Stéphane Collaro

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Stéphane Collaro, c’est un nom qui réveille direct une époque, non ? Né le 20 mai 1943 à Neuilly-sur-Seine, ce trublion de la télé atteint aujourd’hui 82 ans. Il culmine à 1m75, marié à Stéphanie, bien plus jeune que lui, avec qui il file un amour tranquille sous le soleil des Antilles.

Avant de devenir le roi du show satirique, il passe par la fac de droit, qui ne le retient pas longtemps, puis se lance dans le journalisme sportif. La moto, la natation, les Grand Prix… Il commente tout ça, parfois en direct, bref, un vrai passionné de sport.

Mais la télé, ah la télé ! Dans les années 80, il explose avec ses émissions pleines d’humour et de coco-girls, un vrai chef d’orchestre de la fête cathodique. Le Bébête Show, Coco-Boy… vous voyez le genre ? Il a fait rire la France entière. Depuis, il a troqué les projecteurs contre la vie plus douce de Saint-Martin, dans les Caraïbes, loin du tumulte médiatique.

Et le gars a un sacré caractère, entre démêlés fiscaux, aventures immobilières et ouragans qui ravagent tout, il ne lâche rien. Stéphane, c’est un peu le survivant qui aurait préféré la tranquillité à la gloire tape-à-l’œil.

Qui est Stéphane Collaro et quelles sont ses origines exactes ?

Stéphane Collaro est ce mec né d’une famille bourgeoise à Neuilly-sur-Seine, avec un père industriel et une maman d’origine niçoise et italienne. Pas vraiment le parcours classique d’un humoriste de télé, vous voyez ? Il a navigué dans plusieurs lycées prestigieux avant de se planter en droit.

Ce gars-là, depuis le collège, aimait déjà le sport et la rigolade. Il débute finalement comme journaliste sportif à l’ORTF dans les années 60, couvrant les compétitions d’auto et de natation. Ce n’est que dans les années 70 qu’il bascule vers l’humour avec Jacques Martin, s’imposant doucement mais sûrement.

Son identité publique, c’est celle d’un croqueur de carrière, à l’aise entre la blague décapante et les émissions qui font le show. Et puis, impossible de parler de lui sans évoquer ses fameuses coco-girls, ces danseuses glamour qui ont marqué les années TF1.

Un mec multifacette : du journaliste, humoriste, acteur à producteur, Stéphane a exploré pas mal de territoires sans jamais se cantonner à une étiquette.

Parcours avant la célébrité : du droit au journalisme sportif qui fait vibrer

Franchement, il n’y avait rien de tracé pour Collaro. D’abord le droit, mais ce n’était pas son truc. Ses passions le mènent vite vers le journalisme sportif, où il débute à la télévision. Il raconte lui-même comment sa proximité avec des pilotes comme Jean-Pierre Beltoise renforçait son amour pour la course.

C’est pendant cette période que vous pouviez le voir sur l’ORTF, la seule chaîne à l’époque, au micro pour commenter des compétitions. L’ambiance devait être incroyable, un gars du terrain qui parle aux passionnés.

En 1974, changement radical : il lâche le micro sportif pour s’amuser à la télé, notamment dans Le Petit Rapporteur de Jacques Martin, ce qui le propulse côté humoristique. Le début d’une belle histoire avec le public.

Là, vous commencez à entrevoir l’esprit malicieux du bonhomme, ce mec qui manie la satire comme personne et adore jouer avec les codes télévisuels.

La carrière explosive de Stéphane Collaro : du Collaro Show au Bébête Show

Alors, là, on tape dans du lourd ! Le Collaro Show, c’est son bébé à partir de 1979, une émission d’humour qui cartonne et devient culte. On se souvient tous des fameux gags, des personnages déjantés, et surtout des fameuses coco-girls, ces danseuses qui misent tout sur le spectacle.

Il enchaîne ensuite avec Coco-Boy, Cocoricocoboy, autant de noms qui font rire la France entière dans les années 80. Mais le vrai sommet, c’est le Bébête Show, cette satire politique avant l’heure diffusée juste avant le journal de 20 heures sur TF1.

Dans cette émission, il manie le politiquement incorrect avec audace, ce qui, avouez-le, n’était pas donné à tout le monde ! Le succès est énorme, il devient incontournable jusqu’à la moitié des années 90.

Hélas, la télé change, lui aussi. Après 1996, il décide de tourner la page, lassé par ce métier qui le consume, et entame une carrière loin des caméras. Une vieille histoire de gestion compliquée aussi…

Une fortune pas si gigantesque et des déboires fiscaux mémorables

Vous serez peut-être surpris, mais malgré une carrière qui a rempli les poches, Stéphane n’est pas devenu un riche businessman du jour au lendemain. Non, pas du genre à accumuler sans compter. Il a lui-même avoué être un piètre gestionnaire, notamment avec ses tableaux et voitures de collection.

Les ennuis fiscaux ont frappé surtout dans les années 2000, avec un redressement sur plus de 38 000 euros. Ça a créé pas mal de remous, et il a d’ailleurs dû régler tout ça, ce qui ne l’a pas laissé indemne.

Il s’est ensuite exilé aux Antilles, à Saint-Martin, où il réalise certains projets immobiliers, notamment la fameuse Villa Caye Blanche, un paradis avec vue sur mer. Une fois vendue, la maison est devenue un joyau très prisé sur Airbnb à des tarifs de folie.

Mais même là-bas, la nature a dit pause avec l’ouragan Irma qui a failli tout emporter. Pas simple de trouver la paix, même sous les cocotiers…

Vie privée et anecdotes attachantes autour de Stéphane Collaro

Si l’on parle carrière, il ne faut pas oublier la vie perso, souvent pleine de rebondissements. Stéphane a épousé Patricia Lefebvre en 1976 et ils ont une fille, Julia, son petit trésor qui lui a même donné son nom de société.

Mais c’est en 2012 qu’il fait un joli coup de théâtre en se remariant avec Stéphanie, une hôtesse de l’air bien plus jeune, avec qui il partage désormais une vie paisible à Saint-Martin.

Un moment marquant reste aussi la tempête Irma en 2017. Le choc ! Ils ont dû se réfugier dans l’arrière-cuisine, et Stéphanie a frôlé la mort avec un volet qui a explosé. Ça laisse des traces, vous pensez bien.

Stéphane ne regrette rien. Il vit plus simple, loin de la télé. Il jongle entre Saint-Martin et ses séjours à Sète, où il loue une maison pour voir la famille.

Petite liste surprise : les projets immobiliers et idées originales du bonhomme

  • 🌴 Une résidence hôtelière sur la baie orientale de Saint-Martin, au coeur des Caraïbes
  • 🏠 Projet de maisons pour personnes âgées au Touquet, baptisé « Les Lisières »
  • 🏜 Idée ambitieuse d’un programme berbère pour seniors à Marrakech appelé « Oumnesia »
  • 🌏 Tentatives d’investissements immobiliers au Vietnam, Laos et Philippines, explorant de nouveaux horizons

Son flair pour les affaires ? Parfois brillant, parfois… disons… aventureux. Mais au moins, il ne s’ennuie jamais.

Les collaborations et actualités récentes de Stéphane Collaro

Ok, aujourd’hui, Collaro est loin des caméras, mais son nom continue à vibrer. En 2023, il a évoqué dans quelques interviews son retrait volontaire du monde télévisuel, préférant la tranquillité à la célébrité éphémère.

Vous pouvez découvrir ses anecdotes sur Voici ou sa biographie détaillée sur Wikipédia. Ces dernières années, il a apprécié les séjours à Sète, loin du tourbillon médiatique.

Et niveau rencontres ? Son parcours l’a notamment rapproché de Jacques Martin à ses débuts et de nombreuses figures du showbiz français. Il partage aujourd’hui un quotidien loin des strass, mais toujours riche de souvenirs et d’amitiés solides.

Entre projets résidentiels et farniente tropical, on imagine bien qu’il a encore des histoires à raconter.

Quel âge a Stéphane Collaro en 2026 ?

Stéphane Collaro est âgé de 82 ans en 2026.

Pourquoi Stéphane Collaro a-t-il quitté la télévision ?

Lasse des projecteurs et du métier d’animateur, il a préféré tourner la page pour une vie plus tranquille dès la fin des années 1990.

Où vit Stéphane Collaro actuellement ?

Il vit principalement à Saint-Martin, dans les Antilles françaises, où il mène une vie paisible.

Quels étaient les succès majeurs de Stéphane Collaro à la télévision ?

Il est célèbre pour Le Collaro Show, Coco-Boy, et surtout Le Bébête Show.

Quelles difficultés Stéphane Collaro a-t-il rencontrées dans ses affaires ?

Il a eu des démêlés fiscaux dans les années 2000 et a reconnu être un gestionnaire parfois maladroit.


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