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Vous savez, parler de Véronique Cazeneuve, c’est plonger dans la discrétion la plus absolue, mais aussi dans une femme qui a su se démarquer à sa façon. Elle est née Véronique Beau, a connu 60 années d’une vie intense, souvent à l’ombre des projecteurs, pourtant si riche en engagements passionnés.
Pour vous poser le décor, cette femme mesurait environ 1m65, une silhouette moyenne, mais croyez-moi, dans son monde, elle se tenait toujours grande. Mariée à Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre, elle a vécu une histoire hors norme, avec des séparations et des retrouvailles qui ont marqué leur vie.
Ce qui frappe en apprenant son parcours, c’est son amour profond pour la littérature. Diplômée en littératures comparées à Paris IV, elle a d’abord enseigné quelques années avant de plonger dans l’édition jeunesse. Une vocation née d’une vraie passion, teintée de douceur et d’envie de transmettre.
Mais la vie ne lui a pas seulement offert les joies de la culture. En 2024, Véronique Cazeneuve a perdu son combat contre une maladie implacable, celle de Charcot. Cette disparition a touché profondément ceux qui la connaissaient, révélant une femme forte, pourtant fragile face à la maladie.
Qui était Véronique Cazeneuve, épouse de Bernard Cazeneuve, et femme d’édition ?
Alors, vous la voyez, Véronique, comme la femme de l’ancien Premier ministre, mais en vrai, elle tenait à rester loin des feux des médias. Née en 1963, c’est dans le Cotentin qu’elle a passé beaucoup de temps aux côtés de Bernard, maire d’Octeville à l’époque de leur rencontre.
Leurs vies se sont mêlées dès 1995, année de leur mariage, assez tôt dans l’histoire politique de Bernard. Ils ont eu deux enfants, Nathan et Mona, mais leur histoire a connu une pause. Oui, un divorce. Puis, surprise, ils se sont retrouvés trois ans plus tard et se sont remariés en 2015, cette fois dans un petit village du Var, Aiguines, avec une cérémonie simple, presque intime.
Cette union derrière la discrétion, en présence de François Hollande, c’était un peu leur petit refuge, loin du tumulte politique, loin des flashs, sincère et humble. J’avoue que cette idée de se marier deux fois, à des moments clés, ça donne un côté romantique-courageux.
Mais au-delà de ce qu’on imagine, Véronique, c’était surtout une femme d’action. Elle a fondé sa maison d’édition jeunesse, À dos d’âne, en 2009. Une maison associative destinée à ouvrir les petits esprits curieux au monde, avec simplicité et honnêteté, loin des gros business industriels.
Son engagement dans l’édition jeunesse
Vous vous doutez qu’une maison d’édition jeunesse ne s’improvise pas. Diplômée d’une maîtrise en littératures comparées, elle a d’abord enseigné, avant d’embrasser le métier de l’édition. Elle écrivait, corrigeait, communiquait, avec une passion intacte pour la littérature et la culture.
L’association qu’elle a lancée, À dos d’âne, a gagné en notoriété, faisant rayonner des valeurs qui lui tenaient à cœur. Elle voulait ramener l’enfant au centre, offrir du savoir pur, délié des artifices habituels. Dix ans plus tard, sa maison a été incorporée au groupe Rue des écoles, un passage qui a donné encore plus d’ampleur à son travail.
Pour vous donner une idée, c’était une battante culturelle, reconnue pour réveiller la scène littéraire jeunesse en France, avec un regard neuf. Pas la star qui court les plateaux, non, mais celle qui agit en coulisses, qui construit du sens dans la durée.
Vous avez entendu parler de cette histoire autour de l’homme d’affaires belge George Forrest ? Il avait acheté 60 000 euros de livres à sa maison d’édition, puis elle l’a accompagné au Congo pour vanter l’opération. Véronique n’a pas mâché ses mots lorsqu’elle a dû se défendre face aux polémiques, bien décidée à séparer ce qu’elle faisait de la politique menée par son mari.
Véronique Cazeneuve : une vie loin des projecteurs mais pleine d’intensité
Je vous jure, elle était un vrai mystère. Dans une époque où tout se sait, où la moindre photo est capturée, elle préférait l’anonymat. Pourtant, elle ne passait pas inaperçue dans son milieu. Elle était cette femme cultivée, passionnée, discrète, qui portait des combats tout en silence.
Son mariage avec Bernard Cazeneuve n’était pas juste une alliance politique, c’était une histoire avec des hauts et des bas, des pauses et des retours. Ils ont eu une vie de famille normale, deux enfants qu’ils ont protégés du regard du public. Et malgré la maladie, elle a gardé cette force tranquille.
Il faut dire que Bernard, lui aussi, a vécu un moment difficile quand Véronique a été diagnostiquée en début 2024 avec la maladie de Charcot. En quelques mois, elle a disparu, laissant un vide immense. Bernard a même interrompu ses activités politiques pour être à ses côtés et mener une campagne de sensibilisation.
Je me souviens avoir lu que cette épreuve a changé Bernard, avec un éloignement certain d’Emmanuel Macron, alors même qu’on disait qu’il pouvait reprendre Matignon. La mort de Véronique a bouleversé plus d’un acteur politique, mais l’intimité du couple restera à jamais un mystère.
Les moments inattendus de la vie de Véronique Cazeneuve
- ✨ Mariage célébré deux fois, la deuxième en toute simplicité dans le Var, avec François Hollande comme invité discret.
- 📚 Création d’une maison d’édition associative dédiée à la jeunesse
- 🌍 Voyage au Congo en lien avec un projet d’édition, un déplacement sous tension médiatique
- ❤️ Une famille soudée mais à l’abri des médias
- 💔 Combat contre la maladie de Charcot, un déroulement rapide et douloureux
Actualités et projets récents autour de Véronique Cazeneuve
Depuis son départ, Véronique reste présente dans les mémoires, tant par son travail d’éditrice que par l’hommage rendu à travers Bernard. Bien sûr, sa maison d’édition continue d’exister au sein du groupe Rue des écoles, portant un bout de son rêve et de sa philosophie.
Bernard, lui, reste un visage important de la politique française, même si moins exposé. En 2024, après cette terrible épreuve, son retour sur la scène publique a été marqué par une certaine retenue, preuve que l’émotion reste intacte. Son parcours politique continue, mais on sent que cette perte l’a profondément changé.
Le couple Cazeneuve a laissé une empreinte discrète mais significative, avec cette idée toujours présente de servir, d’élever les consciences par la culture, loin du tapage médiatique. C’est tout ce que je retiens après avoir découvert un peu plus ce qu’était réellement Véronique.
Franchement, parler de Véronique, c’est aussi réaliser combien elle incarne cette force du silence et de la discrétion, tellement rare aujourd’hui. Une femme qui a vécu sa vie comme un fil fragile mais tendu entre passion et pudeur.
Je me dis qu’on devrait tous apprendre un peu d’elle, sa manière de préserver ce qu’on aime, de se battre à sa façon, à l’abri du regard public. La culture, la littérature, la famille, tout ça chez elle était plus qu’un simple mot, c’était un engagement profond.
Comme beaucoup, j’ai été touché en lisant son histoire, surtout en découvrant ce remariage simple, avec ces petits gestes sincères. C’est cette humanité qui ressort le plus et qui reste gravée, bien plus que les titres ou les faits politiques.
C’est aussi ça, la vie : des réveils doux après des tempêtes. Merci Véronique, pour tout ce que vous avez construit et pour ce que vous nous laissez, en silence, mais avec cette lumière.
La vive émotion dans le Cotentin après sa disparition
Rendez-lui hommage et découvrez son parcours
Bernard Cazeneuve endeuillé par la perte de sa femme
Découvrez qui était Véronique Cazeneuve
Une femme discrète mais engagée
Qui était Véronique Cazeneuve ?
Véronique Cazeneuve, née Beau en 1963, était l’épouse de Bernard Cazeneuve et une éditrice engagée dans la littérature jeunesse.
Quelle maison d’édition a-t-elle fondée ?
Elle a créé en 2009 la maison d’édition associative À dos d’âne, dédiée aux livres jeunesse et ancrée dans des valeurs de curiosité et de savoir.
Quel lien entretenait-elle avec Bernard Cazeneuve ?
Le couple s’est marié deux fois, d’abord en 1995, puis à nouveau en 2015 après une période de séparation. Ils ont eu deux enfants ensemble.
Quelle maladie l’a emportée ?
Véronique Cazeneuve est décédée de la maladie de Charcot en juin 2024, une épreuve marquante pour sa famille.
Comment Véronique Cazeneuve gérait-elle sa vie privée ?
Elle était très discrète, évitant les médias, pour préserver sa famille et séparer sa vie personnelle de la renommée politique de son mari.

