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Sérieusement, Serena Armstrong-Jones, c’est ce genre de personnalité qui vous déroute un peu, mais dans le bon sens. Née le 1er mars 1970 à Limerick, en Irlande, elle a ce charme un peu aristocratique, mais accessible, vous voyez ? Elle mesure environ 1,70 m et, bon, elle s’est mariée au neveu de la reine Elizabeth II, David Armstrong-Jones — histoire de mettre un peu de paillettes dans le tableau.
Vous vous dites sûrement “Mais derrière ce nom ronflant, qui est-elle vraiment ?”. Donna Serena Alleyne Stanhope de son vrai nom, elle vient d’une famille noble, la 12e comtesse d’Harrington pour être précise. Famille séparée quand elle avait 13 ans, sans drame royal, mais c’est ça qui la rend humaine, non ?.
Son parcours avant d’entrer dans cette bulle royale est assez fascinant. Cette fille a plutôt roulé sa bosse en Europe, école St Mary près d’Oxford, un détour par l’Italie pour apprendre l’art, puis la Suisse pour “parfaire son éducation”. Franchement, ça donne envie, cette vie entre voyages et culture.
J’avoue que c’est fou, avant d’épouser David en 1993, elle a bossé chez Giorgio Armani et même fait un stage chez Sotheby’s. Rien que ça. Un mélange entre business et arts, les bases d’une femme moderne enveloppée dans un monde royal.
Qui est Serena Armstrong-Jones ? Son identité et origines nobles
Serena Alleyne Stanhope, ça vous parle ? C’est la comtesse de Snowdon, enfin depuis 2017. Fille d’un comte anglais et d’une Américaine, elle a ce pedigree un peu royal mais mixé à une vie plus cosmopolite. Petite anecdote : sa lignée remonte à Charles II, mais via un fils illégitime, Henry FitzRoy, ce qui ajoute ce petit je-ne-sais-quoi historique.
Mais ce qui marque, c’est que malgré ses racines, elle n’a jamais été enfermée dans un carcan stricte. Londres, Monaco, Italie, Suisse, elle a grandit un peu partout. Vous imaginez la richesse culturelle ? C’est comme si elle avait toujours vécu entre mondes très différents.
Le mariage avec David Armstrong-Jones, vicomte Linley à l’époque, a cristallisé son entrée dans la famille royale. Pourtant, elle semblait garder une vraie indépendance, notamment avec sa carrière dans la beauté. Elle a monté sa propre enseigne Serena Linley Provence à Chelsea, un coin trendy de Londres.
C’est assez fou, parce qu’au-delà du titre, c’est une femme d’affaires, pas juste un ornement de la noblesse anglaise. Elle était bien plus que “l’épouse de”, même si son mariage a fait couler beaucoup d’encre. Pour tout savoir, vous pouvez jeter un œil à cette page qui explore son parcours.
Parcours et carrière avant la célébrité royale
Petite fille d’un comte, Serena n’a jamais joué à la fille à papa. Elle a été à l’école à St Mary, une des institutions pour filles dans l’Oxfordshire, où elle a vraisemblablement éclusé plus que quelques heures de cours.
Ensuite, sa soif d’art lui a fait traverser l’Italie — Florence, Rome, vous imaginez ? Très inspirant, cette période semble avoir sculpté son œil pour l’esthétique. Puis direction la Suisse, école de prestige pour mieux comprendre ce qui fait le charme des gens et des choses.
Et puis, son stage chez Sotheby’s en ’89, déjà un sacré tremplin ! C’est là qu’elle a goûté à l’univers de l’art et du luxe, avant de rejoindre Giorgio Armani, la maison italienne phare du style. Pas mal pour une fille née en Irlande, non ?
Franchement, ce n’est pas une voie toute tracée de princesse, et pourtant, on sentait déjà qu’elle savait où elle allait. Il y a un truc, un mélange de créativité et d’ambition. Vous pouvez consulter plus d’infos là-dessus sur Wikipedia en espagnol — oui, même à l’international ça lui parle.
Le mariage au cœur de la royauté britannique
1993 : l’année qui change tout. À 23 ans, Serena épouse David Armstrong-Jones, le neveu de la reine Elizabeth. Boom, elle passe du statut de fille d’aristocrate à vicomtesse Linley, puis comtesse de Snowdon en 2017.
Deux enfants viendront rythmer leur vie : Charles (né en 1999) et Margarita (en 2002). Ils vivent entre Londres et des résidences plus discrètes, bercés par ce doux mélange de mondanités et de confidentialité. Forcément, la pression est là, parfois insoutenable.
Mais leur mariage n’a pas été un conte de fées sans accroc, surtout avec l’annonce du divorce en 2020, après 26 ans de vie commune. Une vraie claque. C’est un peu aussi le poids des responsabilités et des médias qui pèsent lourd. Pour creuser, cet article sur Gala détaille bien le contexte.
Sa vie professionnelle après le mariage : une femme d’affaires affirmée
Serena n’a pas juste épousé un membre de la famille royale pour se tourner les pouces, loin de là. Dès les années 2000, elle se lance dans la création de produits de beauté, avec son label Serena Linley Provence, implanté à Chelsea, un quartier de Londres hyper chic.
Franchement, bâtir une marque dans ce secteur, c’est pas une mince affaire, surtout quand on jongle avec la vie privée ultra surveillée. Mais apparemment, ça lui tenait à cœur. Un vrai renouveau pour elle, qui manie aussi bien l’élégance que l’esprit entrepreneurial.
Serena est la preuve qu’on peut avoir un titre et construire sa propre identité. Pour ceux que ça intéresse, Getty Images regorge de photos très classe d’elle, on la voit souvent dans des événements entre monde des stars et noblesse ici.
Anecdotes et moments surprenants dans sa vie
- 👑 Sa lignée illustre une histoire « secrète » anglaise avec Charles II et son fils Henry FitzRoy.
- 🌍 A grandi entre Londres et Monaco, ce qui nourrit cette dualité entre luxe et simplicité.
- 🎨 Études artistiques en Italie et Suisse : on aurait presque envie de la voir peindre ou dessiner un de ces jours.
- 💔 26 ans de mariage puis un divorce en 2020, une fin difficile mais qui montre sa force personnelle.
- 💄 Créatrice d’une marque de cosmétiques, elle a vraiment pris les rênes de sa vie professionnelle.
Actualités et projets récents de Serena Armstrong-Jones en 2025
Alors, 2025, ça donne quoi pour Serena ? Sans trop de fanfare post-divorce, elle semble s’investir à fond dans son entreprise et la vie sociale, notamment dans des œuvres caritatives plus discrètes. Pas de grands scandales, ce qui est presque rafraîchissant dans ce milieu.
Elle est aussi en train de repenser un peu son image publique, peut-être plus affinée, plus personnelle. Bref, Serena Armstrong-Jones n’est pas seulement un nom, c’est un personnage avec ses batailles, ses victoires.
Vous voulez suivre ses évolutions ? Cette vidéo sur YouTube offre une belle plongée dans son univers, loin des clichés habituels.
Quel est le vrai nom de Serena Armstrong-Jones ?
Elle est née Serena Alleyne Stanhope, issue d’une famille aristocratique anglaise.
Quels sont les titres de Serena Armstrong-Jones ?
Elle a été vicomtesse Linley puis, depuis 2017, comtesse de Snowdon.
Combien d’enfants a-t-elle ?
Deux enfants, Charles et Margarita, nés respectivement en 1999 et 2002.
Quelle est sa carrière avant le mariage ?
Elle a travaillé dans la mode chez Giorgio Armani et fait un stage chez Sotheby’s.
Quel est son projet professionnel actuel ?
Elle dirige sa propre marque de cosmétiques, Serena Linley Provence, basée à Chelsea.