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- Qui est vraiment Richard E. Grant ? Un acteur britannique au charme unique
- La carrière impressionnante de Richard E. Grant : du cultissime au mainstream
- Vie privée mouvementée et anecdotes sur Richard E. Grant
- Quelques anecdotes fascinantes sur Richard E. Grant
- Richard E. Grant, un homme et une étoile du cinéma toujours en mouvement
Alors, Richard E. Grant, c’est ce genre d’acteur dont vous avez sûrement croisé le visage sans vraiment le mettre sur un nom tout de suite. Il est né en 1957 à Mbabane, au Swaziland, aujourd’hui Eswatini, un coin auquel on ne pense pas souvent quand on évoque les talents britanniques. Oui, il a cette touche exotique dès le départ. Il mesure un mètre soixante-dix, ce qui, à Hollywood, vous allez voir, ne l’a pas empêché d’avoir un sacré charisme.
Si vous vous demandez comment on devient une star en partant de ce petit royaume africain, eh bien, son parcours est presque un roman. Richard Grant Esterhuysen de naissance, il a quitté son Afrique du Sud natale, où il avait fait ses études d’art dramatique, pour venir tenter sa chance à Londres au début des années 80. Il a adopté son fameux nom de scène assez vite, histoire d’avoir un truc qui claque un peu plus, et bingo : Withnail dans « Withnail and I », ça change tout en 1987.
Vous avez peut-être vu Richard dans « Gosford Park » ou « Can You Ever Forgive Me? », un film qui lui a même valu une nomination aux Oscars. Ce gars-là, c’est un caméléon, capable d’être mi-ivrogne cabot dans une comédie noire, mi-vilain charmeur dans Star Wars, ou encore un gentleman dans la série « Downton Abbey ». Mais, ce qui est fou, c’est que malgré sa carrière au cinéma et à la télé, il reste super attaché à sa maison de Londres, cette bâtisse géorgienne où il a passé des décennies, avec une déco que certains adorent et que d’autres trouvent dingue.
Son côté maximaliste, vous voyez… il collectionne tout, les souvenirs de tournage, des babioles venues de marchés d’antiquités, des photos… Sa femme Joan, décédée, a été une coach en dialectes réputée et vous pouvez sentir leur histoire partout dans cette maison qui ressemble un peu à un cabinet de curiosités. C’est un décor plein de vie et d’amour, même si Richard plaisante parfois en disant que ça doit ressembler à la maison de Miss Havisham.
Qui est vraiment Richard E. Grant ? Un acteur britannique au charme unique
Richard est né le 5 mai 1957 et a aujourd’hui 68 ans, toujours aussi actif. Son vrai nom complet : Richard Grant Esterhuysen. Pour les passionnés de cinéma, c’est ce visage aux yeux expressifs, souvent vêtu de costumes rétro, qui incarne l’élégance un peu décalée. Il est marié et a une fille, mais il a aussi connu la tristesse avec le décès de son épouse Joan, ce qui a marqué sa vie personnelle.
Côté parcours, il a grandi en Afrique du Sud, plongé dans un monde à la fois colonial et très distant de Londres, ce qui a forgé ce regard un peu ironique qu’on retrouve dans ses rôles. Après ses études à l’université du Cap, il décide de traverser la Manche, et là, tout change.
Adopter un nom de scène a été, à l’époque, presque une nécessité. Il rejoint le syndicat Equity sous le nom de Richard E. Grant pour se faire remarquer. Son déménagement à Londres en 1984 précède juste son entrée fracassante dans le cinéma. Le succès de « Withnail and I » en 87 ouvre des portes qu’il n’a plus jamais voulu refermer.
Il a multiplié les rôles, du théâtre à la télé, en passant par le cinéma international. Richard E. Grant a toujours ce talent pour se glisser dans des personnages complexes et attachants, sans jamais être « le gars trop célèbre ». Un équilibre rare, vous ne trouvez pas ?
La carrière impressionnante de Richard E. Grant : du cultissime au mainstream
Bon, franchement, Richard E. Grant a eu une carrière qui fait un peu rêver tout le monde. Ce mec a commencé au cinéma avec un rôle culte, un peu underground, dans « Withnail and I », où il joue un acteur déchu à la santé mentale vacillante. Ce rôle a fait son buzz, vous imaginez ?
Ensuite, il a embrayé avec une filmographie dingue : « Gosford Park », ce film à ambiance british qu’on aime tant, « Dracula » sous la direction de Coppola, ou encore « Star Wars » épisode IX, oui, lui aussi ! Si vous ajoutez « Downton Abbey » ou même « Doctor Who » à sa liste, vous sentez qu’on parle d’un des piliers du cinéma et de la culture britannique.
Il a aussi brillé à la télé américaine, notamment dans « Girls », créé par Lena Dunham. Pas mal pour un gars qui vient d’un pays qu’on ne cite pas souvent dans les biographies hollywoodiennes. Ah, et j’oubliais son rôle dans « The Thursday Murder Club », un autre hit récent qui montre bien qu’il ne ralentit pas.
Par ailleurs, vous pouvez consulter sa carrière complète sur des sites comme AlloCiné ou IMDb, ça vous donnera une idée de la diversité des projets qu’il a enchaînés. Il a aussi sorti un premier film en tant que réalisateur qui s’inspire de son enfance au Swaziland. Chapeau bas.
Sa fortune et ses succès marquants
Côté argent, Richard a réussi à bâtir une jolie fortune, notamment grâce à ses nombreux rôles au cinéma et à la télé, sa maison londonienne valant une petite fortune, sans compter ses autres biens. Ce qui frappe avec lui, c’est qu’il ne fait pas les choses pour la gloire uniquement, mais aussi par passion.
Il a une aura qui dépasse le simple acteur de second rôle. En 2019, il a été nominé aux Oscars pour son rôle dans « Can You Ever Forgive Me? », une reconnaissance tardive mais méritée. En plus, il est toujours fréquent de le voir collaborer avec des réalisateurs, acteurs et amis prestigieux.
Son cercle d’ami est assez impressionnant, de Glenn Close à Ben Fogle, tous admirent son style et sa personnalité, mais aussi sa maison qui est devenue une sorte de lieu de pèlerinage pour les fans de déco excentrique et d’histoires de cinéma. Une vraie petite légende vivante.
Vie privée mouvementée et anecdotes sur Richard E. Grant
Alors, niveau vie perso, Richard avait épousé Joan Washington, une coach en dialectes reconnue. Leur amour, ça a été un truc fort qui a duré jusqu’au départ de Joan, ce qui a bouleversé Richard. Il parle souvent d’elle en entretien, notamment quand il décrit leur maison londonienne pleine de souvenirs.
Vous savez quoi ? Ils ont commencé à chercher une maison dans les années 90 et ont failli acheter une autre, avant que la leur ne devienne dispo. Depuis, ils ont transformé cette maison géorgienne en un vrai musée vivant avec une déco qui fait débat, certains adorent, d’autres trouvent ça too much, mais c’est ça qui est génial.
Un petit secret : Richard aime inviter ses amis célèbres, comme Steve Martin et Martin Short, qui ont pris leur repas dans un lieu qualifié de « musée vivant » par ces derniers. C’est dire l’ambiance unique qui règne chez lui.
J’ai même lu que la maison contient un bust de Barbra Streisand… Oui, vous avez bien lu. Une touche théâtrale et originale qui fait vraiment partie de ce qu’il est.
Ses projets récents et collaborations
En 2023, il a joué dans « Saltburn », un film qui a reçu de belles critiques et qui montre encore sa capacité à se renouveler. En ce début de 2026, il est annoncé dans plusieurs productions prometteuses, notamment « Argylle » de Matthew Vaughn, un projet très attendu.
Pas question de ralentir pour lui. Il continue aussi à passer derrière la caméra de temps en temps, histoire de raconter des histoires qui lui tiennent à cœur. Il a même tourné en Australie plusieurs fois, ça lui donne un air un peu globe-trotter.
Pour suivre toutes ses actualités, ses projets et ses histoires, son site officiel est une mine d’or. Vous y trouverez tout sur sa vie et sa carrière, un vrai partage amoureux de son métier.
Au final, Richard E. Grant, ça reste un gosse du Swaziland, devenu une légende british par son talent et sa personnalité haute en couleur, toujours prêt à étonner et à émouvoir.
Quelques anecdotes fascinantes sur Richard E. Grant
- 🎬 Savez-vous qu’il a commencé sa carrière en adoptant un nom de scène juste pour se démarquer à Londres ?
- 🏡 Sa maison à Londres est remplie de souvenirs et d’objets ramenés de marchés d’antiquités, un vrai musée vivant selon ses amis célèbres.
- 🌲 Chaque Noël, il décore sa maison avec un sapin gigantesque de 12 pieds, un rituel apprécié de ses invités.
- 🎭 Joan, son épouse décédée, a laissé une empreinte indélébile sur son art et sa vie, notamment à travers des ouvrages d’art dans la maison.
- 🎥 Il n’a jamais voulu vendre sa maison, même s’il est parfois tenté par des changements, trop de souvenirs à l’intérieur.
Richard E. Grant, un homme et une étoile du cinéma toujours en mouvement
À 68 ans, Richard E. Grant symbolise parfaitement l’idée qu’on peut vieillir tout en gardant vivace ce feu sacré artistique. Sa carrière déploie un éventail impressionnant de personnages, parfois drôles, parfois sombres, mais toujours captivants.
Il a aussi ce côté attachant d’un passionné de déco et de souvenirs, qui fait de sa maison un lieu quasi magique, rempli d’histoires qu’il partage avec ses amis et fans. Vous devez voir ça, c’est un vrai spectacle en soi.
Il est l’archétype même de l’artiste discret, jamais dans le tape-à-l’œil, mais toujours là, prêt à faire une apparition qui reste dans les mémoires. La scène britannique et mondiale lui doit beaucoup, croyez-moi.
Et comme 2026 s’ouvre, on peut être sûrs que Richard E. Grant a encore quelques tours dans son sac, entre nouveaux films, tournages et surprises artistiques. Restez à l’affût, il ne déçoit jamais.
Quel est le vrai nom de Richard E. Grant ?
Son vrai nom est Richard Grant Esterhuysen.
Quand est-il né ?
Il est né le 5 mai 1957 à Mbabane au Swaziland (Eswatini).
Dans quel film a-t-il fait ses débuts ?
Il débute au cinéma dans le film culte ‘Withnail and I’ en 1987.
Quels sont ses projets récents ?
En 2023, il a tourné dans ‘Saltburn’ et il sera dans ‘Argylle’ en 2026, entre autres.
Où consulter sa filmographie complète ?
Vous pouvez consulter sa carrière sur des sites comme AlloCiné, IMDb ou Wikipédia.
