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Vous avez sûrement déjà croisé son nom sans toujours savoir. Nicolas Briançon, c’est ce type qu’on imagine plutôt dans un théâtre parisien, un brin mystérieux mais hyper talentueux. Né le 29 juillet 1962 à Chambéry, il a cette élégance tranquille, et à bientôt 63 ans, il n’a rien perdu de son énergie. Ah, et il mesure environ 1m80, ce qui donne cette allure imposante sans en faire trop.
Alors, acteur, metteur en scène, directeur artistique… Nicolas est un peu l’homme-orchestre du théâtre français. En poste comme directeur artistique du Festival d’Anjou depuis 2004, il a succédé à des pointures comme Francis Perrin et Jean-Claude Brialy. Vous imaginez la pression ? Pourtant, il a su tenir le cap sans jamais oublier les planches.
Avant tout ce tourbillon, son parcours, c’est presque un road trip à travers le théâtre. Formé par des maîtres tels que Jean Darnel et Michel Bouquet, Nicolas commence vraiment à faire parler de lui à la Comédie-Française dès 1987. Incroyable, non ? Un vrai bol d’air frais qui deviendra bientôt une valeur sûre.
Mais, eh, c’est pas que le théâtre. Nicolas a aussi fait quelques apparitions au cinéma et à la télé. Rien d’ostentatoire, mais quelques rôles bien sentis dans “Edmond” ou même la série “Engrenages”. C’est là qu’on se rend compte qu’il est capable de tout, avec toujours cette même justesse.
Qui est Nicolas Briançon ? Origines, identité et premières années
Né à Chambéry, en Savoie – oui, ce coin charmant – Nicolas a grandi avec une passion pour la scène qui ne l’a jamais lâché. Pas franchement le genre à faire cavalier seul, il s’est vite fait repérer grâce à son talent brut. Ce mec, il respire le théâtre de la grande époque mais avec un style bien à lui.
Public, il s’est d’abord fait connaître comme acteur, mais son talent de metteur en scène a aussi marqué pas mal les esprits. Ce double rôle, pas simple à gérer, lui colle à la peau. Si vous le cherchez sur scène ou derrière le rideau, c’est un peu le même homme, un artiste qui aime provoquer des émotions, tout simplement.
À l’aube de la cinquantaine et plus, il gère aussi avec brio la direction artistique du Festival d’Anjou. Ça, c’est un vrai challenge qui demande beaucoup de finesse et une bonne dose de courage. Le type ne s’embourgeoise pas, il reste accessible, humble, et c’est ça qui le rend attachant.
Si vous voulez savoir comment il se présente, allez jeter un œil sur sa page Wikipédia ou encore son profil sur Who’s Who. Vous verrez, c’est un gars passionné qui vit pour donner vie aux textes, classiques ou modernes.
Avant la célébrité : les débuts qui forgent un artiste unique
Vous savez quoi ? Il a mis du temps à se faire un vrai nom, comme beaucoup. Les premières années, c’est la débrouille, le terrain qui grince, mais voilà, il tient bon. Formé notamment avec Michel Bouquet, ça aide à encaisser les coups et à affiner son jeu.
Son expérience à la Comédie-Française dès 1987, c’est un peu le tremplin. Là, il ne joue pas dans la cour des petits. Il partage la scène avec les grands, et ça se sent. C’est souvent à ce moment-là que j’ai commencé à entendre parler de lui, même si c’était un secret bien gardé dans certains cercles.
Il mélangeait les comédies de boulevard, les classiques et quelques pièces contemporaines, ce qui ne doit pas être donné à tout le monde. Pas étonnant qu’il ait mis en scène plus de 24 pièces avec plus de 1762 représentations à son actif, autant vous dire que c’est un marathonien des planches.
Son engagement est total, au point qu’il finit par prendre le contrôle du Festival d’Anjou qu’il dirige toujours aujourd’hui. Admirer une carrière telle que la sienne, ça donne envie de se lancer dans le théâtre, même si je sais bien que c’est un parcours semé d’embuches.
Carrière et grands succès : un acteur et metteur en scène passionné
Alors, vous allez adorer : Nicolas Briançon, c’est un vrai touche-à-tout. Tantôt acteur, tantôt metteur en scène, il ne délaisse jamais la finesse. Par exemple, il a récemment mis en scène « Parle-moi d’amour » de Philippe Claudel (à ne pas manquer si vous êtes à Paris), une pièce qui cartonne encore au Théâtre de la Michodière.
On doit aussi à ce passionné des adaptations magistrales de Shakespeare, Giraudoux ou Poiret, toujours avec un flair fou pour captiver le public. En 2015, il a même raflé un Molière pour « Voyages avec ma tante ». Oui, rien que ça.
Son calendrier est souvent chargé, entre théâtre, télévision et cinéma. En parlant de cinéma, il a tourné dans « Edmond » d’Alexis Michalik ou dans « Monsieur et Madame Adelman » de Nicolas Bedos, autant vous dire qu’il aime varier les plaisirs.
La scène, c’est son royaume. Il a joué dans des salles prestigieuses comme le Théâtre de la Madeleine, la Michodière, le Montparnasse ou encore le Théâtre de Paris, où il continue de faire vibrer les spectateurs. Et je vous raconte même pas ses talents en comédie… Il fait rire aux éclats sans jamais forcer.
Petits secrets et anecdotes croustillantes sur Nicolas Briançon
Alors là, accrochez-vous, parce que l’homme est loin d’être ennuyeux. Par exemple, il a monté une pièce avec une question un peu osée : faut-il interdire « Les Diaboliques » de Barbey d’Aurevilly ? Imaginez la controverse…
Et vous saviez qu’il a aussi une obsession bien à lui ? La musique de Mylène Farmer lui plaît, il l’admire. Ça peut paraître surprenant, non ? Bref, Nicolas, c’est un mec avec des passions assez « rock » derrière son image sage.
En 2023, il a mis en scène « Joyeuses Pâques » au Théâtre Marigny, avec sa femme Sophie Guillemin sur scène. Une comédie de boulevard qui a fait mouche auprès du public. Oui, il mêle vie pro et perso, et ça marche plutôt bien.
Ah, et une petite dernière : il a dirigé un Opéra royal, « Ariodante » de Haendel au Château de Versailles. Rien que ça ! Le mec est partout, il jongle avec les genres sans perdre le rythme, franchement impressionnant.
Les projets récents et actualités de Nicolas Briançon en 2024-2025
À 62 ans, il ne ralentit pas, loin de là. En ce moment, vous pouvez le voir à l’affiche de pièces comme “Parle-moi d’amour” (jusqu’en janvier 2025) ou encore « Le Journal d’une femme de chambre » qu’il met en scène en tournée cet automne. Une vraie renaissance !
Si vous aimez les tragi-comédies et les grandes émotions, son « Monstre sacré » au Théâtre Hébertot du printemps dernier est à revoir en replay, il transporte littéralement le spectateur.
Envie d’une comédie grinçante ? « Ce qui ne nous tue pas » mêle humour et réflexions sur la vie, et c’est évidemment au Théâtre Lepic que ça se passe. Mélanie Page est d’ailleurs une révélation. Rien que ça.
Il prépare aussi à la rentrée 2025 une pièce où il joue, « Je me souviendrai de presque tout », alors notez bien : à ne pas manquer au Théâtre Montparnasse. Pour suivre son actualité complète, son agenda est consultable sur Agenda Culturel.
Une liste pour ne rien perdre de ses talents ! 🎭
- 🎬 Acteur polyvalent au cinéma et à la télévision (notamment dans « Engrenages »)
- 🎭 Metteur en scène de près de 24 pièces au théâtre
- 🌟 Directeur artistique du Festival d’Anjou depuis 2004
- 🏆 Lauréat d’un Molière pour “Voyages avec ma tante”
- 🎤 Adaptateur et interprète de grands auteurs classiques et contemporains
Quel est l’âge exact de Nicolas Briançon ?
Nicolas Briançon est né le 29 juillet 1962, il a donc 62 ans en 2024 et approche les 63 ans en 2025.
Quels sont les rôles phares de Nicolas Briançon ?
Il est connu pour ses rôles au théâtre, notamment dans ‘Le Canard à l’orange’ et ‘Parle-moi d’amour’, ainsi que pour ses mises en scène de pièces classiques et contemporaines très appréciées.
Quelle est la particularité de sa carrière ?
Nicolas Briançon est à la fois acteur et metteur en scène, ce qui lui permet de naviguer avec fluidité entre jouer sur scène et diriger les autres.
Quels projets propose-t-il en 2025 ?
En 2025, il joue dans ‘Je me souviendrai de presque tout’ au Théâtre Montparnasse et met en scène ‘Le Journal d’une femme de chambre’ en tournée.
Où peut-on suivre son actualité ?
Son actualité et son agenda sont disponibles sur des sites spécialisés comme Agenda Culturel ou Voici.
