle 2027 :

  • 🚫 Interdiction des licenciements
  • 📈 Hausse significative des salaires
  • 🏦 Expropriation des banques et des grands capitalistes
  • Revendication d’une société dirigée par les travailleurs
  • 🛑 Opposition au renforcement militaire et au service militaire obligatoire

Qui est vraiment Nathalie Arthaud ?

Nathalie Arthaud est la porte-parole du parti d’extrême gauche Lutte ouvrière. Militante depuis ses 18 ans, elle se présente pour la 4e fois à la présidentielle française en 2027, défendant avec force les intérêts des travailleurs et un renversement radical du capitalisme.

Quels sont les grands thèmes défendus par Nathalie Arthaud ?

Elle milite pour l’interdiction des licenciements, l’augmentation des salaires, l’expropriation des banques, et s’oppose fermement au budget militaire et au service militaire obligatoire.

Quel est son parcours avant la politique ?

Après un sport-études puis hypokhâgne, Nathalie Arthaud devient enseignante en économie-communication. Elle a rejoint Lutte ouvrière à 18 ans, bâtissant sa vie autour de son militantisme.

Pourquoi Nathalie Arthaud continue de se présenter à la présidentielle malgré ses faibles scores ?

Pour elle, c’est une question de principe. Elle est convaincue que Lutte ouvrière est la seule force politique à vraiment porter la voix des travailleurs, même si les résultats électoraux restent modestes.

Où suivre ses actualités et ses prises de parole ?

Vous pouvez suivre régulièrement ses interventions et éditos sur son site officiel ainsi que sur des médias comme France Bleu ou Le Monde.


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