Taïs Bean

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Alors Taïs Bean, voilà un nom qui commence doucement à s’imposer, surtout si vous avez suivi la série culte Emily in Paris avec Philippine Leroy-Beaulieu, sa maman. Née en 1990 aux Lilas, elle a fêté ses 35 ans récemment. Franchement, elle mesure dans les 1m70 environ, et malgré ses liens familiaux très « people », elle trace sa route à elle, avec un style bien à elle, loin des écrans traditionnels.

Ce que j’adore avec Taïs, c’est cette vibe d’artiste complète. Pas dans la comédie comme sa mère ou son père Richard Bean, réalisateur, non elle, c’est la peinture, la sculpture, la musique et même la performance vocale. Son atelier, c’est un peu toute la vie en couleur, avec en toile de fond le Sussex où elle s’est installée, loin du tumulte parisien.

Vous savez, elle a un parcours qui force le respect. D’abord un pied à Paris, l’autre au Brésil, elle revit une vraie double culture, ce qui me semble assez fou. Et elle a étudié à la prestigieuse Central Saint Martins de Londres, l’école qui ne plaisante pas du tout quand il s’agit d’art. Une vraie école de la créativité, vous voyez ?

C’est une fille discrète, mais sur Instagram elle dévoile régulièrement ses créations, entre peintures à l’aquarelle et sculptures un peu folles. Le truc qui m’a marqué, c’est qu’elle n’a pas choisi un chemin tout tracé, c’est elle qui définit tout, à son rythme, avec une liberté qu’on sent rare dans ce milieu.

Qui est Taïs Bean, la fille de Philippine Leroy-Beaulieu ?

Taïs Bean est née en 1990, aux Lilas, une banlieue parisienne, fille de Philippine Leroy-Beaulieu, qui vous connaissez sûrement grâce à Emily in Paris, et Richard Bean, réalisateur. Loin d’être une simple héritière du monde du cinéma, Taïs a choisi son propre univers artistique. Sa taille, autour de 1m70, et sa présence douce mais affirmée tranchent avec l’image glamour de sa mère.

Elle a passé une enfance marquée par des allers-retours entre Paris et le Brésil, où ses premiers souvenirs, étonnamment, sont aussi forts qu’en France. Sa mère, dès la maternité, s’est liée à une Franco-Brésilienne, greffant une culture riche à son enfance. Ce détail donne un vrai souffle à sa manière d’aborder la création, avec souvent un esprit de liberté et de dépassement.

Ce que la plupart ignorent, c’est que Taïs n’est pas simplement une fille de star attachée aux paillettes. Son investissement dans l’art est profond, presque viscéral. Formée à la célèbre Central Saint Martins de Londres, elle s’est immergée dans un monde où elle exprime peinture, sculpture et même performances vocales, ce qui la rend fascinante à suivre.

Et même si sa vie est loin des projecteurs habituels, elle a su bâtir un univers onirique, qui lui ressemble. Elle habite aujourd’hui dans le Sussex, en Angleterre, pour vivre pleinement son art sans la pression du milieu parisien ou des médias, ce que beaucoup de jeunes artistes devraient peut-être songer à faire.

Parcours et grands succès artistiques de Taïs Bean

Bon, parlons sérieux : Taïs Bean n’a pas fait les choses à moitié. Après Central Saint Martins, elle a doucement gagné sa place dans le monde de l’art. Entre sculptures, peintures à l’aquarelle et performances vocales, elle brouille les pistes et attire un public curieux. Ce n’est pas juste une artiste parmi d’autres.

Vous l’avez peut-être croisée sur son Instagram où elle partage ses dernières œuvres avec une communauté qui grandit tranquillement. Ce que j’aime, c’est ce côté pluridisciplinaire, ça respire la liberté et la créativité brute, sans filtres ni diktats. Elle ne suit pas la mode, elle la crée à sa manière.

La jeune femme a aussi fait ses premiers pas dans le mannequinat, chose surprenante mais finalement assez logique vu sa silhouette élancée et son charisme naturel. Une manière de diversifier son expression artistique et de toucher un public plus large, notamment avec des collaborations mode.

Financièrement, tout ne bascule pas en un claquement de doigts, évidemment, mais elle a su construire une carrière stable, respectée. La fortune, ce n’est pas vraiment ce qu’elle cherche, c’est plus une question d’« espace pour créer ». Bon, chacun son truc, mais je trouve ça plutôt rafraîchissant !

Vie privée, inspirations et projets actuels

Si Taïs Bean reste discrète sur son quotidien, son lien avec sa maman Philippine Leroy-Beaulieu est très fort. Elles partagent une relation authentique et honnête, ce qui n’est pas toujours évident dans les familles de stars. Cette complicité se ressent, et parfois Taïs évoque même l’envie d’avoir des enfants, mais sans précipitation, en gardant son équilibre entre vie perso et créa.

Une anecdote m’a vraiment touché : Taïs a raconté que sa mère s’assurait toujours qu’elle ait du matériel pour dessiner, même en voyage, un geste simple, mais tellement révélateur de leur relation unique. En plus, elle a grandi en changeant souvent d’environnement, ce qui nourrit sa capacité à s’adapter et à puiser son inspiration partout.

En 2025, elle s’investit dans de nouveaux projets artistiques, qui promettent d’affirmer encore plus sa singularité. Certains de ces travaux impliquent des collaborations inattendues avec d’autres créateurs issus du monde de la mode et des arts visuels. J’ai hâte de voir ce que ça va donner.

Pour découvrir un peu plus son univers, je vous conseille de jeter un œil à ses performances sur Gala ou même à ses clichés de mode très travaillés. C’est pas juste du style, c’est un dialogue entre art et vie.

Liste : Ce qui fait la singularité de Taïs Bean

  • 🎨 Multidisciplinarité : peinture, sculpture, écriture, chant et performance
  • 🌍 Double culture entre France et Brésil, influençant son style
  • 📚 Formation prestigieuse à Central Saint Martins à Londres
  • 🏞️ Vivant dans le Sussex pour un équilibre entre nature et création
  • 👩‍🎤 Engagement discret mais sincère sur Instagram et réseaux sociaux
  • 🖼️ Collaboration mode qui élargit son champ d’expression
  • 💕 Relation forte et authentique avec Philippine Leroy-Beaulieu

Un truc marrant aussi, c’est que son arrivée en âge adulte ne l’a pas empêchée de garder cette curiosité folle envers le monde et les arts. Elle a cette capacité à se renouveler. Et ça me fait penser, il faut vraiment qu’on parle plus souvent de ce genre de profils, qui restent à l’ombre des starlettes classiques.

Son indépendance artistique me parle énormément. Apparemment, elle réfléchit beaucoup à son avenir, elle balance entre le désir de maternité et la passion dévorante pour son travail. Pas si simple de concilier tout ça ! Vous sentez un peu le dilemme ? J’avoue, c’est un truc qu’on ne voit pas souvent sous cet angle-là.

D’ailleurs, il ne faut pas s’étonner si on la revoit bientôt sur des scènes d’expo, ou même dans des collaborations artistiques qui sortent des sentiers battus. Taïs Bean, c’est ce souffle frais qui fait du bien.

Et pour finir, si vous voulez vraiment comprendre qui elle est, il faut aller voir ses œuvres, écouter ses performances, c’est une façon de rentrer dans son monde, un univers fascinant entre douceur et éclats d’émotions. En tout cas, moi, je suis curieux de suivre ses prochains pas.

Qui est Taïs Bean ?

Taïs Bean est une artiste pluridisciplinaire née en 1990, fille de Philippine Leroy-Beaulieu et de Richard Bean. Elle explore peinture, sculpture, écriture et performance vocale.

Quel est son parcours artistique ?

Formée à Central Saint Martins à Londres, Taïs est reconnue pour sa multidisciplinarité et ses œuvres souvent inspirées de ses racines franco-brésiliennes.

Quelle relation a Taïs avec sa mère Philippine Leroy-Beaulieu ?

Elles entretiennent une relation sincère et fusionnelle, fondée sur l’honnêteté et le soutien mutuel.

Où vit et travaille Taïs Bean ?

Elle est actuellement installée dans le Sussex, en Angleterre, ce qui lui offre un cadre paisible pour sa créativité.

Quels sont les projets récents de Taïs Bean ?

Elle se concentre sur de nouvelles créations artistiques et collabore avec des créateurs du monde de la mode et des arts visuels pour 2025.


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