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- Qui est vraiment Santiago Amigorena ? Un homme entre écriture et cinéma
- Avant la célébrité : une enfance marquée par l’exil et la langue
- Sa carrière dans le cinéma : entre scénarios marquants et réalisations personnelles
- Santiago Amigorena : écrivain d’une mémoire vivante et douloureuse
- Sa vie privée : passages et amours sous les projecteurs
- Les actualités de Santiago Amigorena : projets et créations à suivre
Vous connaissez peut-être Santiago Amigorena sans même vous en rendre compte. Né en 1962, ce type est une sorte de caméléon artistique, un réalisateur, scénariste et écrivain argentin devenu Français. Il mesure environ 1,78 m et a une vie privée qu’on dirait tirée d’un roman. Enfin bref, il ne laisse pas indifférent.
Son enfance ? Un vrai roman d’exils. Né à Buenos Aires, sa famille, psychanalystes de métier, fuit la dictature et traverse l’Uruguay avant de s’installer à Paris en 1973. Imaginez : un gamin qui change de continent et de langue… vous sentez déjà que le gars ne fait rien comme les autres.
Mais ce que j’aime le plus, c’est comment il a démarré sa carrière. Après des études en lettres, philosophie et histoire de l’art un peu chaotiques (parce qu’on n’est jamais vraiment prêt à choisir, non ?), il se lance dans l’écriture de scénarios. Et là, boom, succès direct avec « Le Péril jeune » de Cédric Klapisch.
Depuis, il a touché à à peu près tout : une trentaine de scénarios, plusieurs films réalisés, des romans autobiographiques bluffants qui explorent la mémoire, l’exil, les blessures d’enfance. Je vous jure, c’est un passionné au cœur battant, qui ne fait pas les choses à moitié.
Qui est vraiment Santiago Amigorena ? Un homme entre écriture et cinéma
Né le 15 février 1962 à Buenos Aires, Santiago n’a pas eu une vie toute tracée. Ses parents, psychanalystes, ont traversé l’Amérique du Sud avant de poser leurs bagages en France quand il avait à peine 11 ans. Alors il parle plusieurs langues, et ça se sent dans son écriture, qui a ce côté à la fois intime et universel.
Son parcours scolaire ? Pas le plus banal, entre lettres, philo, histoire de l’art, il navigue tellement qu’on dirait le type qui cherche vraiment sa voie, mais sans précipitation. C’est à Paris, au lycée Rodin, qu’il rencontre Cédric Klapisch, avec qui il collaborera pendant des années.
Niveau taille : il est plutôt grand, vers 1,78 m – pas négligé pour un homme toujours plongé dans ses scénarios. Marié à Julie Gayet en 2000, il a eu deux enfants, a connu l’histoire avec Juliette Binoche, et en 2018 s’est remarié avec Marion Quantin avec qui il a un autre enfant. Bref, une vie aussi intense que ses œuvres.
Son identité publique est donc riche, multiple, un savant mélange d’exil, de création, d’émotions, construit sur des bases artistiques solides avec un penchant pour l’autobiographie, et la frontière floue entre réel et fiction.
Avant la célébrité : une enfance marquée par l’exil et la langue
Imaginez : Santiago enfant, balloté entre Buenos Aires, Montevideo, et Paris. Quand il arrive en France, il a du mal avec la langue, presque muet — c’est fou, mais il est né sans pouvoir parler. Vraiment pas simple pour un futur écrivain, non ?
Cette rupture linguistique et géographique marque profondément son œuvre. Son projet littéraire, une autobiographie en plusieurs volumes commencée dans les années 90, explore cette douleur de l’exil, cette enfance “laconique” comme il dit. Il nous emmène dans des souvenirs pas toujours joyeux, mais terriblement touchants.
Il est un exemple de résilience : d’un gamin presque silencieux à un conteur au talent inouï, capable de parler des blessures d’amour, des amis, et surtout, de cette langue qui construit notre être. Une trajectoire que vous pouvez creuser chez Booknode si ça vous intrigue.
Sa carrière dans le cinéma : entre scénarios marquants et réalisations personnelles
Dès la fin des années 80, il signe des scénarios qui deviendront cultes, notamment “Le Péril jeune” qu’il écrit avec Klapisch, un film qui a marqué une génération. Sans fanfare, le bonhomme s’installe dans le cœur des réalisateurs français des 90’s.
Mais il ne se contente pas d’écrire pour les autres. En 2006, après avoir affûté ses armes, il passe à la réalisation avec “Quelques jours en septembre”, une pépite avec Juliette Binoche, Nick Nolte… Qui a d’ailleurs fait un joli tour dans plusieurs festivals internationaux. C’est drôle, après tant d’écritures, de le voir enfin derrière la caméra à imposer sa vision.
Il poursuit ensuite avec “Another Silence” (2011) et “Les Enfants rouges” (2014), tout en continuant de scénariser pour la nouvelle génération, épaulant des auteurs comme Brigitte Roüan ou Agnès Merlet.
Santiago Amigorena : écrivain d’une mémoire vivante et douloureuse
Son écriture, là, c’est pas juste des histoires. C’est un projet fou, presque obsessionnel : écrire une autobiographie gigantesque, mosaïque d’une vie déchirée par l’exil, l’amour impossible, et la langue perdue. Chaque livre couvre un pan de sa vie, chaque émotion est dépliée, disséquée.
Je vous assure, ça donne envie d’y plonger. On parle de titres comme “Une enfance laconique”, “La Première Défaite” (qui a fait un carton critique), jusqu’au plus récent “La Justice des hommes”, publié en 2023.
Ça ne rigole pas, mais c’est profondément humain et parfois même drôle. Oui, oui, il y a des éclats de rire dans ces pages mélancoliques. Vous pouvez lire plus sur ce travail littéraire passionnant sur Babelio.
Quelques distinctions qui montrent que le mec ne fait pas dans la demi-mesure :
- 🏆 Grand prix SGDL de la fiction en 2020
- 📚 Prix Folio des libraires 2021
- ✨ Sélections aux prix Goncourt, Médicis, Renaudot en 2019
- 🏅 Prix de la Renaissance Française en 2019
Sa vie privée : passages et amours sous les projecteurs
Bref, la vie perso de Santiago, c’est pas mal la version intense de ses romans. Il a été marié à Julie Gayet, avec qui il a eu deux enfants. Leur histoire finit sans drame public, mais bon, ça reste une info qui fait jaser.
Rencontrer Juliette Binoche sur un tournage ? Normal, ça donne un couple entre deux esprits créatifs, mais ça ne dure pas. Depuis 2015, il partage la vie de Marion Quantin, scénariste également, qu’il a épousée en 2018 à Macao. Une jolie love story qui poursuit son chemin donc.
Entre amours, rencontres, ruptures, on voit que Santiago ne fuit pas l’intensité. Et ça, ça me parle. Je vous invite à découvrir ses petits secrets de vie sur Voici.
Les actualités de Santiago Amigorena : projets et créations à suivre
En 2025, Santiago ne ralentit pas. Il est en train de terminer des romans et travaille sur un nouveau film intitulé “Le Printemps”, encore en préproduction. Pour un mec qui a déjà autant de cordes à son arc, c’est impressionnant.
Pendant que certains se reposent, lui continue de bousculer les codes, mélangeant écriture et cinéma avec cette même énergie passionnée. Son œuvre, qu’on peut décortiquer sur Populaction, reste une fenêtre incroyable sur un homme qui s’efforce de raconter ce que peu osent dire.
Alors, franchement, si vous avez un peu de temps, plongez. C’est une expérience, presque un voyage.
Quel est l’âge de Santiago Amigorena ?
Né le 15 février 1962, il a 63 ans en 2025.
Quels sont les grands succès de Santiago Amigorena au cinéma ?
Il est surtout connu pour le film ‘Quelques jours en septembre’ et sa collaboration au scénario de ‘Le Péril jeune’.
Quel est son projet littéraire principal ?
Il écrit une autobiographie en plusieurs parties, racontant sa vie, son exil, et ses expériences personnelles.
Avec qui Santiago Amigorena est-il marié actuellement ?
Depuis 2018, il est marié avec la scénariste Marion Quantin.
Quels sont ses projets récents ?
Santiago prépare un film intitulé ‘Le Printemps’ et continue de publier des romans.
