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- Qui est Princess Erika ? Son identité, origines et premiers pas
- Le parcours avant la célébrité : du sport à la scène
- Les grands succès de Princess Erika qui ont marqué la France
- Vie privée et anecdotes touchantes sur Princess Erika
- Projets récents et les nouveautés qui entourent Princess Erika
- Questions fréquentes sur Princess Erika
Princess Erika, vous connaissez ? Née en 1964 à Paris, elle est cette voix unique du reggae français, une pionnière vraiment. À 1m68, avec son énergie incroyable, elle s’est frayé un chemin durable dans la musique et le spectacle. Et puis, côté vie privée, elle est maman de deux garçons, Julien et Oudima, une vraie battante.
Son parcours, c’est un mélange d’immigration, d’athlétisme avant la musique, et d’une famille soudée – ses sœurs font aussi de la musique, c’est dingue ce talent familial ! Avant la célébrité, elle faisait déjà bouger les foules avec Blackheart Daughters. Son tube « Trop de bla bla » sorti en 1988 a été un coup de tonnerre sur la scène française.
La carrière, parlons-en. Avec un style ragga bien marqué, elle a joué dans différents films, séries, pièces de théâtre. Une artiste complète qui, depuis, n’a jamais cessé de se renouveler. Et puis son tube dans la pub MMA, c’est sa petite manne financière qui la soutient – avouez que c’est malin. Sa fortune, elle l’a bâtie à la sueur de sa voix et de son engagement.
Récemment, on a eu la surprise de la voir engagée politiquement, et même fiancée discrètement. Pas mal, non ? Alors oui, elle a connu des hauts et des bas, des blessures intimes qu’elle a su transcender, toujours fidèle à elle-même, ce qui rend son histoire encore plus touchante et inspirante.
Qui est Princess Erika ? Son identité, origines et premiers pas
Princess Erika, de son vrai nom Érika Dobong’na, est la fille d’immigrés camerounais venus en France pour des raisons politiques. Elle grandit dans un univers où l’art et l’engagement tiennent une grande place, notamment grâce à sa mère, Marie-Claire Matip, une femme inspirante et auteure reconnue. Son enfance parisienne baigne dans ces valeurs, mais aussi dans la musique dès le plus jeune âge.
Avant que la musique ne devienne sa vie, Erika était une athlète prometteuse, championne de France en haies et saut en longueur en 1979. Oui, elle avait déjà la rage de vaincre et la discipline. À partir de 1982, elle monte le groupe Blackheart Daughters avec ses sœurs et fait une première tournée impressionnante, en première partie de Dennis Brown. C’est là que la graine de la future star est semée.
Elle ne tarde pas à s’imposer sur la scène reggae française, mais pas n’importe laquelle : une reggae teintée de messages forts. Son premier vrai tube, « Trop de bla bla », sorti en 1988, parle déjà des violences conjugales, un sujet tabou à l’époque. La jeune femme frappe fort et fortifie sa réputation avec ce morceau qui restera un classique. Une pionnière qui sait mêler groove et parole engagée.
Son univers musical est très marqué par ce mélange de cultures, tout en revendiquant ses racines noires et africaines. Et ce n’est pas juste un détail puisque cette identité nourrit depuis toujours son art, jusque dans ses collaborations, notamment avec de grandes figures françaises comme Catherine Ringer ou Marc Lavoine.
Le parcours avant la célébrité : du sport à la scène
Eh bien, ce n’était pas gagné d’avance. Avant que son nom circule dans les bouches, la demoiselle n’en était pas à son premier exploit. Championne d’athlétisme à 15 ans, elle a fait preuve d’une ténacité incroyable. Mais la musique lui tapait déjà dans l’œil, ou plutôt dans les oreilles, à cause de ses sœurs et de ses premières années dans Blackheart Daughters.
Ce groupe familial, c’est son premier vrai labo musical où elle apprend à chanter, composer, à prendre confiance en elle. Le reggae, ce style venu de Jamaïque, c’est sa porte d’entrée vers un univers riche, mais surtout un moyen de faire passer des messages, une vraie signature. C’est là aussi qu’elle est intronisée à la Zulu Nation en 1982, un moment symbolique qui la lie durablement à l’histoire du hip-hop et du ragga.
Son départ en solo en 1988 est un moment clé. Elle part à Londres, compose et produit « Trop de bla bla », qui va bouleverser son destin. Ce morceau féministe et engagé l’impose très vite. Imaginez, à l’époque, une femme noire qui ose parler de sujets graves par le biais du reggae, ce n’était pas courant. Elle pose une pierre essentielle à la scène urbaine française.
Entre musique, premières apparitions au cinéma et débuts à la télé, elle construit son univers à son image : ouvert, pluriculturel et sincère. Ce mélange d’expériences forge une jeune artiste au charisme fou.
Les grands succès de Princess Erika qui ont marqué la France
Sérieusement, « Trop de bla bla », ça vous parle ? Ce tube sorti en 1988 a mis tout le monde d’accord. Plusieurs de ses albums, notamment « D’origine » en 1995, ont confirmé qu’elle avait de la voix et surtout des histoires à raconter. Ce titre phare « Faut qu’j’travaille » a séduit la France entière et s’est hissé dans le top des ventes.
Au fil des années, elle multiplie les collaborations qui font sens. Catherine Ringer sur « Ailleurs », Marc Lavoine avec « Les hommes sont des femmes comme les autres », la liste est longue. Ce n’est pas juste pour le buzz, on sent une vraie complicité artistique qui donne un relief supplémentaire à sa carrière.
Et n’oublions pas son rôle au théâtre avec Peter Brook, sur les planches des ‘Monologues du vagin’, ou ses passages marquants dans des séries comme Camping Paradis. Une vraie touche à tout qui donne une épaisseur rare à son parcours. Côté fortune, on peut dire qu’elle a su monétiser son travail avec intelligence : les droits d’auteurs issus de la publicité MMA lui assurent un revenu confortable, chose qu’elle assume bien.
Dernières notes : son retour récent avec l’album « J’suis pas une sainte » en 2022 montre qu’elle n’a rien perdu de sa flamme. Elle continue d’explorer, de s’engager et de surprendre. C’est un peu ça, le secret de sa longévité.
Vie privée et anecdotes touchantes sur Princess Erika
Ah, sa vie privée, elle n’en parle pas souvent, c’est vrai. Maman de deux garçons, Julien et Oudima, elle a toujours su jouer le rôle de mère aimante et artiste passionnée sans jamais mélanger les deux à l’excès. Sa discrétion sur ses fiançailles récentes a surpris pas mal de monde, c’était presque secret.
Ce qui marque beaucoup, c’est aussi son courage face à des périodes difficiles. Elle a été victime de violences conjugales, chose qu’elle a courageusement partagée pour sensibiliser. C’est plus qu’une artiste, c’est une femme forte qui résonne avec beaucoup de monde.
Un petit détail qu’on oublie souvent : elle est très proche de ses sœurs, un vrai clan musical. Et côté collaborations, ses rencontres ont été autant des amitiés que des coups de génie artistique. Récemment, elle a même reçu une longue lettre d’un homme politique, une preuve de son influence bien au-delà de la scène.
Pas étonnant que même en 2026, elle reste une figure respectée et incontournable de la culture française. Une artiste complète, loyalement ancrée dans ses valeurs.
Projets récents et les nouveautés qui entourent Princess Erika
En 2022, elle nous a offert « J’suis pas une sainte », un album qui rappelle que Princess Erika, c’est loin d’être juste un souvenir des années 90. Elle y collabore avec ses fils,ça ajoute un côté très personnel et frais. Pas mal de concerts avec la tournée RFM Party 90 en 2024 l’ont remise sur le devant de la scène, avec d’autres grandes voix des années 90.
Elle a aussi été jurée dans plusieurs émissions, comme Music Explorer en 2016, et elle continue à multiplier les passages télé. On a vu son envie de mêler engagement et divertissement, ça fait plaisir à voir. Même si elle s’est dite “vexée” d’avoir été écartée de Danse avec les stars, elle garde son humour et son sourire.
Elle travaille aussi avec des artistes comme Diana King ou Didier Sustrac, élargissant toujours plus son univers musical. Une vraie bouée artistique qui lui permet de ne jamais se reposer sur ses lauriers. Franchement, son envie de créer est toujours aussi vivante.
Elle est également très impliquée dans la SACEM depuis juin 2024, ce qui prouve qu’elle pense à l’avenir des artistes. Une preuve de plus que sous les paillettes, il y a une vraie stratège à l’œuvre.
Liste des faits marquants de la carrière de Princess Erika 🎤✨
- 🌟 Premier tube « Trop de bla bla » en 1988 – un hymne féministe fort
- 🎶 Collaboration avec Catherine Ringer et Marc Lavoine dans les années 90
- 🎭 Engagement au théâtre, notamment avec Peter Brook et dans les Monologues du Vagin
- 📺 Participation régulière à des émissions télé comme Camping Paradis et Fort Boyard
- 💼 Droits d’auteur générant un revenu confortable grâce à la pub MMA
- 🎵 Sortie de l’album « J’suis pas une sainte » en 2022 avec ses fils
- 🤝 Engagement dans des causes solidaires et au sein de la SACEM depuis 2024
Retrouvez Princess Erika en images et musique
Ce clip emblématique, c’est un passage obligé pour comprendre l’impact qu’a eu Princess Erika dans la musique française. Vous allez voir, son énergie sur scène est contagieuse.
Une interview récente où elle revient sur sa carrière, ses combats, et ses projets actuels. Une version très intime de l’artiste que beaucoup auraient aimé découvrir plus tôt.
Questions fréquentes sur Princess Erika
Quel est le vrai nom de Princess Erika ?
Elle s’appelle en réalité Érika Dobong’na, elle est née à Paris en 1964 de parents camerounais.
Quels sont ses tubes les plus connus ?
Les plus célèbres sont « Trop de bla bla » et « Faut qu’j’travaille », deux morceaux qui ont marqué le reggae français.
Est-ce que Princess Erika a une carrière au cinéma ?
Oui, elle a joué dans plusieurs films comme Des marins perdus, Le Jardin de papa, et des séries populaires telles que Camping Paradis.
Quels engagements porte-elle dans sa vie d’artiste ?
Elle s’engage pour les droits des femmes, notamment contre les violences conjugales, et participe à des actions solidaires pour les enfants en Afrique.
Quels sont ses projets récents ?
Princess Erika continue de sortir de la musique, tourne avec la RFM Party 90, participe à des émissions de télé et s’implique dans la SACEM depuis 2024.
Si vous voulez plonger encore plus dans son univers, je vous conseille fortement de visiter son site officiel http://www.princesserika.fr/ ou de jeter un œil à sa bio détaillée sur AlloCiné. Pour une plongée dans l’histoire de la scène reggae française, rien de mieux que l’article sur Reggae.fr. Et si vous êtes curieux de son engagement, la page de Gala offre un bon aperçu.

