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Sayyid El Alami, vous le connaissez peut-être comme cette voix nouvelle du cinéma français qui s’impose avec une authenticité bouleversante. Il est né en 1999, ce qui lui donne des airs de jeune prodige, mais attention, faut pas sous-estimer son parcours. À 25 ans, il mesure environ 1m75, un détail qui n’a l’air de rien mais qui colle bien à son univers.
Originaire de Toulouse, il est d’origine marocaine, un point qui colore joliment son identité publique. Enfant du Sud, élevé entre Toulouse et Perpignan, Sayyid, c’est avant tout ce mélange précieux de cultures qui nourrit ses choix et sa manière d’aborder chaque rôle. Et franchement, ça se sent.
Avant la comédie, c’était presque une autre vie. Sportif dans l’âme, il voulait être footballeur, le genre à rêver grand avec l’Olympique de Marseille en tête. Vous le voyez, ce gosse appliqué qui s’entraîne tous les jours avec une détermination folle ? Oui, ce Sayyid-là a failli suivre un tout autre chemin.
Tout a basculé quand il a pris ses premiers cours de théâtre à la MJC à l’âge de 12 ans. C’est là qu’il a compris que la scène, c’était son truc. Aujourd’hui, c’est un peu un comédien autodidacte, qui a traversé galères et refus pour imposer sa voix. Et ça marche tellement bien !
Sayyid El Alami : acteur français entre racines et ambitions
Dès ses débuts, Sayyid El Alami a choisi de ne pas se laisser enfermer dans un cliché. Issu d’une famille modeste avec six enfants, ses parents ont misé dur sur l’éducation, un vrai socle pour lui. Il a toujours expliqué que sa mère, notamment, poussait pour un avenir stable, loin des incertitudes du sport pro. Ça, ça explique pas mal de sa tenacité.
La galère, il connaît. Ne pas avoir de réseau, pas d’argent, pas de piston, ça lui a valu des centaines d’auditions ratées. Mais à quoi bon lâcher l’affaire ? En 2019, enfin, le déclic, il obtient un rôle dans « Zombi Child » de Bertrand Bonello, un film un peu mystérieux et engagé. Pas mal pour commencer.
Son premier grand rôle marquant arrive en 2020 avec la série américaine « Messiah » sur Netflix. Là, il incarne Jibril Medina, un réfugié palestinien. Une série polémique, oui, mais qui a mis un projecteur assez fort sur lui. Un tremplin, même si la route était encore longue.
En 2021, il touche un public plus large avec « Une si longue nuit » sur TF1, où il joue Sami Kacem, un étudiant en prison accusé à tort. Ce rôle a vraiment révélé sa profondeur dramatique et son envie d’aborder des histoires qui questionnent le monde. On sent qu’il n’est pas là pour faire joli.
La trajectoire hors norme de Sayyid El Alami dans le cinéma et la télévision
Son credo ? Être acteur de sa vie, spectateur du monde. Et ça résonne quand on regarde son itinéraire ! On ne parle pas d’une ascension facile, mais d’un parcours de bataille. Son rôle dans « Oussekine » sur Disney+ où il incarne Malik Oussekine a marqué les esprits : il porte un poids historique avec une justesse rare.
Depuis, Sayyid continue de choisir des projets engagés, dans ce cinéma français souvent en quête de nouvelles voix. Il prépare même un documentaire sur la ville de Cavaillon, une plongée dans des réalités dures, proche des violences et de la drogue. Pas de quoi s’ennuyer côté sujets.
Sa carrière compte déjà 17 films et séries, avec une nomination qui vient valider tout son travail acharné. La suite ? Plus de rôles, des collaborations intelligentes, notamment avec des réalisateurs comme Antoine Chevrollier. La Pampa, son dernier film en date, le confirme comme une star montante à suivre de très près.
Forcément, ça ne s’arrête pas là. Son charisme et son authenticité lui ont ouvert les portes de productions internationales, à l’image de ses débuts dans la série américaine. Bref, la vie est un grand terrain de jeu et il en profite pleinement, malgré un parcours parfois sinueux.
Les secrets et anecdotes qui façonnent la personnalité de Sayyid El Alami
Vous saviez qu’il a failli devenir footballeur professionnel ? Une vraie obsession enfant, jusqu’à ce que ses parents le ramènent à la raison. Ce qui est fou, c’est qu’il regardait des vidéos sur YouTube pour apprendre à dribbler comme les grands, un apprentissage 100 % autodidacte.
Il a aussi traversé pas mal de refus pour ses auditions, ce qui lui a valu quelques moments de doute. Mais dire qu’il y a renoncé ? Jamais. Cette ténacité est vraiment ce qui le distingue. Ça m’a frappé lors d’une interview où il expliquait que la pauvreté de ses parents au Maroc lui avait donné une vraie valeur du travail et de la culture.
Et puis, il a ce truc rare de porter ses combats à l’écran, en donnant vie à des personnages qui racontent une vérité sociale ou politique. Par exemple, son rôle dans « Oussekine » n’est pas juste un rôle, c’est un hommage vibrant, un engagement fort. Le genre de performance qui vous marque.
Enfin, il a une vraie complicité avec ses amis, à commencer par son meilleur pote avec qui il prépare un documentaire. C’est toujours inspirant de voir cette complémentarité entre vie personnelle et projets artistiques, vous ne trouvez pas ?
Les collaborations et actualités clés de Sayyid El Alami en 2026
Aujourd’hui, en 2026, Sayyid El Alami est loin d’être un phénomène éphémère. Son actualité parle d’elle-même. Après « La Pampa », il est en plein développement de plusieurs projets ambitieux, dont un documentaire tourné avec un ami, qui promet d’être une vraie révélation.
Il travaille aussi sur de nouvelles séries qui mélangent enjeux politiques et récits personnels, ce qui semble devenir sa marque de fabrique. On sent qu’il veut rester fidèle à ses valeurs, tout en s’ouvrant à des rôles variés et complexes. C’est ça ou rien pour lui.
Des réalisateurs et producteurs lui font confiance, ce qui lui ouvre des portes vers des tournages totalement internationaux. Cette ouverture professionnelle, combinée à sa maîtrise artistique née d’un travail sans relâche, le distingue vraiment parmi les jeunes talents du cinéma français.
Pour ceux qui suivent son parcours, il est clair que Sayyid n’a pas fini de surprendre. Et clairement, on attend la suite avec impatience, car il ne fait aucun doute qu’il va continuer à repousser les limites, sur grand écran comme en dehors. Vous retrouverez tout son parcours et ses news sur AlloCiné ou dans des interviews passionnantes comme sur Vogue.
À retenir sur Sayyid El Alami, un acteur à suivre de près
- ⚽ D’abord passionné de football, il a changé de voie à 12 ans.
- 🎬 A plus de 17 films et séries à son actif en 2026.
- 🌍 Porte des rôles engagés, souvent au cœur de récits sociaux et politiques.
- 🌟 Adulé pour son authenticité et sa force de travail.
- 🎥 En préparation d’un documentaire qui promet de faire du bruit.
Qui est vraiment Sayyid El Alami ?
C’est un acteur français d’origine marocaine, né en 1999 à Toulouse. Il s’est fait connaître grâce à des rôles engagés dans des séries comme Messiah et Oussekine.
Comment Sayyid El Alami a-t-il débuté sa carrière ?
Il a commencé par des cours de théâtre dès l’âge de 12 ans, enchaînant les auditions difficiles avant de décrocher ses premiers rôles dans des films et séries.
Quels sont ses rôles les plus marquants ?
Malik Oussekine dans la série ‘Oussekine’, Jibril Medina dans ‘Messiah’ et Sami Kacem dans ‘Une si longue nuit’.
Quels sont ses projets actuels ?
Sayyid prépare un documentaire sur Cavaillon, plus plusieurs projets cinématographiques et télévisés engagés.
Où suivre l’actualité de Sayyid El Alami ?
Sur des plateformes comme AlloCiné et dans des interviews sur des médias spécialisés.

