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Rima Abdul-Malak, c’est un peu cette personnalité qui vous surprend à chaque coin de rue culturelle et politique. Née le 11 février 1979 à Beyrouth, aujourd’hui elle a 46 ans. Elle mesure dans les 1,70 m, plutôt élancée, le genre de présence qu’on remarque sans trop savoir pourquoi. Sa vie ? Un vrai roman d’exil, d’engagement et de poésie. 💫
Si vous cherchez une femme discrète, passez votre chemin. Rima, elle parle avec le cœur et parfois ça surprend. De Beyrouth à Lyon, c’est toute une histoire familiale, marquée par la guerre civile libanaise et l’immigration. Vous imaginez ? Quitter sa maison pour sauver sa peau, puis choisir la culture comme arme et langue d’espoir.
Je dois vous avouer, j’ai toujours eu un petit faible pour ceux qui traitent la culture comme une passion militante. Rima en fait partie : elle a gravi les échelons, des Clowns Sans Frontières aux palais ministériels. 2022-2024, elle était ministre de la Culture, un poste où elle a mis un sacré coup de jeune. Une vraie tornade dans une institution parfois poussiéreuse.
Alors, c’est qui vraiment cette femme au parcours si dense ? Restez avec moi, je vous raconte tout ça avec ses hauts, ses bas, et ses petites histoires les moins connues. Vous allez voir, c’est bien plus qu’un CV.
Rima Abdul-Malak : femme politique franco-libanaise au cœur des arts et de la culture
Rima Abdul-Malak, née à Beyrouth dans une famille chrétienne libanaise, a fui la guerre civile libanaise enfant pour s’installer à Lyon. Double nationalité, française et libanaise, ce mélange de cultures a forgé son regard singulier. Rien ne la prédestinait à la politique, pourtant elle s’impose comme l’une des voix influentes de la scène culturelle française.
Son identité publique ? Une femme à la fois passionnée et stratégique, incarnant une vision moderne de la culture comme acte politique. Vous verrez souvent son nom lié à des projets innovants ou à des prises de position fortes, notamment quand elle était au ministère de la Culture, entre 2022 et début 2024.
De Clowns Sans Frontières au ministère : un parcours hors du commun
Avant de devenir ministre, Rima, elle n’a pas toujours roulé sur l’or ni vécu sous les projecteurs. Dès les années 2000, elle a dirigé les programmes de l’association Clowns Sans Frontières, une expérience qui lui colle à la peau. Imaginez : elle coordonnait des spectacles pour apporter du rire à des enfants dans des contextes difficiles, c’est vous dire l’humain derrière la fonction.
Puis elle a pris des responsabilités à Culturesfrance, l’Institut français, œuvrant à rapprocher la culture française du monde extérieur. Ça grouillait chez elle, le besoin de connecter, de diffuser, d’ouvrir. En 2014, elle part à New York comme attachée culturelle, où elle fait rayonner le théâtre français aux États-Unis. Franchement, c’est pas donné à tout le monde d’incarner la France ailleurs avec autant de panache.
Les grands succès de Rima Abdul-Malak au ministère de la Culture
Nommée ministre de la Culture en mai 2022 dans le gouvernement Élisabeth Borne, Rima a débarqué avec un programme ambitieux. Je me souviens de son projet « La grande fabrique de l’image » : un plan d’investissement énorme pour booster le cinéma, la télévision, et même les jeux vidéo français. C’est là qu’elle a vraiment montré que la culture peut être plus qu’un secteur, un vrai moteur économique et social.
Elle a aussi porté haut la cause des métiers d’art avec un plan à 340 millions d’euros. Un sacré message envoyé, parce que ces métiers sont souvent oubliés, mais essentiels. Et puis elle a fait de la jeunesse sa priorité, cherchant à ouvrir l’accès à la culture pour tous les jeunes, peu importe d’où ils viennent. Prendre la parole comme elle l’a fait sur des sujets sensibles ? Pas évident, surtout à ce poste, mais elle n’a jamais reculé.
Une vie privée discrète au cœur des engagements
Peu d’infos sur son intimité, ce qui est plutôt rare pour une personnalité publique aujourd’hui. Ce que sait tout le monde, c’est qu’elle a grandi dans une famille soudée, a une sœur artiste elle aussi — Maya, cinéaste. Cette discrétion, on la comprend bien, vu son parcours marqué par l’exil et des enjeux parfois délicats.
Rima aime la poésie, et ça paraît presque naturel quand on regarde son parcours : la poésie comme échappatoire, comme arme contre le réel. En 2023, elle crée le Rima Poésie Club pour faire vibrer la scène poétique contemporaine à Paris — un bel endroit pour souffler, pour se reconnecter à l’essentiel.
Quelques anecdotes surprenantes sur Rima Abdul-Malak
- 🎭 En 2013, invitée dans l’émission Vivement dimanche pour promouvoir Clowns Sans Frontières. Imaginez une ministre qui s’estime d’abord clown, c’est pas banal, non ?
- ✈️ À New York, pour booster le théâtre français, elle lance un festival pour enfants appelé TILT. Oui, elle ne fait pas les choses à moitié.
- 📢 Lors de la cérémonie de clôture du Festival de Cannes 2023, elle n’hésite pas à critiquer les discours trop à charge. Courageuse, elle assume ses positions, même si ça fait du bruit.
- 📚 Elle a fait ses armes à la Sorbonne et Sciences Po Lyon, avec un mentor libertaire, Philippe Corcuff, qui lui a donné cette touche audacieuse intellectuellement.
- 🏆 En 2025, elle est honorée chevalier de la Légion d’honneur, une belle reconnaissance pour une femme qui a beaucoup donné à la culture française.
Actualités et projets de Rima Abdul-Malak en 2025
Depuis son départ du gouvernement début 2024, Rima n’a pas chômé. Fin 2025, elle prend la direction du quotidien libanais L’Orient-Le Jour. Un retour aux racines, tout en restant au cœur de l’actualité culturelle et politique.
Elle continue aussi ses combats autour de la poésie et des arts vivants, participant régulièrement à des festivals et nouant des ponts entre la France et le Liban. D’ailleurs, son club de poésie tourne toujours au rythme de lectures passionnées, un vrai souffle dans le monde culturel parisien.
Et si vous voulez tout savoir sur sa riche carrière, plongez-vous dans sa bio complète sur Wikipedia ou découvrez son ministère à travers une page officielle très bien faite sur le site du Ministère de la Culture.
Quelle est la formation de Rima Abdul-Malak ?
Elle est diplômée de Sciences Po Lyon et a un DESS en développement et coopération internationale de l’université Panthéon-Sorbonne.
Quand Rima Abdul-Malak a-t-elle été ministre de la Culture ?
Elle a été ministre de la Culture de mai 2022 à janvier 2024 dans le gouvernement Élisabeth Borne.
Quelle est l’origine de Rima Abdul-Malak ?
Née à Beyrouth dans une famille libanaise chrétienne, elle a déménagé en France à l’âge de 10 ans pour fuir la guerre.
Quels sont les projets culturels récents de Rima Abdul-Malak ?
En 2023, elle a lancé le Rima Poésie Club pour promouvoir la poésie contemporaine et participe à divers festivals culturels.
Que devient Rima Abdul-Malak après son passage au gouvernement ?
Depuis début 2024, elle est directrice du journal libanais L’Orient-Le Jour et reste engagée dans la scène culturelle.