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- Yann Arthus-Bertrand : le regard engagé derrière l’objectif de la nature
- Yann Arthus-Bertrand, une vie dédiée à la planète et à ses habitants
- La fondation GoodPlanet : un acte d’espoir et d’engagement
- Une carrière pleine de moments marquants et d’anecdotes surprenantes
- Petite liste des clefs de son action écologiste 🌍
- Quelques questions que vous vous posez peut-ĂŞtre âť“
Yann Arthus-Bertrand : le regard engagé derrière l’objectif de la nature
Vous connaissez sûrement Yann Arthus-Bertrand, ce photographe français né en 1946 à Paris, qui mesure environ 1,80 m. Un sacré bonhomme, aux multiples casquettes, qui ne se contente pas de prendre des clichés, mais qui milite, filme, agit pour notre planète.
Depuis les années 80, il arpente le globe, appareil en bandoulière, traquant la beauté du monde et ses blessures. Mais là où beaucoup voient juste un artiste ou un reporter, lui, c’est un humaniste passionné, animé par une urgence écologique qu’il retranscrit dans chacun de ses projets.
Ah, et vous allez peut-être être un peu surpris mais sa vie perso reste assez discrète, malgré ses combats très publics. Il est aussi l’instigateur de la fondation GoodPlanet, créée en 2005, véritable tremplin pour ses idées et ses actions concrètes.
Bon, après, que vous soyez amateur de photos époustouflantes ou sensible à l’écologie, Yann impose le respect. Et je parie que vous ne regarderez plus une image du ciel ou un visage de la même manière désormais.
Yann Arthus-Bertrand, une vie dédiée à la planète et à ses habitants
Qui est-il vraiment ? Un mec né au début de l’après-guerre, à Paris, mais qui a fait du monde sa maison. C’est un photographe-reporter mais aussi réalisateur et, surtout, un ardent militant écologiste. Pas juste pour la forme : il préside la Fondation GoodPlanet que beaucoup connaissent pour ses actions sur l’agriculture durable, la gestion des déchets, l’énergie verte et même l’aide aux populations vulnérables.
Vous savez, ce n’est pas juste une photographie, c’est une immersion dans ce qui nous entoure, un appel à agir. Il a aussi inauguré un centre écologique en 2017, au cœur du Bois de Boulogne, à Paris, pour sensibiliser petits et grands dans un cadre naturel, offrant expositions, ateliers et débats. Depuis peu, GoodPlanet s’active aussi à Lyon avec la transformation du Chalet du Parc.
Ma foi, ce mec a fait un sacré parcours avant tout ce succès. Au départ, amateur d’animaux, il a vite mis de côté les clichés classiques pour capter des instants chargés d’émotion humaine, ce qui le rapproche vraiment des gens et de leurs histoires.
Ça vous intrigue ? Le genre à tirer des portraits dans un stand du Salon de l’Agriculture, c’est pas banal, non ? C’est là que son travail change de nature et qu’il se fait un vrai nom.
De la beauté du monde à la dure réalité humaine
Je vous jure, passer sa vie à voler au-dessus de 130 pays, immortaliser la Terre vue du ciel, ça chamboule une personne. Yann a vu la splendeur des paysages mais aussi la dévastation provoquée par l’homme, et ça ne le lâche pas.
Son constat, parfois dur à avaler : l’homme, cet éternel bâtisseur, dévaste sans répit au nom de la croissance. Par exemple, saviez-vous que Chongqing, en Chine, s’est étendue tellement vite que la ville couvre aujourd’hui une surface équivalente à l’Autriche ? Là , on se rend compte de l’ampleur du bétonnage et, franchement, ça fout un peu le bourdon.
À l’heure du tout numérique, il confesse aussi un truc marrant : autrefois, la photo était un art de la patience. Maintenant, tout le monde shoot à tout-va, mais lui, il regarde plutôt les visages, ces regards d’êtres humains engagés, porteurs d’un espoir peut-être, ou d’un combat.
La fondation GoodPlanet : un acte d’espoir et d’engagement
Alors voilà , GoodPlanet, c’est plus qu’une simple boîte, c’est une plateforme pour secouer les consciences. Avec un énorme parc au Bois de Boulogne, ce lieu est un vrai refuge où l’écologie se vit de manière positive, bourré d’expos, de films, d’ateliers, et même de concerts.
C’est fou comme cet endroit attire chaque année plus de 60 000 curieux. Ils viennent là pas pour culpabiliser mais pour sentir qu’ils peuvent vraiment faire quelque chose, que c’est possible. Et en plus, il accueille tout le monde, des gamins aux pros en entreprise.
Pas étonnant que Yann s’investisse aussi dans le Chalet du Parc à Lyon, un projet porté par la ville qui met la balle dans le camp des Lyonnais pour faire vivre un lieu mêlant pédagogie, art et nature. Car oui, pour lui, l’écologie, ce n’est pas un truc de bobos parisiens, c’est une affaire locale, pour tous.
Vous voulez mieux comprendre ses engagements ou sa vision ? Sur Evolem, vous tomberez sur une mine d’infos passionnantes.
Les projets récents et l’avenir selon Yann Arthus-Bertrand
En 2025, Yann continue son combat, pas question de lâcher l’affaire. Ses projets actuels tournent beaucoup autour de la transmission et de l’empowerment des citoyens. Dans un monde où les chiffres sur le climat font souvent peur ou dépriment, il mise sur l’émotion et la beauté. C’est elle qui peut réveiller les cœurs et pousser à agir.
Il accompagne aussi la transformation du Chalet du Parc à Lyon, croisant écologie et culture, pour faire bouger les lignes à l’échelle locale. Et si vous voulez un aperçu de ses dernières œuvres ou interventions, sa chaîne YouTube est un bon point d’entrée.
On n’échappe pas Ă un constat un peu amer : mĂŞme les COP ne rĂ©duisent pas les Ă©missions de COâ‚‚… Mais Yann, lui, ne dĂ©sespère pas. Il croit aux gestes simples, au bĂ©nĂ©volat, Ă ces centaines de volontaires qui font bouger les choses au quotidien.
Au final, c’est une vraie leçon d’humilité et de foi en l’humanité. Pas étonnant que la ville de Paris lui fasse confiance pour animer ses espaces verts et que l’Académie des beaux-arts le reconnaisse officiellement comme une figure majeure.
Une carrière pleine de moments marquants et d’anecdotes surprenantes
Vous vous demandez sûrement, au-delà des combats, ce qui fait la patte de Yann ? Eh bien, ce sont ces instants capturés au détour d’un salon un peu bizarre, où, en habile improvisateur, il a réussi à faire ressortir le lien entre l’homme et l’animal.
Il aime raconter comment sa photo « La Terre vue du ciel », qui a fait le tour du monde, a bouleversé l’idée qu’on se fait d’un cliché : quand on voit la planète d’en haut, on prend une claque. Ça donne un truc qui vous colle à la peau.
Son truc à lui ? Chercher la beauté partout, mais pas une beauté kitsch. Non, celle qui dérange, qui interpelle. Comme avec sa série de portraits des Français, où chaque visage raconte une histoire vraie, authentique. Je vous recommande d’aller y jeter un œil sur son site studio, histoire de sentir l’intensité.
Avec lui, pas question de rester passif. Chaque photo, chaque expo, chaque film doit faire avancer l’idée que notre Terre mérite qu’on se batte pour elle, souvent avec optimisme (même s’il aime à dire qu’il est un peu un « optimiste pessimiste »).
Pourquoi la photo, c’est plus qu’un métier pour lui
Il explique souvent que la photo, c’est son premier levier pour éveiller les consciences. Passer du temps à capter le monde l’a fait passer de simple observateur à acteur engagé. C’est d’ailleurs par l’image qu’il veut transmettre une sorte d’urgence douce, parce que l’émotion, ça parle à tout le monde.
Cette idée, qui pourrait sembler naïve, a pourtant traversé toute sa carrière, et on la retrouve dans chacun de ses projets, que ce soit au milieu des lions ou au cœur des visages humains.
Petite liste des clefs de son action écologiste 🌍
- 🌱 Fondation GoodPlanet : soutien à des projets concrets autour de l’énergie, l’agriculture durable, et la biodiversité.
- 📸 Photographie humaniste : capturer la beauté et l’âme des gens, pour inspirer au changement.
- 🏞️ Lieu d’immersion écologique : le centre au Bois de Boulogne, qui mêle culture, nature et sensibilisation.
- 🎥 Réalisations engagées : films et reportages pour tirer la sonnette d’alarme.
- 🤝 Engagement local : accompagner des projets comme le Chalet du Parc à Lyon, pour une écologie de proximité.
Quelques questions que vous vous posez peut-ĂŞtre âť“
Quel est l’âge de Yann Arthus-Bertrand ?
Il est né en 1946, donc il a 78 ans en 2024, et reste actif malgré tout.
En quoi consiste la fondation GoodPlanet ?
Cette fondation soutient des projets en faveur de l’environnement, de l’agriculture durable à l’accès à l’énergie pour les plus vulnérables.
Pourquoi Yann privilégie-t-il les portraits humains ?
Pour lui, les visages traduisent mieux l’engagement et l’humanité que la simple beauté des paysages.
Que peut-on voir au centre GoodPlanet Ă Paris ?
Des expositions, des ateliers, des projections de films et des rencontres pour sensibiliser tous les publics à l’écologie.
Quelles sont ses grandes sources d’espoir ?
Le bénévolat, la solidarité entre populations et la capacité d’action locale, malgré les défis du réchauffement climatique.